Sous l'influence du progrès technologique et de la mécanisation, les méthodes de transport humain se sont développées sous diverses formes. Cependant, de nombreuses personnes choisissent encore d'utiliser la force musculaire pure pour le transport, non seulement en raison du coût, mais aussi en raison du plaisir de l'exercice et du concept de protection de l'environnement. Dans ce défi de force musculaire, nous avons été témoins d'innombrables limites humaines, de la terre à l'air en passant par l'eau, et de nombreux records étonnants restent à révéler.
Le transport humain peut être divisé en de nombreux modes, notamment la marche non motorisée, la course, la natation et divers véhicules à propulsion humaine, qui démontrent tous la ténacité et la créativité humaines.
Il existe différents moyens de transport à propulsion humaine sur terre, et le plus connu est bien sûr le vélo. Les vélos sont sans aucun doute l’un des moyens de transport terrestre les plus efficaces, non seulement ils peuvent se déplacer rapidement, mais ils peuvent également être transportés facilement. Ce qui est encore plus remarquable, c'est que de nombreux cyclistes ont participé à divers défis de vitesse et d'endurance et ont établi de nouveaux records les uns après les autres.
En 2016, le pilote d'AeroVelo Todd Reichert est devenu le détenteur du record de vitesse à propulsion humaine avec une vitesse de 142,04 km/h. Cet exploit a été réalisé à Battle Mountain dans le Nevada.
De plus, Fred Rompelberg des Pays-Bas a établi un record du monde de 268,8 km/h en 1995. Cet exploit a été réalisé en réduisant la traînée du flux d'air derrière la moto.
En plus de la vitesse, les records d'endurance sont également touchants. Greg Kolodziejzyk a établi en 2006 un record de 1 041 kilomètres sur 24 heures en propulsion humaine, qui a ensuite été remplacé par Christian von Ascheberg avec 1 219 kilomètres en 2010. Il s'agit sans aucun doute d'un défi aux limites humaines.
Dans les airs, la puissance musculaire des gens peut également montrer un potentiel incroyable. Historiquement, le premier vol à propulsion humaine réussi a été l'avion à propulsion humaine de l'Université de Southampton (SUMPAC) piloté par Derek Piggott en 1961. L'exploit le plus célèbre de la traversée de la Manche en 1979 par Gossamer Albatross est également devenu l'un des classiques.
En 1988, le Daedalus 88 du MIT a parcouru 115,11 kilomètres. Ce n'était pas seulement un record de distance, mais cela montrait également une percée dans la technologie du vol humain.
Les hélicoptères à propulsion humaine ont également réalisé certains progrès. En 1994, l'hélicoptère à propulsion humaine Yuri Ier, créé par des étudiants, a volé pendant 19,46 secondes. Il s'agissait d'une accumulation et d'une innovation progressives de la technologie. Le plus impressionnant est qu'en 2013, l'hélicoptère AeroVelo Atlas a volé avec succès pendant 64 secondes et a remporté le prix Sikorsky.
La lutte des êtres humains sur l'eau ne s'arrête jamais. Des canoës préhistoriques aux embarcations modernes à propulsion humaine, ces embarcations à propulsion humaine sont autant un moyen de mobilité que des bateaux de course sportive.
En 1991, Mark Drela du MIT a établi un record de vitesse de 34,3 kilomètres par heure sur l'hydravion à propulsion humaine « Decavitator », ouvrant ainsi un nouveau chapitre dans les défis sous-marins extrêmes de l'humanité.
De plus, la course sous-marine à propulsion humaine est l'un des défis alternatifs. Depuis 1989, la course internationale sous-marine a lieu tous les deux ans. De nouveaux records choquants sont continuellement établis, démontrant l'exploration sous-marine extrême des êtres humains. Esprit.
Les êtres humains ont fait preuve d’une persévérance et d’une créativité incontestables grâce au pouvoir des muscles. Ces records étonnants ne sont pas seulement un défi aux limites physiques, mais aussi une manifestation de l'esprit humain de poursuite de l'excellence et d'exploration de l'inconnu. Dans notre vie quotidienne, choisir le transport à propulsion humaine n’est pas seulement un choix respectueux de l’environnement, mais aussi un retour au mode de vie.
Alors, comment les humains utiliseront-ils leur propre pouvoir à l'avenir pour repousser les limites des transports à un niveau encore plus élevé ?