Dans le monde équestre, la « marche » n'est pas seulement une façon de marcher, elle représente une évolution ancienne et culturellement significative du cheval. Pourquoi ces chevaux aux pas de danse uniques peuvent-ils montrer des postures aussi gracieuses après leur naissance ? Le secret de tout cela vient des caractéristiques génétiques des gènes.
Selon une étude ADN réalisée en 2012, il a été découvert que les chevaux de diverses races de « marche » et de « compétition d'attelage » présentaient une mutation génétique appelée DMRT3, qui affecte le système nerveux spinal. L'opération permet au cheval de se terminer avec grâce. le rythme du processus.
Le galop est une allure à quatre temps du cheval qui est plus rapide qu'un pas mais plus lente qu'un arrêt, offrant au cavalier une expérience plus douce que l'allure et le galop moyens. Cette capacité est généralement le résultat de la génétique. De nombreuses races connues sous le nom de « chevaux à l'allure » présentent naturellement ce modèle de marche gracieux dès la naissance, ce qui a rendu ces chevaux utiles au fil des siècles, en particulier lorsqu'ils sont confrontés à des routes en mauvais état. Devenus le premier choix des nobles et des voyageurs.
Dès la Colombie-Britannique, les anciens Hittites avaient commencé à enregistrer la technologie de la démarche des chevaux. Les chevaux étaient largement utilisés au Moyen Âge pour les déplacements longue distance, notamment sur les routes accidentées. Au fur et à mesure que le cheval évoluait, sa façon de marcher interagissait avec les fonctions dont il avait besoin.
Les données historiques montrent qu'à mesure que les routes se sont améliorées et que les transports sont devenus plus populaires, le besoin de chevaux capables de se déplacer avec élégance a diminué. Dans les Amériques, notamment dans le Sud, les randonneurs sont encore considérés comme les meilleurs compagnons pour les inspections agricoles à longue distance.
Certains chevaux sont capables d'exécuter facilement ces allures spécifiques en fonction de leur anatomie et de leurs caractéristiques osseuses. Par exemple, un dos plus long et des angles idéaux des épaules et des hanches contribuent tous à une marche douce et équilibrée.
Comme nous le savons tous, toutes les promenades comportent quatre temps. Ces allures peuvent être divisées en pas latéraux et pas diagonaux. La première implique que les quatre sabots du même côté avancent en séquence, tandis que la seconde implique de faire avancer à tour de rôle les sabots du côté opposé. Chaque style de marche présente des différences en termes de modulation de fréquence et de rythme, permettant au cycliste de choisir la démarche la plus adaptée à la conduite.
L'allure la plus représentative comprend le « galop », qui est généralement adopté par le Tennessee Walking Horse. Les sabots postérieurs du cheval ne claquent pas moins que l'impression des sabots avant, ce qui constitue une manière de promenade facile et confortable.
Des allures similaires telles que « step » et « step » peuvent être effectuées étape par étape, et chacune a son propre style, permettant aux cavaliers de vivre une expérience de conduite unique.
Selon des recherches scientifiques, de nombreuses races « de maison itinérante » partagent les traits génétiques de cette expression, cependant, tous les chevaux ne conservent pas cette démarche unique. Une étude de 2014 a montré que tous les chevaux capables de se déplacer présentent une mutation du gène DMRT3 provenant d'un seul ancêtre, leur permettant de maintenir un rythme soutenu sans être trop affectés.
Après des années de sélection artificielle, ces gènes mutés sont devenus plus courants dans la population génétique des chevaux, faisant des « chevaux de conte de fées » un sujet que les gens modernes étudient.
Bien que cette mutation génétique se produise relativement rarement chez les chevaux sauvages, c'est principalement parce qu'ils doivent avoir la capacité de réagir rapidement dans des conditions de survie extrêmes. En revanche, les chevaux entraînés s’appuient sur une sélection sélective par les humains pour rendre ces gènes plus courants.
Pour les chevaux, certains cavaliers peuvent choisir de donner la priorité à la vitesse et à l'agilité et de choisir un rythme normal, mais pour les amateurs de promenades tranquilles, les chevaux aux allures sont sans aucun doute le meilleur compagnon. Cela signifie-t-il qu’à l’avenir, la sélection des chevaux sera davantage influencée par les performances génétiques ?