Le mystère de la gravité a toujours attiré l’attention des scientifiques, en particulier à mesure que nous approfondissons ses propriétés énergétiques. Le concept d’énergie négative joue un rôle essentiel dans divers domaines de la physique, en particulier dans des phénomènes tels que les champs gravitationnels, les effets de champ quantique et les trous noirs, et son impact est de grande portée.
L'énergie gravitationnelle, également connue sous le nom d'énergie potentielle gravitationnelle, est l'énergie potentielle qu'un objet possède du fait de sa présence dans un champ gravitationnel. En mécanique classique, lorsque deux ou plusieurs masses existent, leur énergie potentielle gravitationnelle doit être négative. En effet, la valeur de l'énergie gravitationnelle tend vers zéro lorsque les objets sont infiniment éloignés.
« Lorsque deux corps se rapprochent l'un de l'autre, le mouvement est accéléré par la gravité, ce qui entraîne une augmentation de l'énergie cinétique du système, et afin de maintenir l'énergie totale constante, l'augmentation du potentiel gravitationnel est considérée comme négative. »< /p>
Cela signifie que dans un univers dominé par une énergie principalement positive, il finira par s'effondrer dans un Big Crunch, tandis que dans un « univers ouvert » dominé par une énergie négative, il s'étendra soit à l'infini, soit finira par se transformer en une Big Rip. voie de désintégration.
Le concept d’énergie négative devient particulièrement important lors de l’étude des trous noirs. Autour d’un trou noir en rotation, une région appelée « cercle d’énergie » se forme. Ici, l’espace-temps lui-même commence à tourner et l’énergie des particules peut devenir négative.
« Lorsque cette particule d'énergie négative entre dans un trou noir, selon la loi de conservation de l'énergie, une quantité égale d'énergie positive doit s'échapper. »
Ce processus est appelé « processus de Penrose » et il explique pourquoi les quasars émettent un fort rayonnement.
Dans la théorie quantique des champs, l’existence d’énergie négative et de densité d’énergie négative est logique. La capacité des paires de particules ouïgoures indépendantes à apparaître en de courtes rafales permet de remplir le vide avec des particules virtuelles, qui s'annihilent généralement après une brève existence.
« Par exemple, dans l'effet Casimir, la densité d'énergie du vide entre deux plaques parallèles est négative, ce qui conduit à un effet répulsif entre les plaques. »
Cet effet confirme non seulement l’existence de particules virtuelles, mais fournit également des indices importants pour notre compréhension de la nature du vide.
Au bord d'un trou noir, la production de particules virtuelles est étroitement liée au rayonnement de Hawking. Lorsqu'une paire de particules virtuelles apparaît, l'une d'elles est capturée par un trou noir, son énergie est convertie en énergie négative, permettant à l'autre particule d'énergie positive de s'échapper, formant finalement un rayonnement Hawking.
"Cela explique comment les trous noirs peuvent s'évaporer lentement au fil du temps."
Les théories sur l’énergie négative sont au cœur de nombreuses discussions scientifiques. Par exemple, l’énergie négative joue un rôle clé dans les modèles théoriques de transport par trou de ver et de propulsion à distorsion pour les voyages rapides.
« Cependant, des physiciens comme Roger Penrose pensent que ces idées sont principalement basées sur la science-fiction plutôt que sur la réalité. »
Dans la compréhension scientifique actuelle, l’énergie négative n’est pas seulement un attribut fondamental de la gravité, mais aussi une caractéristique importante de l’univers quantique. À mesure que notre compréhension de l’énergie négative s’approfondit, la conception humaine du temps et de l’espace sera confrontée à des défis sans précédent.
Cela nous amène à nous interroger : dans le processus d’exploration des mystères de l’univers, comment l’existence de l’énergie négative redéfinira-t-elle notre compréhension de la réalité et des possibilités futures ?