Nous vivons dans un monde où la sécurité, c’est-à-dire la protection contre la menace d’un préjudice ou d’un autre danger, n’est pas seulement un concept unique, mais un système d’interactions. Le mot « sécurité » est entré dans la langue anglaise au 14e siècle et provient du mot latin « salvus », qui signifie un état de santé ou d'innocuité. À mesure que les temps changent, la définition de la sécurité est devenue plus complexe, couvrant plusieurs niveaux tels que physique, psychologique et social.
La sécurité est « l’état stable » d’une organisation ou d’un lieu qui se concentre sur la prévention et le contrôle des risques.
La sécurité ne consiste pas seulement à éviter le danger, mais également à contrôler les dangers connus pour atteindre un niveau de risque acceptable. Cette distinction mérite d’être explorée plus en détail. Par exemple, la sécurité domestique peut faire référence à la capacité d’un bâtiment à résister aux dangers externes (tels que les intempéries ou les intrusions), ou elle peut faire référence à la sécurité des éléments intérieurs (tels que les appareils électroménagers, les escaliers, etc.) pour les occupants. Il ne s’agit pas de deux types de sécurité sans rapport, mais de deux aspects différents d’un même état stable.
Cependant, la sécurité présente une limite : nous ne pouvons pas éliminer absolument le risque. Même s’il était possible d’éliminer tous les risques, un tel effort serait extrêmement coûteux et irréaliste. Par conséquent, une situation dite sûre signifie généralement que les risques sont contrôlés dans certaines limites et paramètres raisonnables.
La sécurité est un concept relatif et non une garantie absolue.
De plus, donner un sentiment de « sécurité » peut parfois introduire d’autres dangers potentiels. Par exemple, déplacer des personnes âgées vulnérables de leur domicile vers des hôpitaux ou des maisons de retraite, tout en améliorant apparemment leur sécurité médicale, peut entraîner d’autres risques sociaux ou psychologiques, tels que des infections nosocomiales, la dépression, l’anxiété et d’autres problèmes.
Le concept de sécurité peut être subdivisé en plusieurs types, notamment la sécurité standard, la sécurité substantielle et la sécurité perçue. La sécurité standard signifie qu'un produit ou une conception est conforme aux normes et aux exigences de pratique applicables, quel que soit son historique de sécurité réel. En revanche, la sécurité physique est basée sur le bilan de sécurité du produit lors d’une utilisation réelle, tandis que la sécurité perçue est la perception personnelle de l’utilisateur et son confort face au risque.
La sécurité perçue détermine parfois les mandats, ce qui ajoute des coûts et des inconvénients sans améliorer la sécurité réelle.
Par exemple, les feux de circulation donnent à de nombreuses personnes un sentiment de sécurité, mais dans certains cas, ils peuvent augmenter la fréquence des accidents de la circulation. Cela reflète la contradiction entre la nature de la sécurité et la perception que nous en avons. Dans certains cas, la peur d’une action particulière peut nous amener à choisir une alternative plus dangereuse, comme après les attentats terroristes du 11 septembre, lorsque de nombreuses personnes ont choisi de conduire plutôt que de prendre l’avion, même si le risque réel de prendre l’avion était bien inférieur à celui de prendre l’avion. conduite.
Les problèmes de sécurité entraînent souvent une variété de réponses aux risques perçus, notamment des contre-mesures techniques et des approches réglementaires. Souvent, l’assurance est le principal document de réponse pour les personnes confrontées à des risques potentiels de sécurité, fournissant une indemnisation pour les pertes ou les dommages.
Dans un environnement technologique et social en constante évolution, l’analyse des questions de sécurité est devenue de plus en plus complexe et difficile.
Les mesures d’assurance de la sécurité comprennent l’analyse chimique, les tests de produits et l’évaluation par des experts, dans le but d’améliorer la sécurité et de réduire les risques pour la santé humaine. Aujourd’hui, la plupart des revues scientifiques sont consacrées à la recherche sur la sécurité, dans le but d’identifier, de comprendre et d’atténuer les menaces potentielles pour la santé et le bien-être humains.
Plusieurs organisations travaillent à l’établissement de normes de sécurité, qui établissent des réglementations pour garantir la sécurité des produits et des services. Ces organisations sont généralement des agences bénévoles ou gouvernementales et sont continuellement revues et mises à jour pour répondre aux besoins changeants.
À l’échelle mondiale, chaque pays dispose d’organismes de normalisation compétents pour garantir l’efficacité des normes de sécurité. Ces organismes sont chargés d’élaborer, de publier et de garantir le respect des normes de sécurité. L’élaboration de normes implique des discussions entre experts au sein de l’industrie et des exigences réglementaires gouvernementales, fournissant des orientations pour divers produits au sein de l’industrie.
La gestion de la sécurité n’est pas seulement un remède après une catastrophe, mais également une stratégie importante pour éviter qu’elle ne se produise.
En bref, la sécurité n’est pas seulement un simple concept visant à éviter le danger, mais un système à multiples facettes qui combine le comportement social, la réflexion conceptuelle et même l’innovation technologique. Cela soulève également une question : dans le monde en constante évolution d’aujourd’hui, comment pouvons-nous mieux comprendre et répondre aux défis de sécurité pour garantir la sécurité et le bien-être futurs ?