En Nouvelle-Galles du Sud, en Australie, le vol est considéré comme un crime grave qui implique la prise illégale de biens personnels d'une autre personne ou d'une entreprise sans son consentement. La peine maximale pour vol en vertu de l'article 117 de la loi sur les crimes de Nouvelle-Galles du Sud de 1900 est de cinq ans d'emprisonnement. Bien que la loi stipule clairement la peine pour le crime de vol, elle n’explique pas en détail les éléments du crime. L’importance de ces éléments doit être accordée au contexte de la common law anglaise.
La définition du vol requiert un « contrôle réel » et une « intention claire », ce qui signifie que le défendeur doit être en possession du bien sans le consentement du propriétaire.
La loi de la Nouvelle-Galles du Sud s'appuie sur l'affaire Ilich c. R (1987) pour déterminer les exigences d'intention et de conduite pour le crime de vol, déterminant ainsi si le défendeur est coupable. Cette affaire souligne que « l’intention subjective » et le « comportement objectif » doivent exister simultanément pour que les procureurs puissent mener à bien les poursuites.
Selon la loi, les éléments du vol comprennent l'acte de prendre un bien (l'élément de l'acte) et l'intention du criminel requise pour cet acte (l'élément de l'intention). Ces éléments peuvent être compris sous plusieurs aspects clés.
Contrôle et gardeLégalement, le vol est un crime contre le contrôle. Il est important de comprendre la différence entre le contrôle et la garde. Un individu ayant un contrôle physique (c'est-à-dire une « possession réelle ») a un contrôle direct sur la propriété, tandis qu'un individu ayant un contrôle d'autorité (c'est-à-dire une « possession construite ») n'a pas de contrôle direct mais dispose d'un pouvoir considérable pour disposer ou utiliser la propriété. .
L’acte criminel doit impliquer de prendre la propriété d’une autre personne, même si ce n’est que pour un moment.
En Nouvelle-Galles du Sud, la prise doit être explicite et impliquer un contrôle physique substantiel. Cela signifie que le simple fait d’empêcher quelqu’un de prendre possession d’un bien ne constitue pas un vol ; le contrevenant doit prendre le contrôle total du bien. L’analyse de cas dans de tels cas souligne que même un moment de contrôle suffit à constituer un acte de prise.
Traditionnellement, le vol nécessite non seulement le contrôle physique de la propriété, mais également le déplacement de la propriété. Même le plus petit mouvement est efficace. Toutefois, le déplacement doit constituer un déplacement définitif de l’emplacement d’origine et non pas simplement une activité préparatoire à un déplacement futur.
L'obligation de déménager ne nécessite pas nécessairement le déménagement des locaux du propriétaire initial, mais uniquement la preuve de l'intention et de la conduite de vol.
Le vol doit concerner la propriété d’une autre personne. Cela signifie que les objets volés doivent appartenir à quelqu'un d'autre. En particulier, la loi souligne que les particuliers ne peuvent pas voler les choses qui leur appartiennent, ce qui constitue une protection juridique entre copropriétaires et propriétaires.
L'essence du vol est un acte illégal sans le consentement du propriétaire, ce qui signifie que l'acte doit être effectué dans le secret, la force, la menace ou la fraude pour en faire un crime.
Même si le bien a été initialement obtenu légalement, toute utilisation abusive ou détournement ultérieur constitue un vol.
Le délinquant doit avoir l’intention de voler. Cette intention doit être comprise comme une volonté de priver définitivement le propriétaire de sa propriété. Cela signifie qu’une fois qu’une propriété est occupée illégalement, on est responsable des conséquences juridiques de l’acte.
D'un point de vue juridique, les objets volés doivent avoir une valeur économique, c'est-à-dire des objets qui peuvent être vendus sur le marché. Même si la valeur marchande d’un objet est négligeable, il peut être considéré comme un vol à condition qu’il ait une valeur pour le propriétaire.
Dans le cadre juridique de la Nouvelle-Galles du Sud, le vol est clairement défini, rappelant à la société de renforcer la sensibilisation juridique au vol et d'éviter les conséquences juridiques potentielles tout en protégeant la propriété et en préservant l'intégrité des droits de propriété.
Le vol, en termes juridiques, a-t-il des effets durables sur la société et la qualité de vie des individus ?