bioRxiv | 2019

The reconstitution of body mass index in HIV positive subjects under antiretroviral treatment in Kinshasa

 
 

Abstract


Objective We aimed to evaluate BMI changes in HIV adults’ subjects in the first year of ART in malaria endemic areas. Methods We used linear regression analysis showing that the change in weight at 12 months (y) in a malaria-endemic area is related to malaria infection at admission and its different episodes as illustrated by equation: y = a + bxi + ε, where x is malaria on admission, i refers to episodes of clinical malaria infection during the year, b is the slope, a is a constant and ε are confounding factors such as tuberculosis or poor eating habits. Results We found a positive value for b (b = 0.697), and this shows that weight loss at 12 months is correlated with the diagnosis of severe malaria at admission. In other words, severe malaria eliminates the weight gained under ART. Conclusions Malaria is the leading cause of weight loss under ART. Important recommendation for future: This study suggests nutritional education based on local foods containing antioxidants to fight the oxidative stress generated by HIV and stimulated by Plasmodium falciparum during febrile episodes. Oxidative stress is blocked by NADPHase which is a metalloenzyme based on selenium. Thus, to prevent a weight loss or the occurrence of the protein-energy malnutrition among people living with HIV, it is necessary to use the nutritional education. Résumé Objectif Nous voulions évaluer les modifications de l’IMC chez les patients VIH adultes au cours de la première année du traitement antirétroviral dans une zone d’endémie palustre Matériel et Méthodes Nous avons utilisé une analyse de régression linéaire montrant que la variation de poids à 12 mois (y) dans une zone d’endémie palustre est liée à l’infection palustre à l’admission et à ses différents épisodes, comme l’illustre l’équation suivante: y = a + bxi + ε, où x est le paludisme à l’admission, i les épisodes de paludisme clinique survenus au cours de l’année, b est la pente, a est une constante et ε sont des facteurs de confusion tels que la tuberculose ou de mauvaises habitudes alimentaires.. Résultats Nous avons trouvé une valeur positive pour b (b = 0,697), ce qui montre que la perte de poids à 12 mois est en corrélation avec le diagnostic de paludisme grave à l’admission. En d’autres termes, le paludisme grave élimine le poids gagné sous traitement antirétroviral. Conclusions Le paludisme est la principale cause de perte de poids sous ARV. Recommandation importante pour l’avenir : Cette étude suggère une éducation nutritionnelle basée sur des aliments locaux contenant des anti-oxydants pour lutter contre le stress oxydatif généré par le VIH et stimulé par le Plasmodium falciparum lors des poussées fébriles. Le stress oxydatif est bloqué par la NADPHase qui est une métalloenzyme à base de sélénium. Ainsi, il est nécessaire d’utiliser l’éducation nutritionnelle pour prévenir la perte du poids sous ARV.

Volume None
Pages None
DOI 10.1101/524462
Language English
Journal bioRxiv

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