B. Devaux

ImageDes anomalies de la peau des mainsAbnormalities of hand skin

En mai 2003, un homme de 74 ans consultait pour douleurs es deux mains d’apparition récente associées à un syndrome nflammatoire. Les radiographies des mains initiales étaient ormales. La radiographie de thorax mettait en évidence une asse lobaire supérieure droite. Il était opéré en août 2003 pour n adénocarcinome bronchique peu différencié à grandes celules pT3N0M0. Il recevait une radiothérapie complémentaire our une atteinte pleurale médiastinale, puis plusieurs lignes e chimiothérapie en raison de l’apparition de métastases pulonaires en janvier 2004. À partir de septembre 2005, il se laignait de douleurs des membres inférieurs. Il existait un hipocratisme digital. Les radiographies des mains et des membres nférieurs montraient des appositions périostées, témoins d’une stéoarthropathie hypertrophiante pneumique paranéoplasique. ar ailleurs, les paumes des mains présentaient un aspect pariculier : couleur chamois, toucher velouté, épaississement des ermatoglyphes (Fig. 1 et 2). Les plantes des pieds étaient éparnées. Il n’y avait pas d’acanthosis nigricans.

Des anomalies de la peau des mains

En mai 2003, un homme de 74 ans consultait pour douleurs es deux mains d’apparition récente associées à un syndrome nflammatoire. Les radiographies des mains initiales étaient ormales. La radiographie de thorax mettait en évidence une asse lobaire supérieure droite. Il était opéré en août 2003 pour n adénocarcinome bronchique peu différencié à grandes celules pT3N0M0. Il recevait une radiothérapie complémentaire our une atteinte pleurale médiastinale, puis plusieurs lignes e chimiothérapie en raison de l’apparition de métastases pulonaires en janvier 2004. À partir de septembre 2005, il se laignait de douleurs des membres inférieurs. Il existait un hipocratisme digital. Les radiographies des mains et des membres nférieurs montraient des appositions périostées, témoins d’une stéoarthropathie hypertrophiante pneumique paranéoplasique. ar ailleurs, les paumes des mains présentaient un aspect pariculier : couleur chamois, toucher velouté, épaississement des ermatoglyphes (Fig. 1 et 2). Les plantes des pieds étaient éparnées. Il n’y avait pas d’acanthosis nigricans.