Bernard Granger
Necker-Enfants Malades Hospital
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Featured researches published by Bernard Granger.
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2003
Bernard Granger
RésuméLe système philosophique stoïcien comporte une physique, une logique et une éthique, organisées des façon cohérente autour de la notion de logos ou raison universelle. On y retrouve, notamment avec la doctrine de l’assentiment et l’accent mis sur la domination des “passions” par la raison, les prémisses des principes qui fondent les thérapies cognitives actuelles.AbstractStoicism comprises three parts: physics, logic, and ethics, coherently organized and based on the principle of logos or universal reason. The doctrine of assent and the great importance attached to the domination of “passions” by reason have obvious similarities to the principles of modern cognitive therapies.
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2005
Marc Brunet; Bernard Granger; Jean-Michel Azorin
RésuméLa schizophrénie est une affection chronique d’évolution généralement défavorable en dehors de toute prise en charge. Cependant, depuis une quinzaine d’années, une modification globale de notre vision de la maladie et de son traitement a eu lieu, nous permettant de concevoir que l’affection schizophrénie puisse connaître une rémission. Certains auteurs tentent désormais de définir, en s’appuyant sur les pratiques cliniques actuelles, les caractéristiques de ce stade de l’évolution de la schizophrénie, comme cela existe déjà pour d’autres pathologies notamment psychiatriques. Cette possibilité d’une rémission est due en partie au développement de nouvelles thérapeutiques médicamenteuses dans la prise en charge des patients schizophrènes. Les patients, qui bénéficient déjà des avantages des traitements antipsychotiques atypiques, pourront, avec l’arrivée de la forme d’action prolongée de la rispéridone, entrevoir avec peutêtre plus de certitude la réalité d’une rémission de la schizophrénie.AbstractSchizophrenia is a chronic disease whose prognosis is generally poor, if left untreated. However, over the last fifteen years, there have been changes in both the way the disease is viewed and how it is treated which now allow us to consider a possible remission. Today some authors try to define, based on current clinical practices, the features of this remission stage in schizophrenia, as they would for other psychiatric diseases. This new emphasis on remission in schizophrenia, as they would for other psychiatric diseases. This new emphasis on remission in schizophrenia is also made possible due to new developments in antipsychotic drug treatments. Patients, who are already benefiting from atypical antipsychotic treatments, should be able to expect the reality of remission with the advantages of new long-acting risperidone.
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2004
Claire Presne; Fadi Fakhouri; Laure Hélène Noël; Bernard Granger; Jean Pierre Grünfeld
RésuméLes sels de lithium sont efficaces dans la prévention des rechutes de la maladie maniaco-dépressive. Leur effet secondaire rénal le plus fréquent est un diabète insipide néphrogénique responsable d’une polyurie. Plus récemment, l’effet délétère du lithium sur la fonction rénale a été reconnu. Cet effet est dû au développement de lésions rénales tubulo-interstitielles. La progression de l’atteinte rénale est lente, avec une perte annuelle de filtration glomérulaire estimée à 2,2 ml/min. Une insuffisance rénale terminale a été rapportée chez certains patients. En France, une étude récente a montré qu’environ 0,2% des patients dialysés présentaient une maladie rénale induite par le lithium. L’insuffisance rénale terminale survient chez un faible pourcentage de patients traités par le lithium pendant une à deux décennies. Sa prévalence à long terme est inconnue. Les patients traités par le lithium doivent être suivis régulièrement; des mesures annuelles de la créatininémie, de la clairance de la créatinine et de la calcémie (vu le risque d’hyperparathyroïdie) sont fortement recommandées. Dans la phase initiale de la toxicité rénale, l’arrêt du lithium doit être discuté avec le patient par le psychiatre et le néphrologue.AbstractLithium salts are a well-established prophylactic treatment of relapses in bipolar disorder. Their most common renal side-effect is nephrogenic diabetes insipidus leading to polyuria. Only recently has their undesirable effect on renal function been recognized. This effect is due to the development of renal tubulo-interstitial lesions. The rate of progression is slow, with an annual loss of glomerular filtration estimated to be 2.2 ml/min. End-stage renal disease has been reported in some patients. In France, a recent survey showed that 0.2% of dialysed patients had lithium-induced renal disease. This complication occurs in a small percentage of lithium-treated patients, after 1 or 2 decades of treatment. However, its exact prevalence in the long-term is unknown. Lithium-treated patients should be regularly monitored. This monitoring should include annual measurements of serum creatinine and estimated creatinine clearance, as well as measurements of serum calcium (because hyperparathyroidism may develop). In early renal toxicity, discontinuation of lithium should be discussed with the patient by both the treating psychiatrist and the nephrologist.
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2009
Bernard Granger
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2009
Bernard Granger
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2008
Bernard Granger
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2007
Bernard Granger
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2007
Bernard Granger
Psychiatr Sci Hum Neurosci | 2005
Bernard Granger
Psn-psychiatrie Sciences Humaines Neurosciences | 2005
Bernard Granger