Cristiana Panella
Royal Museum for Central Africa
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Publication
Featured researches published by Cristiana Panella.
Critique of Anthropology | 2015
Cristiana Panella; Kedron Thomas
This special issue focuses on illegal practices and the forms of value produced as people engage in them. Embracing a methodological orientation that attends to criminalized networks and the values they structure from the inside, the contributions included here highlight micro processes of exchange and evaluation. By linking the study of local worlds to the apprehension of wider structural and cultural dynamics and processes, the collection develops a critical perspective on formal law’s legitimizing and delegitimizing effects with respect to the ethical and economic values illegal activities produce.
Review of African Political Economy | 2010
Cristiana Panella
This article focuses on the hierarchical relationships governing the local illicit trading networks in terracotta antiquities in the region of Baniko, in Mali. The level of authority and social control at the heart of the network lessens with each link in the chain, as a result of the monopoly and the fragmentation of knowledge. The article demonstrates that the social organisation of the network corresponds to a hierarchical habitus that ensures that the status quo of the dominant actors (urban antique dealers, rural antique dealers and intermediaries) is maintained through the economic dependence of the rural diggers, the monopoly of information and control of the network. Analysis of the first links in the network shows that action by rural intermediaries in the chain with respect to the weak links in the chain (the rural diggers) reproduces ‘micropolitics of power’ that are modelled on the same strategies of compartmentalisation of the local links, as used by the dominant actors on the rural intermediaries.
Review of African Political Economy | 2011
Cristiana Panella
La mobilité sociale et la confrontation de systèmes de valeurs ont toujours été deux volets prioritaires du débat des conférences de l’EASA (European Association of Social Anthropologists). La dernière rencontre, centrée autour du thème « Crisis and Imagination », témoigne d’une poursuite de la réflexion approchant le thème de la mobilité à partir des nodalités de situations locales et transnationales de ‘crise’ et des stratégies et représentations engagées dans ce cadre par les acteurs sociaux en place. Le but de la conférence était de mettre en évidence les nouveaux imaginaires qui sous-tendent les pratiques du social (mouvements religieux, fondamentalismes, altermondisme, etc) issues de la transnationalisation des relations sociales et des rapports de souveraineté et d’analyser les effets de changement enchâssés dans les conjonctures de crise. La question du rôle de l’Etat et, par conséquent, les implications locales du pluralisme juridique, ont représenté des volets de débat saillants. D’une part, les mobilités locale et transnationale semblent confrontées à la gestion, par les Etats-souverains, des sphères individuelles et collectives fonctionnelles à la représentation et à la pérennisation de la machine étatique. D’autre part, les processus de mondialisation ont abouti à une acception des relations sociales de plus en plus plurielle et détachée des frontières législatives nationales, issue d’ « échecs de l’imaginaire », tels, par exemple, les paradigmes du monopole d’Etat de l’outil juridique. La pluralité d’acteurs concernés par la « normation » de la vie quotidienne (institutions, organisations internationales, organisations non gouvernementales [ONG], mouvements sociaux, associations locales, individus) a ainsi abouti à une « alchimie institutionnelle » issue d’arènes sociales transversales de plus en plus contestées et mutuellement conditionnées (Zerilli 2010, p. 7). Cette fragmentation structurelle des terrains de gestion du quotidien a comporté un progressif assouplissement de la sphère juridique et, dans la pratique, de la nature coercitive de l’outil législatif en faveur d’une loi souple (« soft law ») censée mieux s’adapter à la pluralité des logiques et des pratiques transnationales (Zerilli 2010). Ainsi, plusieurs ateliers ont analysé la dimension représentationnelle de la gestion du pouvoir dans la mesure où la conception ontologique de la souveraineté a laissé la place à une « legal consciousness » ancrée dans les pratiques du quotidien. Dans cette optique, la souveraineté, autrefois incarnée par la loi d’Etat, s’identifie dans l’essor d’une forme d’autorité
European Journal on Criminal Policy and Research | 2014
Cristiana Panella
Social Anthropology | 2005
Cristiana Panella
Anuac | 2017
Cristiana Panella
Social Anthropology | 2016
Cristiana Panella
Anuac | 2016
Cristiana Panella
Social Anthropology | 2015
Cristiana Panella
Social Anthropology | 2015
Cristiana Panella