Network


Latest external collaboration on country level. Dive into details by clicking on the dots.

Hotspot


Dive into the research topics where D. Dufour is active.

Publication


Featured researches published by D. Dufour.


Archives De Pediatrie | 2010

P508 - Motivation des consultations aux urgences pédiatriques

P. Poitou; I. Loge; N. Hastier-Gouin; S. Guyet; A. Belgaid; D. Dufour; P. Le Roux

Objectif etudier la motivation du recours aux urgences et la place du medecin traitant. Etude prospective du 30 mars au 6 avril 2009. Le questionnaire portait sur le patient, son environnement social, le motif de consultation et le parcours de soins des enfants. Sur 633 passages, 78,5 % questionnaires analyses. Dans la population, 16,6 % avaient la CMU. Motifs traumatismes (34,4 %), fievre (14,5 %), troubles digestifs et respiratoires. Les patients consultaient d’eux-memes dans 75,1 % des cas. Adressage par un medecin (10,7%). Dans 29,6 % des cas, ils avaient deja consulte le medecin dans les 24 heures. Les motivations : faire des examens (23,7 %), inquietude (19,2 %), presence de specialiste (15,3 %). La dispense de l’avance du tiers payant n’etait pas un argument important dans le choix des urgences. Dans 57,6 % des cas, les patients consultaient au moins pour la deuxieme fois en un an aux urgences. Il y a eu 11,1 % d’hospitalisation cette semaine-la ; ce taux etait de 26 % chez les patients adresses. Les motifs de consultations relevent souvent de la medecine generale et auraient pu etre pris en charge en ville par le medecin traitant. Mais les parents cherchent une reponse rapide, avec une prise en charge de leur enfant a des horaires compatibles avec leur mode de vie.


Archives De Pediatrie | 2004

Mémoire originalLes conseils téléphoniques aux urgences pédiatriques : expérience du centre hospitalier du HavrePediatric telephone advice in the emergency department

D. Dufour; J.-C. Paon; B. Marshall; Aurélie Marcou; A. Belgaid; P. Le Roux

Objectives. – To describe the activity of telephone advice in a pediatric emergency department and assess the influencing factors to improve quality of care. Methods. – Descriptive study about all the anonymous telephone calls received on the direct line of the pediatric emergency room of Le Havre hospital, from 25 January to 25 July 2002, and all the advices given by a doctor or a nurse. Results. – The mean daily call frequency was 2.15 (0–12) with 586 calls during the 6 months period and the mean call duration was 3 min (1–20). Parents took telephone advices for: fever (27%), digestive troubles (22%), and trauma (14%). We found no difference concerning symptoms according to season. The rush hours were, on a bimodal graph, 0–1 am and 8–9 pm, paralleling the rush activity of consultation in pediatric emergency room. The heavy days for phone advices during the week were Tuesday and Wednesday. We found no correlation between heavy days of week and phone call duration. Thirty percent of cases did not need any advice because the asks were only an orientation advice. Advice to go to our emergency department was done in 11% of orientation advice. The call duration was significantly longer for: (1) calls including several symptoms or griefs, (2) calls given by a nurse; (3) calls taking place during hours of lowest activity in the emergency room (between 6 and 12 am), (4) calls including advice about medication or diet; (5) calls for counselling an orientation other than medical establishment. Conclusion. – Our assessment of telephone call advices represented the first step to improve the quality of answer to families. Next step will be written protocols to answer more adequately to main griefs and symptoms that lead families to search for phone counselling.


Archives De Pediatrie | 2004

Les conseils téléphoniques aux urgences pédiatriques : expérience du centre hospitalier du Havre

D. Dufour; J.-C. Paon; B. Marshall; Aurélie Marcou; A. Belgaid; P. Le Roux

Objectives. – To describe the activity of telephone advice in a pediatric emergency department and assess the influencing factors to improve quality of care. Methods. – Descriptive study about all the anonymous telephone calls received on the direct line of the pediatric emergency room of Le Havre hospital, from 25 January to 25 July 2002, and all the advices given by a doctor or a nurse. Results. – The mean daily call frequency was 2.15 (0–12) with 586 calls during the 6 months period and the mean call duration was 3 min (1–20). Parents took telephone advices for: fever (27%), digestive troubles (22%), and trauma (14%). We found no difference concerning symptoms according to season. The rush hours were, on a bimodal graph, 0–1 am and 8–9 pm, paralleling the rush activity of consultation in pediatric emergency room. The heavy days for phone advices during the week were Tuesday and Wednesday. We found no correlation between heavy days of week and phone call duration. Thirty percent of cases did not need any advice because the asks were only an orientation advice. Advice to go to our emergency department was done in 11% of orientation advice. The call duration was significantly longer for: (1) calls including several symptoms or griefs, (2) calls given by a nurse; (3) calls taking place during hours of lowest activity in the emergency room (between 6 and 12 am), (4) calls including advice about medication or diet; (5) calls for counselling an orientation other than medical establishment. Conclusion. – Our assessment of telephone call advices represented the first step to improve the quality of answer to families. Next step will be written protocols to answer more adequately to main griefs and symptoms that lead families to search for phone counselling.


Archives De Pediatrie | 2014

SFP P-012 - La dysménorrhée chez l’adolescente : mythe ou fatalité

M. Kernemp; N. Hastier-Gouin; Dimitri Giannaka; F. Lammens; S. Guyet; D. Dufour; M. Belgaid; P. Le Roux

La dysmenorrhee chez les adolescentes est le plus souvent d’origine fonctionnelle et s’installe dans les premieres annees suivant l’apparition de la menarche. Elle peut se reveler etre une cause de douleur entrainant un absenteisme scolaire et sportif. Nous nous sommes interesses aux adolescentes consultant en gyneco-pediatrie entre 2009 et 2013 a l’hopital du Havre. Nous avons inclus 40 patientes presentant une dysmenorrhee. Les facteurs reconnus de dysmenorrhees dans la litterature sont : un âge des premieres regles inferieur a 11 ans et des antecedents familiaux de dysmenorrhee. Dans notre population, l’âge moyen a la premiere consultation etait de 14ans 4 mois, l’âge moyen de la menarche a 12 ans (moyenne nationale a 12ans 8 mois) dont 15% avant 11 ans. Des antecedents familiaux de dysmenorrhee etaient retrouves pour 25%. La douleur etait ressentie comme faible chez 25% des jeunes filles et forte chez 40%. Cette dysmenorrhee entrainait un absenteisme scolaire chez 37% des jeunes filles. 72,5% des jeunes filles avaient essaye un traitement antalgique avant la consultation, efficace seulement dans 34,5% des cas. La dysmenorrhee est le plus souvent fonctionnelle chez les adolescentes, mais encore trop souvent meconnue ou minimisee par les parents et les medecins.


Archives De Pediatrie | 2010

P002 - Quand faut-il penser à la prescription des βHCG chez les jeunes filles ? À propos de deux cas

N. Hastier-Gouin; S. Guyet; A. Belgaid; D. Dufour; B. Coowar; C. Trichot; P. Le Roux

Sarah 12 ans, consulte pour fievre depuis 10 jours avec vomissements et lombalgies. L’ECBU isole un Escherichia Coli. L’echographie renale decouvre une grossesse de 10 SA. Sarah aurait subi un viol par son demi frere de 19 ans. Un signalement est envoye, elle aura une IVG. Johanna 11 ans, consulte vomissements et perte de 9 kg en 15 jours. Les dernieres regles remontent a 2 mois. Les βHCG sont a 106 unites/ml. L’echographie montre une masse floconneuse intra-uterine (mole hydatiforme). Johanna aurait subi un viol par son beau-pere. Elle aura un curetage et est place en famille d’accueil. Discussion En 1996, 2237 viols sur mineur ont ete signales (dont 466 cas d’incestes). En 2001, il y a eu en France 16000 grossesses chez les adolescentes, dont 5000 naissances (0,9 % des naissances totales). En 2003 il y a eu 20000 enfants maltraites en France, dont 5500 abus sexuels, chiffres stables depuis quelques annees. Au Havre depuis 10 ans, le nombre de naissances chez les mineures est stable autour de 1,2 % (moyenne nationale 0,5 %). De 2000 a 2003, il y a eu 136 naissances. Conclusion Ces deux cas de grossesses chez de tres jeunes filles montrent l’importance du dosage des βHCG chez toute fille pubere presentant des douleurs abdominales ou une alteration de l’etat general.


Archives De Pediatrie | 2010

P500 - Les nouveaux animaux de compagnie aux urgences pédiatriques

M. Letouzey; S. Guyet; N. Hastier-Gouin; D. Dufour; A. Belgaid; C. Ricard; P. Le Roux

Il existe un engouement recent pour les NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie) presents dans 5 % des foyers francais. Objectif Evaluation du nombre de morsures de NAC sur la periode 2008-2009 aux urgences pediatriques. Materiels et Methodes Etude retrospective de dossiers d’enfants de moins de 16 ans consultant pour morsure de NAC entre janvier 2008 et decembre 2009 ; donnees fournies par le Departement d’Information Medicale et par l’InVS (etude EPAC-Enquete Permanente sur les Accidents de la vie Courante). Resultats Nous avons recense 12 cas de morsures. 5 filles et 7 garcons, âge moyen = 3 ans 1 mois. NAC impliques : furet (5), rat (5), lapin (1), hamster (1). Lesions observees : plaies de visage (4), de main (2), de doigt (5) ou du genou (1). Prise en charge : soins locaux (tous), suture (4 cas), antibioprophylaxie (amoxicilline + acide clavulanique ou acide fucidique) (8 cas). Centre Anti Rabique contacte 3 fois. Consultation veterinaire dans 4 cas. Aucune hospitalisation ou prise en charge chirurgicale. Conclusion Les morsures par les NAC representent un motif de consultation peu frequent mais nouveau pour lequel des protocoles de prise en charge meriteraient d’etre developpes (risque rabique, antibioprophylaxie).


Archives De Pediatrie | 2010

P466 - Évaluation des pratiques lors d’une suspicion d’infection urinaire aux urgences pédiatriques

A. Belgaid; F. Lammens; N. Hastier-Gouin; S. Guyet; D. Dufour; P. Le Roux

Au service des urgences pediatriques, nous avons realise une etude prospective sur 13 mois.Tous les enfants ayant beneficies d’une demande d’ ECBU ont ete inclus dans l’etude. 392 enfants ont ete inclus dans l’etude. La fievre etait dans 57 % le motif de consultation et 20 % les brulures urinaires. Le recueil des urines etait dans 53 % en per-mictionnel et 44 % a l’aide d’une poche a urines. La sensibilite de la bandelette urinaire etait de 91 % et la specificite de 68%, la valeur predictive positive de 52 % et la valeur predictive negative de 95 %. L’Escherichia Coli a ete retrouve dans 70 % des infections urinaires et il etait resistant a l’amoxicilline dans 56 % des cas, a l’association amoxicilline-acide clavulanique dans 33,3 % des cas, au cotrimoxazole dans 19 % mais pas resistance dans notre etude ni a la ceftriaxone ni au cefixime. Dans notre etude la bandelette urinaire a represente un moyen fiable de diagnostic avec une valeur predictive negative de 95 % mais l’ECBU reste trop souvent demande. L’Escherichia coli est le premier germe responsable des infections urinaires, sa resistance bacterienne est un sujet inquietant et afin de ne pas aggraver cette evolution, le traitement antibiotique initial doit repondre aux recommandations de l’AFSSAPS.


Archives De Pediatrie | 2008

SFP-P026 – Calcium – Etat des lieux sur la supplémentation en vitamine D chez l’enfant

N. Hastier-Gouin; M. Mathe; N. Bogliolo Hauss; A. Belgaid; A. Rose; D. Dufour; J.-C. Paon; P. Le Roux

Le rachitisme est devenu exceptionnel aujourd’hui grâce a la mise en place de la supplementation par vitamine D systematique chez la femme enceinte et chez l’enfant jusqu’a 5 ans et plus recemment grâce a l’enrichissement des laits infantiles. En revanche l’hypovitaminose D reste frequente. Elle peut compromettre la mineralisation du squelette, favoriser l’osteoporose, certains cancers, certaines maladies auto-immunes et des pathologies cardiovasculaires. Selon les recommandations de 1993, la supplementation doit etre : - de 400 a 800 UI/jour pour un enfant alimente au sein ou alimente par un lait 1 er ou 2 e âge (> 500 ml / jour) ; - de 1000 a 1200 UI/jour chez l’enfant diversifie, qui recoit moins de 500 ml de lait enrichi ; - 80 a 100 000 unites tous les trois mois pendant l’hiver entre 18 mois et 5 ans. Notre etude a comporte l’analyse de la supplementation en vitamine D chez 115 enfants de moins de 5 ans se presentant aux Urgences Pediatriques du HAVRE pendant l’ete 2005. Tous âges confondus, 35 % des enfants recoivent une supplementation vitaminique D adaptee aux recommandations, 49 % ont un apport inferieur aux doses recommandees et 21 % ne sont pas supplementes. Chez 16 %, cette dose est superieure aux recommandations. Les plus de 18 mois recoivent une supplementation significativement moins bien adaptee et 12 % n’ont aucun apport de lait. Chez les enfants a peau pigmentee, la supplementation est significativement moins bien adaptee que ceux a peau blanche. Depuis 2002 nous pouvons remarquer que l’utilisation des laits enrichis est plus developpee. Pres de 80 % des enfants de notre etude avaient une prescription de vitamine D, mais souvent mal adaptee. La proportion d’enfants ne recevant aucune supplementation en vitamine D reste elevee, malgre une progression dans l’application des recommandations. La poursuite de la diffusion des recommandations aupres des professionnels semble necessaire, surtout pour les populations a risque et en insistant aupres des parents sur l’utilite de conserver un apport lacte adapte et une supplementation au-dela de 18 mois. Enfin, les donnees scientifiques sur la supplementation vitaminique sont actuellement insuffisantes : de nouvelles etudes sont necessaires pour mieux en preciser les modalites.


Presse Medicale | 2004

Intoxication cannabique chez un enfant de 11 mois

Aurélie Marcou; Jean-Christophe Paon; D. Dufour; A. Belgaid; Jean-Pierre Goullé; Pascal Le Roux


Archives De Pediatrie | 2007

Angine streptococcique aux urgences pédiatriques : performances et impact d'un test de diagnostic rapide

N. Buchbinder; A. Benzdira; A. Belgaid; D. Dufour; J.-C. Paon; A. Morel; P. Le Roux

Collaboration


Dive into the D. Dufour's collaboration.

Top Co-Authors

Avatar

B. Thélot

Institut de veille sanitaire

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

G. Pédrono

Institut de veille sanitaire

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

C. Ricard

Institut de veille sanitaire

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar
Researchain Logo
Decentralizing Knowledge