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Featured researches published by E. Schmitt.


Journal of Neuroradiology | 2009

Posterior reversible encephalopathy syndrome : A case of unusual diffusion-weighted MR images

A. Benziada-Boudour; E. Schmitt; S. Kremer; S. Foscolo; A.-S. Rivière; M. Tisserand; A. Boudour; Serge Bracard

Posterior reversible encephalopathy (PRES) represents an uncommon entity related to multiple pathologies, the most common of which is hypertensive crisis. PRES is classically characterized as symmetrical parieto-occipital edema, but may affect other areas of the brain. Diffusion-weighted magnetic resonance imaging (DWI) is important for differentiating between vasogenic and cytotoxic edema. We present here the case of a 43-year-old woman, known to suffer from arterial hypertension and severe renal failure, who developed PRES with restricted apparent diffusion coefficients (ADC) in various cerebral areas, suggesting irreversible tissue damage. Nevertheless, follow-up cranial MRI revealed complete remission, indicating that restricted diffusion does not always lead to cell death in this pathology. The underlying pathophysiological mechanism is not well understood. Such reversibility of diffusion anomalies has already been reported with transient ischemia, vasospasm after subarachnoid hemorrhage and epilepsy but, to our knowledge, never before in PRES.


Journal De Radiologie | 2010

Imagerie des traumatismes crâniens par arme à feu.

A. Gervaise; S. Foscolo; A.S. Rivierre; Anne-Laure Derelle; E. Schmitt; M. Braun; R. Anxionnat; Serge Bracard

Imaging of cranial gunshot traumas Cranial traumas from gunshot wounds are characterised by the impact of a high velocity projectile. There are therefore serious, life threatening traumas. CT Scan is essential in the emergency setting for initial evaluation of traumatic bone and parenchymatous injuries to determine the indication for neurosurgery and appropriate medical management. In case of survival, CT Scan and MRI can be used to monitor progress and any possible complications, in particular vascular or infectious complications which are specific to this type of injury.


Journal of Neuroradiology | 2005

Neuroradiologie de la maladie de rendu osler

Serge Bracard; E. Schmitt; Stéphane Kremer; R. Anxionnat; Luc Picard

Resume La maladie de Rendu Osler est une dysplasie vasculaire familiale hereditaire a forte penetrance et expression variable. Il en existe au moins deux formes : HHT1 ou la mutation porte sur le gene de l’endogline sur le chomosome 9 et HHT2 ou la mutation genetique porte sur le gene de l’activin receptor-like kinase 1 sur le chromosome 12. La maladie de Rendu Osler est caracterisee par des telangiectasies cutaneo-muqueuses et des malformations arterioveineuses viscerales. Les manifestations neurologiques touchent 8 a 10 % des patients. Il peut s’agir d’AVC ischemique ou d’abces compliquant une FAV pulmonaire ou de manifestations en rapport avec des malformations arterioveineuses (MAV) cerebrales ou medullaires. Ces MAV ont cependant des risques plus faibles que les MAV sporadiques et ne justifient pas un depistage systematique excepte chez l’enfant en particulier issu de famille porteuse de la forme HHT1.


Journal of Neuroradiology | 2006

Suivi iconographique d’un état de mal épileptique prolongé

Adrien Didelot; Stéphane Kremer; E. Schmitt; Louis Maillard; S. Gibot; A. Cravoisi; Hervé Vespignani; Serge Bracard; Luc Picard

Resume Nous rapportons l’observation d’une femme âgee de 20 ans sans antecedent significatif, qui presente dans les suites d’une meningite lymphocytaire un etat de mal epileptique pharmacoresistant. Ce dernier a fait l’objet d’une surveillance en IRM reguliere permettant de reveler l’apparition progressive de lesions d’abord a nette predominance corticale, bilaterales et symetriques puis sous-corticales, atteignant les noyaux gris centraux. Secondairement, sont apparus une necrose laminaire puis des foyers de necrose hemorragique et une atrophie cerebrale a predominance sous-corticale. La negativite du bilan paraclinique et la similitude avec les modeles animaux nous font envisager que ces lesions sont liees a l’epilepsie.


Journal De Radiologie | 2004

Risques et responsabilités en radiologie diagnostique et interventionnelle. Aspects éthiques et médico-légaux

L. Picard; Serge Bracard; M. Braun; R. Anxionnat; C. Moret; A. Lebedinsky; S. Finitsis; E. Schmitt; Stéphane Kremer

Medical risk management has one main purpose: to ensure the safety of care. The law of March 2002 has generated a true cultural revolution. The radiologist is involved with new and difficult areas of medical liability due to technical advances, the increasing number of imaging techniques, the increasing complexity of imaging techniques, their efficiency and the need for multidisciplinary approach. Imaging recommendations requiring increasing levels of technical and clinical skills. The radiologist is liable with regards to the indications of imaging studies, and also with regards to informed consent. The prevention of medicolegal problems is achieved by competency, which must be combined to good liability insurance and ongoing vigilance supported by appropriate continuous medical education.


Journal of Neuroradiology | 2006

Évolution d’une myélomalacie post-traumatique vers une syringomyélie : suivi iconographique

A.S. Rivierre; Stéphane Kremer; I. Loiret; Catherine Pinelli; M. Braun; Valery Antoine; E. Schmitt; R. Anxionnat; C. Moret; Serge Bracard

Resume Nous rapportons le cas d’un patient ayant presente 2 mois apres un traumatisme medullaire responsable d’une paraplegie de niveau Th5, une aggravation neurologique secondaire ascendante. L’IRM a montre une myelomalacie se traduisant par un œdeme medullaire predominant au sein de la substance grise, s’etendant du foyer lesionnel (Th8) jusqu’a la jonction cervicobulbaire. Cette lesion medullaire, correspondant a un œdeme cytotoxique de la substance grise, a evolue vers la constitution d’une cavite de syringomyelie.


Journal of Neuroradiology | 2004

Mélanome primitif intrarachidien: À propos d’un cas

N. Blanchard; Stéphane Kremer; O. Klein; E. Schmitt; Serge Bracard; Luc Picard

Resume Le melanome intra rachidien est une tumeur primitive de localisation inhabituelle. Nous rapportons un nouveau cas, atypique par sa primo localisation radiculaire, et par sa recidive metastatique precoce a 6 mois intra durale, extra medullaire. L’IRM est l’examen de choix, mettant en evidence une lesion spontanement hyper intense en ponderation T1, rehaussee intensement par le gadolinium, et dont le signal s’attenue en ponderation T2, orientant d’emblee le diagnostic vers un caractere melanique ou hemorragique. Les anomalies de signal ne sont cependant pas specifiques et le diagnostic de certitude est etabli par l’analyse anatomo-pathologique.Intra spinal primary melanoma is a rare entity. We report a new case, atypical in relation to its primary radicular location, and to its early metastatic intradural and extra-medullary location, six months later. MRI is the more valuable examination, showing a spontaneously hyper-intense lesion on T1-weighted MR images, intense enhancement after gadolinium administration, and decreased signal on T2-weighted MR images, thus suggesting a diagnosis of melanocytic or hemorrhagic lesion. Signal abnormalities are not specific and definitive diagnosis is established after histological analysis.


Journal De Radiologie | 2008

Interet de l’imagerie dans le bilan pre-implantatoire des surdites profondes de l’enfant

A. Bessayah; E. Schmitt; C. Moret; L. Coffinet; B. Montaut-Verient; S. Foscolo; Serge Bracard

Objectifs Preciser la place de l’imagerie dans le bilan pre-implantatoire des surdites perceptionnelles profondes de l’enfant et revue des entites nosologiques. Materiels et methodes Etude retrospective par 2 neuroradiologues (1 junior et 1 senior) a partir d’une serie de 36 enfants (15 filles, 21 garcons, âges moyens respectifs de 3,1 et 3,4 ans) ayant beneficie d’une imagerie par scanner (monobarrette (lxa0×xa0lxa0mm – LightSpeed CT/i – GE Healthcare) et 64 detecteurs (64xa0×xa00,625xa0mm – LightSpeed VCT – GE Healthcare) et IRM (1,5T Signa GE Healthcare) dans le cadre du bilan preimplantatoire de janvier 2003 a fevrier 2008. Analyse systematique des differentes parties de l’oreille et recherche des contre-indications (i. e., aplasie du nerf VIII, du labyrinthe). Iconographie des varietes etiologiques pouvant conduire a la pose d’un implant cochleaire. Description de la procedure operatoire avec en filigrane les particularites anatomiques (procidence tympanique d’une veine jugulaire, d’un canal semi-circulaire, etc.) devant etre mentionnees a l’operateur. Resultats Dans notre serie, nous avons releve 19 examens sans particularite (N), 4 stenoses du labyrinthe membraneux, 3 syndromes CHARGE, 3 malformations complexes de l’oreille, 2 malformations de MONDINI, 2 hypoplasies labyrinthiques, 1 dilatation isolee de l’aqueduc du vestibule, 1 agenesie du nerf VIII et 1 labyrinthite ossifiante post-meningitique. Seuls 21 (sur 36) enfants ont ete implantes (19xa0N, 1 stenose du labyrinthe membraneux et 1 CHARGE). Un cas d’oreille geyser a ete objective avant l’intervention mais 1 autre n’avait pas ete decele en pre-operatoire. Aucune variante anatomique n’a ete decrite en imagerie comme en per-operatoire. Conclusion En precisant le diagnostic etiologique et la faisabilite du geste, en prevenant le chirurgien des situations a risque, l’imagerie est certes incontournable, mais a aussi permis une meilleure connaissance de la pathologie de l’oreille interne.


Journal De Radiologie | 2008

Certification et EPP en imagerie : notre experience au CHU de Nancy

S. Lefort; M. Cessa; R. Anxionnat; E. Schmitt; Serge Bracard

Objectifs La deuxieme version de la procedure de certification s’appuie sur des actions EPP. L’objectif de ce travail est de presenter le theme EPP concernant l’imagerie retenu par le CHU de Nancy. Materiels et methodes Le theme « evaluation et amelioration de la dose delivree lors d’un scanner cranio-encephalique » a ete choisi en raison de la frequence de cet examen qui est realise par tous les services de radiologie et pour lequel existent des normes bien definies en terme d’irradiation. Un groupe de travail comprenant des representants medicaux et paramedicaux de chaque service d’imagerie a ete constitue. La methode d’Audit Clinique Cible, a partir de 120 dossiers, a ete retenue comme methode d’evaluation et se deroule en quatre etapes : elaboration d’un referentiel (11 criteres d’evaluation), mesure des ecarts de la pratique par rapport au referentiel, mise en place d’un plan d’amelioration adapte a chaque service, reevaluation des resultats apres correction. Resultats La 1re evaluation sert d’etat des lieux et met en evidence les points forts et les points faibles des pratiques. Elle permet de hierarchiser les actions d’amelioration. La 2e evaluation permet d’apprecier la pertinence du plan d’actions et d’en mesurer les resultats. Conclusion L’EPP facilite l’harmonisation des pratiques en imagerie. Elle s’integre dans une demarche d’amelioration continue de la qualite des soins. Cette action rapide et efficace, offre des solutions perennes. Elle mobilise l’ensemble des equipes d’imagerie et constitue une approche des demarches qualite par le personnel.


Journal De Radiologie | 2008

NR-WS-56 Comment reconnaitre une tumeur de bas grade en imagerie morphologique ?

S. Foscolo; L. Taillandier; E. Schmitt; A.S. Rivierre; Serge Bracard

Objectifs Il semble aise grâce a l’imagerie fonctionnelle-diffusion, perfusion, spectroscopie-de faire le diagnostic de gliome de bas grade. Encore faut-il pouvoir en beneficier. En imagerie morphologique, le diagnostic peut etre difficile et les erreurs grossieres. Materiels et methodes En colligeant differents examens, nous avons revu les elements d’orientation clinique et la semiologie lesionnelle conventionnelle qui assuraient precocement le diagnostic. Resultats Devant une anomalie de signal focalisee en hypersignal T2, premiere question, s’agit-il d’une tumeur ? Un patient de plus de 60 ans et une presentation clinique aigue eliminent la tumeur de bas grade. L’absence d’effet de masse est en faveur d’images sequellaires. Des anomalies de signal en ponderation T2* ou corticales gyriformes orientent vers une etiologie vasculaire. Une veine corticale en hypersignal T1 SE fait suspecter une thrombophlebite. Deuxieme question : le grade tumoral ? L’injection de produit de contraste est indispensable : la tumeur se rehausse, elle n’est pas ou plus de bas grade. A l’inverse, l’absence de rehaussement d’une tumeur gliale supposee du patient âge doit remettre en cause le diagnostic de tumeur. Conclusion Les elements apportes par l’imagerie morphologique doivent faire evoquer le diagnostic, indiquer l’eventuel complement d’imagerie fonctionnelle, sans attendre le classique controle a 3 mois.

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O. Klein

University of Lorraine

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O. Naggara

Paris Descartes University

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