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Featured researches published by E. Wiel.
Journal Européen des Urgences | 2008
B. Evrard; E. Wiel; P. Goldstein; P. Mauriaucourt; B. Grandbastien; N. Assez
Mots clés. — Infection ; Nosocomiale ; BMR Introduction.— En 2007 persiste une réelle méconnaissance du statut infectieux des patients hospitalisés en réanimation et transportés par les Smur. Celle-ci entraı̂ne de fréquentes interruptions des mesures de prévention de la transmission d’infection ; ainsi 22 % de ces patients développeront une infection nosocomiale (Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire 1999;5:17—19). L’objectif de ce travail est d’évaluer le risque infectieux lors de ces transferts et d’analyser les pratiques de prévention. Méthodes. — Une étude prospective sur neuf mois (janvier— septembre 2007) a été menée dans un Samu. La population étudiée concerne tous les patients adultes transitant par un service de réanimation et bénéficiant d’un transfert secondaire durant leur séjour. Nous avons conçu deux fiches de recueil de données. La première fiche collecte les informations concernant le statut infectieux du patient : infection nosocomiale, type de bactéries multirésistantes (BMR), localisation du germe, type de précaution en réanimation. La deuxième fiche « checklist » signale les mesures de protection adoptées par l’équipe, ainsi que les actions menées aux différentes étapes de la prise en charge : port de masque, de gants, gestes invasifs au cours du transfert. Résultats. — Au terme de l’étude, 129 transferts ont été analysés. Le statut infectieux du patient est connu dans 103 cas (80 %). Parmi eux, 84 sont infectés. Dans 42 cas, il s’agit d’une infection nosocomiale dont 37 à « BMR » (28 %). Le statut « BMR » des patients transportés n’est connu en régulation avant le transfert que dans 50 % des cas et par le service receveur, seulement pour 45 %. Les précautions « standard » (lavage des mains et SHA, port de gants à usage unique) sont respectées dans 76 % des cas et les précautions type « contact » dans 44 %. Des consignes de précaution sont données par la réanimation à l’équipe Smur pour 16 transferts (12 %). Conclusion.— Cette étude souligne lemanque d’information concernant le risque infectieux des patients médicalisés par les SMUR et met en évidence une insuffisance des mesures recommandées lors de ces transferts. Les résultats de notre étude devraient permettre d’améliorer la qualité de l’information aux équipes et d’adapter des recommandations de prévention spécifiques, tenant compte des contraintes liées à ces transferts interet intrahospitaliers. Ils guideront également les actions de formation des équipes Smur.
Journal Européen des Urgences | 2009
C. Bohler; W. Taillat; F. Rouyer; C. Adriansen; N. Assez; E. Wiel; P. Goldstein
Journal Européen des Urgences | 2009
C. Quièvre; S. Spetebroodt; A. Delvaux; E. Wiel; N. Assez
Journal Européen des Urgences | 2009
C. Delangue; C. Ammirati; A. Facon; E. Wiel; N. Assez
Journal Européen des Urgences | 2009
N. Assez; C. Quièvre; E. Wiel; P. Goldstein; J. Iguenane
Journal Européen des Urgences | 2009
C. Bohler; W. Taillat; F. Rouyer; C. Adriansen; N. Assez; E. Wiel; P. Goldstein
Journal Européen des Urgences | 2009
C. Bohler; W. Taillat; F. Rouyer; C. Adriansen; N. Assez; E. Wiel; P. Goldstein
Journal Européen des Urgences | 2008
J. Demanet; J. Cuny; N. Assez; P. Goldstein; E. Wiel
Journal Européen des Urgences | 2008
C. Audegond; C. Adriansen; C. Alauze; E. Wiel; P. Goldstein; N. Assez
Journal Européen des Urgences | 2008
C. Audegond; C. Adriansen; C. Alauze; F. Royer; E. Wiel; P. Goldstein; N. Assez