Edgar W. Jenkins
University of Leeds
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Publication
Featured researches published by Edgar W. Jenkins.
Research in Science & Technological Education | 2005
Edgar W. Jenkins; N. W. Nelson
This article presents some of the results of the questionnaire‐based Relevance of Science Education Project (ROSE) carried out in England in the latter half of 2003 as part of a wider international comparative study based at the University of Oslo. Data, drawn from 1277 students, most of whom were 14 or 15 years old, indicate their views about their school science education, their choice of careers and what they would most like to learn about in their science lessons. The findings are placed in the context of other accounts of the ‘student voice’ in science education and their implications for policy and science curriculum reform are discussed.
Science | 2013
Noah Weeth Feinstein; Sue Allen; Edgar W. Jenkins
Educational policy increasingly emphasizes knowledge and skills for the preprofessional “science pipeline” rather than helping students use science in daily life. We synthesize research on public engagement with science to develop a research-based plan for cultivating competent outsiders: nonscientists who can access and make sense of science relevant to their lives. Schools should help students access and interpret the science they need in response to specific practical problems, judge the credibility of scientific claims based on both evidence and institutional cues, and cultivate deep amateur involvement in science.
International Journal of Science Education | 2006
Edgar W. Jenkins; R. G. Pell
The article presents some of the results of the questionnaire‐based Relevance of Science Education Project carried out in England in the latter half of 2003 as part of a wider international comparative study based at the University of Oslo. Data, drawn from 1,277 students, most of them 14 or 15 years old, indicate their attitudes towards a series of environmental challenges. The study is presented as a contribution to the literature relating to environmental education and to the “student voice”. The findings reveal significant gender differences in attitudes towards the environment and in the responses that students seem to be willing to make to address environmental concerns.
Studies in Science Education | 2000
Edgar W. Jenkins
The article raises questions about the quality of some research in science education and about the use made of it. It argues that science education is too narrowly conceived as a field of research.
Frontiers in Ecology and the Environment | 2003
Edgar W. Jenkins
Research into the public understanding of science has revealed a widespread lack of understanding of basic scientific concepts and procedures. However, it also shows that the relationship of lay citizens and other non-experts to science is much more complex than is captured by a simple “cognitive deficit” model of knowledge that focuses on “what people don’t know”. Overall, research findings point towards a need for diversity and local sensitivity in programs of environmental education. They also suggest that the goal should be to enable students to engage in an informed conversation with expertise about the environment and help them develop the confidence and skill to add to it and, when appropriate, to challenge it. Achieving such a goal will require changes in both teaching and assessment approaches.
International Journal of Science Education | 1994
Edgar W. Jenkins
Concern to incorporate historical and philosophical insights within school science curricula is an international phenomenon. Whatever the intrinsic merits of these insights, it is suggested that any willingness on the part of science educators to enter into a rapprochement with scholars in the history, philosophy and sociology (HPS) of science stems mainly from the perceived shortcomings of contemporary school science curricula. Some of the difficulties of incorporating HPS within school science are reviewed and it is argued that, together with broader questions about the role of science in society, historical, philosophical and sociological insights point towards a radical reappraisal of school science education. The article suggests three ways in which such education might respond to some recent work in the history, philosophy and sociology of science.
Canadian Journal of Science, Mathematics and Technology Education | 2001
Edgar W. Jenkins
This paper begins by raising some questions about the purpose and scope of research in science education, followed by a commentary on the questions that have occupied the attention of most researchers in science education in recent years. The final section of the paper offers an opinion of some current strengths and weakness of science education as a field of research. The paper argues for a more generous interpretation of what constitutes research in science education and suggests that much remains to be done if the outcomes of such research are to influence policy and practice in science education.RésuméLa publication d’une nouvelle revue scientifique offre l’occasion d’illuminer, de définir et d’élargir le champ de la recherche. Dans le cas de la Revue canadienne de l’enseignement des sciences, des mathématiques et des technologies, il s’agit également d’une occasion de promouvoir une meilleure compréhension entre chercheurs francophones et anglophones dans ces disciplines et de situer le travail de recherche canadien au sein de la communauté scientifique internationale.On s’attend de plus en plus à ce que cette communauté explicite en quoi la recherche contribue à améliorer la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage dans les écoles et les autres institutions éducatives. La thèse présentée ici est que, malgré l’importance évidente de l’enseignement et de l’apprentissage, il faut avoir une vision élargie, plutôt que strictement instrumentale, du rôle que joue la recherche en enseignement des sciences, des mathématiques et des technologies. En particulier, la recherche sert à centrer l’attention sur les questions importantes, à définir clairement les problèmes, à encourager les discussions et à promouvoir les échanges de vues, contribuant ainsi à une compréhension plus profonde, à une plus grande flexibilité et à une meilleure capacité d’adaptation aux besoins qui sont en constante évolution. Au delà de sa valeur intrinsèque, son but est d’augmenter les potentialités du système d’éducation, surtout en ce qui concerne l’enseignement des sciences, des mathématiques et des technologies, et de reconnaître, de comprendre, d’encadrer et de définir les problèmes qui méritent l’attention des chercheurs, plutôt que de fournir des réponses univoques à des questions qui regardent la pédagogie, les critères d’excellence et la qualité des enseignants.Comme dans les autres domaines, la recherche en enseignement des sciences, des mathématiques et des technologies est à la merci des modes qui se manifestent dans les différentes théories de l’apprentissage invoquées à l’un ou l’autre moment par les chercheurs et dans la façon dont les programmes de recherche reflètent le contexte politique général de l’éducation scolaire et non scolaire. Au cours des deux dernières décennies, une bonne partie de la recherche en enseignement des sciences s’est concentrée sur le ≪ constructivisme ≫ et, plus particulièrement, sur la compréhension des phénomènes naturels de la part des étudiants. Malgré cet intérêt marqué, il demeure difficile de déterminer la meilleure façon d’exploiter la compétence des enseignants de sciences pour aider les étudiants à mieux comprendre le monde tel qu’il est analysé par la communauté scientifique, défi dont la difficulté est accrue par le fait que l’enseignement fait l’objet de recherches beaucoup moins approfondies que l’apprentissage lui-même. De plus, l’impact de la ≪ recherche constructiviste ≫ sur l’enseignement scolaire des sciences est à ce jour pour le moins modeste. Il semble qu’on ne se rende pas pleinement compte de la complexité de la tâche des enseignants de sciences et qu’on croie, un peu naïvement, que quelque théorie unique est en mesure de fournir un cadre satisfaisant pour la pratique de l’enseignement.Le début du troisième millénaire marque un renouveau d’intérêt pour les recherches interdisciplinaires en enseignement des sciences, en particulier pour les études comparatives à l’échelle internationale telles que les études TIMSS (Third International Mathematics and Science Study) et PISA (Programme for International Student Assessment), initiatives parrainées par l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE). En dépit des difficultés et des limites évidentes d’études aussi vastes, on ne peut nier qu’elles fournissent une profusion de données sur l’enseignement des sciences et des mathématiques dans de nombreux pays et qu’elles permettent de faire des choix plus éclairés dans ces domaines.Il est clair que de nouvelles voix se font entendre et que de nouvelles priorités de recherche sont en train d’émerger en enseignement des sciences, à mesure que les chercheurs s’efforcent de trouver de nouvelles perspectives sur des thèmes aussi familiers que l’enseignement et l’apprentissage, ou d’élargir leurs travaux à des secteurs relativement inexplorés tels que l’enseignement alternatif et l’enseignement à distance, les sciences dans le cadre de l’éducation supérieure, les sciences et le multiculturalisme, les sciences dans les médias. Pourtant, d’une certaine façon, les chercheurs en enseignement des sciences sont inévitablement prisonniers de leur propre histoire. Dans de nombreux pays cette histoire est intimement liée non pas aux sciences sociales, mais bien aux développements que les programmes de sciences ont connus au cours des années 1960 et 1970. Plusieurs chercheurs, peut-être même la plupart d’entre eux, ont donc une formation en sciences plutôt qu’en sciences sociales, avec tout ce que cela implique comme priorités et méthodologies de recherche. Il est également important de noter la coexistence de ce qu’ on pourrait appeler une tradition anglo-américaine et une tradition européenne dans la recherche en enseignement des sciences, la première accordant une importance à la didactique beaucoup moindre que la seconde.Comme dans toute communauté scientifique, les chercheurs en enseignement des sciences risquent de s’adresser les uns aux autres au lieu de s’adresser aux décideurs, aux enseignants ou à un plus vaste public qui incluerait les parents et les élèves (bien que l’expression ≪ les uns aux autres ≫ renvoie à de nombreuses spécialités différentes). Ce qui semble certain, c’est que la recherche en enseignement des sciences fera de plus en plus l’objet d’examens minutieux et qu’elle devra rendre des comptes, ce qui demandera aux chercheurs de définir leur vision du rapport qui existe entre leurs travaux et les personnes à qui ces travaux sont destinés sur le plan de la pratique.
Archive | 2001
Edgar W. Jenkins
This paper offers a personal overview of research in science education in Europe. It is suggested that such research is a relatively new domain, characterised by considerable diversity. The paper explores some of the institutional, conceptual and methodological dimensions of this diversity and identifies a number of issues around which science education in Europe might develop in the early years of the twenty-first century.
Research in Science & Technological Education | 2006
Edgar W. Jenkins
An earlier paper in this Journal (Jenkins & Nelson, 2005) drew upon the findings of the Relevance of Science Education Project (ROSE) to report the attitudes of students in England towards their secondary school science education. The present paper draws upon the same project to explore what the same students, almost all in their penultimate year of compulsory schooling, think about science and technology. It suggests that several basic research questions need to be addressed and answered if the present widespread decline in the industrialised world in the popularity of the physical sciences as subjects of advanced study is to be halted.
International Journal of Science Education | 1995
Edgar W. Jenkins
The science component of the national curriculum in England and Wales, defined by Statutory Order in December 1991, required all science teachers in maintained schools to teach and assess ‘Scientific Investigation’. This paper comments briefly upon this centrally promulgated and ambitious curriculum innovation and reports a research study of the response of science teachers to it, with particular reference to the teaching and assessment of pupils aged 14‐16. Attention is also given to the implications of the findings for science education policy, for the reform of science education practice and for the professional authority of the science teaching profession.