Françoise Hulot
Institut national de la recherche agronomique
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Featured researches published by Françoise Hulot.
Genetics Selection Evolution | 1981
Françoise Hulot; G. Matheron
Les performances reproductives sont le facteur essentiel de la réussite économique d’un élevage de lapins, espèce prolifique à rythme de reproduction intensif. L’amélioration d’un caractère aussi complexe que la taille de portée, qui dépend notamment de l’expression du gènome d’au moins deux générations (ovulation et qualité utérine de la mère, viabilité du jeune) repose avant tout sur la connaissance des facteurs qui l’influence.
Genetics Selection Evolution | 1972
G. Ricordeau; J. Bouillon; Françoise Hulot; P. Guillimin; A. Lajous
Le gène P, responsable de l’absence de cornes dans les races caprines d’origine alpine, est susceptible de perturber dans les deux sexes le développement des organes génitaux. En outre, son action présente une certaine complexité tirée au clair, pour l’essentiel, lors du séminaire qui lui a été récemment consacré (cf. Ann. Génét. Sélect. anim., (4), 1, ig6 g). Une des caractéristiques les plus remarquables des effets de ce gène est de créer phénotypiquement deux catégories de mâles stériles. Les uns sont de vrais mâles (mâles stériles sensu stricto) de caryotype XY ; leur stérilité résulte d’une obstruction
Genetics Selection Evolution | 1979
Françoise Hulot; G. Matheron
Une laparotomie de 273 lapines primipares de 9 génotypes, saillies post pavtum par des mâles Fauves de Bouvgogne, nous a permis de mesurer le nombre de corps jaunes, de sites d’implantation et d’embryons à 16 jours de gestation. Les 9 types génétiques sont constitués de 3 races pures (Californienne, Néo-Zélandaise Blanche, Petite Russe) et des 6 croisements réciproques obtenus par la combinaison deux à deux de ces 3 races. Un modèle de décomposition des effets génétiques directs, maternels et grand maternels sur la taille de portée et ses composantes (nombre d’ovules et viabilité embryonnaire) est présenté. La comparaison des effets génétiques en cause pour les composantes du taux de gestation et de la taille de portée montre la supériorité de la
Genetics Selection Evolution | 1969
Françoise Hulot
Le caryotype de Sus scro fa domesticus est caractérisé par 19 paires de chromosomes dont la morphologie permet un classement précis. Les tests cytologiques utilisés pour la détermination rapide du sexe (chromatine de Barr, appendices nucléaires) donnent des résultats variables selon les tissus utilisés. Les recherches portant sur les anomalies sont peu nombreuses. Elles concernent la léthalité embryonnaire (3n, 4n, 2n /3n, délétion), les troubles de la fertilité chez le verrat (translocation hétérozygote, spermatogenèse perturbée), l’intersexualité. Celle-ci, assez fréquente, a fait l’objet de récentes recherches caryologiques. Les intersexués présentent des formules chromosomiques variées : XX (masculinisation par un gène d’intersexualité autosomal et récessif), XY (syndrome dit du a testicule féminisant *), XXY et XXXY /XXY (syndromes homologues à celui de Klinefelter), XX /XY (freemartinisme). Le nombre chromosomique de quelques autres Suiformes a été défini : Sus scro fa L. (2n = 36 ou 37) variations attribuées à un polymorphisme chromosomique, Dicotyles tajacu et angulatus (2n = 30), Hippopotamus amphibius (2n = 36).
Meat Science | 1996
Françoise Hulot; J. Ouhayoun; Mojgan Manoucheri
Twenty New Zealand White rabbits (INRA 1077 strain) were given a complete and balanced diet including a clenbuterol additive (100 μg per day) between 70 and 98 days. They were compared with 20 control rabbits. The treatment improved the growth performance (29.90 vs 26.07 g/day), the feed conversion (5.45 vs 6.46 g feed per g gain) and the carcass yield (64.37 vs 61.11%), by decreasing the relative weights of the skin and the digestive tract. Moreover, all organs in which development is precocious, were found to be relatively lighter. The muscle/bone ratio of the carcass was improved (7.56 vs 6.38), resulting in a greater relative development of muscle tissue, without any change in bone tissue weight. Perirenal and interscapular fat percentages in the carcass were reduced (3.23 vs 3.83 and 0.68 vs 0.86, respectively). Clenbuterol, a repartitioning agent, had therefore modified the growth allometry of the organs and tissues. In the hindleg region (Biceps femoris, Tensor fasciae latae, Semimembranosus accessorius), the ultimate muscular pH was increased, (+0.31 pH units on average), while the cooking loss was reduced (24.23 vs 24.88%). In the m. longissimus lumborum, the increase of ultimate pH (+0.31 units of pH), under the effect of clenbuterol, was explained by a relative increase in the oxidative metabolic pathway represented by aldolase/ICDH ratio (246 vs 284) and by a decrease in glucidic content (total glycosyl residues) of muscle (16.6 vs 26.2 μ mol g ). Due to its effects on muscular biology, clenbuterol is thus likely to cause a change in meat quality.
Genetics Selection Evolution | 1969
J.-M. Corteel; Françoise Hulot; M. Courot; J. Attal; A. Philippon
Huit boucs sans cornes réputés stériles ont été examinés. Un animal atteint d’hypoplasie visible des organes génitaux externes était de sexe génétique femelle XX. Les 7 autres boucs étaient de sexe génétique mâle XY. Cinq d’entre eux présentaient des atteintes caractérisées de l’épididyme. Trois de ces cinq boucs présentaient également des atteintes caractérisées du testicule. Chez les deux derniers animaux de sexe chromosomique XY, la stérilité n’était pas expliquable à l’examen du tractus génital.
Meat Science | 1994
Françoise Hulot; J. Ouhayoun; Antonella Dalle Zotte
The effects of recombinant porcine somatotropin (rpST) were studied on rabbits from INRA 1077 strain, between the ages of 70 and 90 days. Ten rabbits received a daily intramuscular rpST injection (100 mg per day per kg of live weight) and were compared with ten control rabbits. Growth rate and feed efficiency were not affected by treatment. Perirenal fat deposits were smaller in rpST-treated than in the control rabbits (2·01 vs 2·72%) as were reference carcass lipid content (9·4 vs 10·8) and energy value (0·84 vs 0·88 MJ /100 g). The ratio between polyunsaturated fatty acids (FA) and saturated and monounsaturated FA was higher (0·32 vs 0·28). Reference carcass protein content was increased (20·5 vs 19·9%), as was the percentage of skin in slaughter weight (14·3 vs 13·4%). Muscular ultimate pH (24 h post mortem) was lower in the semimembranosus accessorius (5·67 vs 5·78) and in the biceps femmoris (5·65 vs 5·74) of treated rabbits. In conclusion, rpST, as a heterologous hormone, develops protein-rich tissues whilst lowering fat content and appears to affect the balance of muscular energy metabolism.
Genetics Selection Evolution | 1970
Françoise Hulot
Deux porcs Large-1t’hite hermaphrodites, soumis à des analyses caryologiques sanguines, révèlent une formule chromosomique femelle normale (36 autosomes + XX). L’étude de leur tractus, à prédominance femelle, permet de concevoir l’existence d’intersexués féconds. La dualité existant entre un système génital mixte et une constitution chromosomique XX est discutée : parmi les diverses possibilités, l’hypothèse génétique est particulièrement retenue, l’apparition de l’anomalie présentant une certaine fréquence.
Genetics Selection Evolution | 1969
Françoise Hulot; Parvathi K. Basrur
Dans les troupeaux de chèvres mottes, les résultats les plus récents acquis par examen direct de caryotypes sur culture cellulaire vérifient les conclusions auxquelles aboutissaient les études génétiques : les intersexués et les mâles stériles par hypoplasie des testicules (ou pseudomâles) sont des femelles génétiques, les mâles stériles par blocage de l’épididyme, avec parfois quelques caractéristiques intersexuées, sont de vrais mâles.
Genetics Selection Evolution | 1980
Françoise Hulot; G. Matheron
l’obligation d’adopter pour ces femelles grands-parentales la saillie 10 jours après la mise-bas. Cette impossibilité de saillir les lapines post-partum diminue fortement le nombre de misesbas par cage mère et par an. Il en résulte globalement une forte diminution de la production annuelle de lapereaux dans les cages occupées par les lapines grands-parentales par rapport aux cages occupées par les lapines parentales. Dans le croisement Hyla, cette production par cage femelle est ainsi évalué à 52 ,6 lapereaux sevrés par an pour les lapines grands-parentales quand elle est de 59 ,6 pour les lapines parentales saillies 10 jours après la mise-bas et 64,5 pour les parentales saillies post-partum.