Network
Latest external collaboration on country level. Dive into details by clicking on the dots.
Publication
Featured researches published by J. Marty.
Journal Européen des Urgences | 2009
C. Penet; J. Sende; C. Jbeili; M. Khalid; M. Barghout; H. Auger; X. Combes; J. Marty
Mots clés : ECG ; Référence ; Douleur thoracique Introduction.— L’ECG est un examen indispensable dans la prise en charge des douleurs thoraciques et la possibilité de comparer le tracé réalisé par le SMUR à un ECG de référence est une aide supplémentaire au diagnostic. Nous avons voulu évaluer la fréquence à laquelle un ECG de référence était disponible chez les patients pris en charge par le SMUR à leur domicile pour douleur thoracique. Matériels et méthodes.— Nous avons mené une étude descriptive, prospective, monocentrique sur une période de 5 mois en 2008 dans un SMUR urbain. Pour chaque patient pris en charge pour douleur thoracique, les antécédents cardiaques, la notion de suivi hospitalier, la présence d’un ECG de référence, son « auteur », son utilité, la comparaison à l’ECG du jour étaient colligés. Résultats.— Nous avons inclus 369 patients sur cette période. Le sexratio est de 3 hommes pour 2 femmes, avec une moyenne d’âge de 62,5 ans (extrêmes : 22—100 ans). Sur 369 patients, 80 % avaient déjà euunECG. Seuls 58%deces patients se sont vus remettre le tracé : 87% des patients vus par le cardiologue de ville repartaient avec leur ECG, contre seulement 42 % des patients dont le tracé avait été réalisé en milieu hospitalier. Concernant les 130 patients ayant une cardiopathie ischémique, tous avaient déjà eu un ECG,mais il ne leur avait été remis que dans 72 % des cas. Le cardiologue de ville le leur avait remis dans 94 % des cas contre seulement 61 % si le patient avait été vu à l’hôpital. L’ECG de référence d’un patient sur 2 était porteur d’anomalies et l’ECG du jour comparé à cet ECG était modifié dans 47 % des cas. La présence d’un tracé de référence au domicile avait été jugée utile par le médecin transporteur dans 64 % des situations. Chez les patients coronariens, l’ECG de référence comportait des anomalies dans 60 % des cas, le tracé électrocardiographique du jour était modifié par rapport à ce dernier dans 50 % des cas. Chez ces patients, la présence d’un tracé de référence avait été jugée utile dans 60 % des situations. Conclusion.— Laprésenced’unECGderéférenceestutile audiagnostic chez les patients pris en charge pour douleur thoracique en médecine préhospitalière. Les patients sortant de l’hôpital devraient tous se voir remettre un dossier type de sortie incluant le dernier tracé ECG.
Journal Européen des Urgences | 2007
M. Khalid; J. Sende; C. Jbeili; F. Soupizet; C. Jaulin; S. Schvahn; A. Margenet; J. Marty
Journal Européen des Urgences | 2009
N. Gazin; J. Sende; S. Schvahn; M. Rusan; L. Nguyen; C. Chollet-Xémard; A. Margenet; J. Marty
Journal Européen des Urgences | 2009
M. Rusan; J. Sende; L. Nguyen; N. Gazin; S. Schvahn; C. Jaulin; X. Combes; J. Marty
Journal Européen des Urgences | 2009
C. Chollet-Xémard; F. Soupizet; X. Combes; S. Brohon-Sayag; C. Semoulin; S. Schvahn; C. Bertrand; J. Marty
Journal Européen des Urgences | 2008
C. Jbeili; P. Jabre; H. Coignard; E. Lecarpentier; X. Combes; A. Margenet; J. Marty; C. Bertrand
Journal Européen des Urgences | 2009
L. Nguyen; B. Leroux; C. Bertrand; C. Pentier; P. Jabre; A. Margenet; X. Combes; J. Marty
Journal Européen des Urgences | 2009
S. Riviére; E. Aaron; P. Jabre; E. Lecarpentier; L. Jacob; A. Margenet; X. Combes; J. Marty
Journal Européen des Urgences | 2009
F. Soupizet; L. Jacob; C. Jaulin; X. Combes; M. Dru; E. Aaron; J. Marty; C. Chollet-Xémard
Journal Européen des Urgences | 2009
S. Brohon-Sayag; C. Semoulin; P. Jabre; E. Lecarpentier; M. Dru; A. Margenet; X. Combes; J. Marty