Joceline Chabot
Université de Moncton
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Publication
Featured researches published by Joceline Chabot.
Archive | 2016
Joceline Chabot; Richard Godin; Sylvia Kasparian
The First World War brought extreme violence to the battlefields of Europe and to its civilian population. Following the invasion of Belgium and northern France, during the summer and fall of 1914, German troops resorted to abuses and slaughter against Belgian and French civilians (Horne & Kramer, 2001). French, Belgian and British authorities quickly set up inquiries, and they produced reports denouncing “German atrocities.” A few months later, in the spring of 1915, news from the Ottoman Empire described systematic massacres, wide-scale deportations and the slaughtering of the Armenian civil population (Kevorkian, 2011). In May 1915, in a joint statement, the Triple Entente — France, Great Britain and Russia — accused the Turkish government of “crimes against humanity and civilization” (Racine, 2006: 3–8).
Archive | 2016
Joceline Chabot; Richard Godin; Stefanie Kappler; Sylvia Kasparian
In 1915, one of the first genocides in contemporary history was witnessed by representatives of powerful countries such as the United States of America, Italy, Germany, and Russia. Between April 15, 1915 and November 1916, at least 1.5 million Armenians were massacred on Turkish territory, as ordered by the government. When this news was made public in international newspapers, it was already too late to intervene. The Armenian population of Turkey was in the process of being exterminated. The process was put in place in March 1915 by order of the Turkish government itself, headed by the Young Turk Revolution Party and its main leaders Ismail Enver Pasha and Mehmed Talaat Pasha.
Histoire Sociale-social History | 2016
Joceline Chabot
formes « subtiles » de négationnisme et de révisionisme, notamment en affrontant la question de la « perversion historiographique » (pour reprendre certaines des notions de Marc Nichanian). Ou encore en ce qui a trait à la différence déterminante au plan méthodologique entre l’approche de la Catastrophe, désignant l’événement perçu et réfléchi par les témoins, et le génocide, comme crime dont on décrit le déroulement et dont on cherche à expliquer les ressorts et l’intention, une distinction qui gagnerait à être mise en regard de l’évolution de l’historiographie de la Shoah vers une « histoire intégrée » (Saul Friedländer). Ou, enfin, plus généralement à travers un exposé des thèses et des méthodologies explorées par les historiens tout au long de ces vingt, voire trente dernières années, notamment à travers le rôle de la comparaison avec la Shoah. Une telle réflexion, pourtant menée par les trois auteurs dans d’autres de leurs travaux, aurait permis de mieux saisir les enjeux du travail de synthèse ici proposé. Ces réserves ne retirent rien, cependant, à la grande valeur de l’ouvrage : il a le mérite de proposer une synthèse accessible, écrite dans une langue claire. Il inscrit le génocide des Arméniens comme événement majeur de l’histoire mondiale. Enfin, il accorde une place importante aux sources testimoniales et démontre, si besoin en était, la nécessité de se fonder sur celles-ci, y compris pour reconstituer l’évolution de l’intention criminelle au plan historiographique.
Archive | 2016
Joceline Chabot; Richard Godin; Stefanie Kappler; Sylvia Kasparian
Amnis. Revue de civilisation contemporaine Europes/Amériques | 2011
Raymond Blanchard; Joceline Chabot; Sylvia Kasparian
Archive | 2008
Joceline Chabot; Sylvia Kasparian; Philippe Desjardins
Études Arméniennes Contemporaines | 2016
Joceline Chabot; Marie-Michèle Doucet; Sylvia Kasparian
Histoire Sociale-social History | 2016
Joceline Chabot
Histoire Sociale-social History | 2016
Joceline Chabot
Histoire Sociale-social History | 2016
Joceline Chabot