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Publication
Featured researches published by M.H. Sfar.
Annales D Endocrinologie | 2013
O. Berriche; S. Hammami; Y. Cherif; W. Alaya; B. Zantour; M.H. Sfar
Objectif.– Étude des associations de la néphropathie diabétique avec les traits généralement considérés d’être ses facteurs de risque dans un groupe de diabétiques type 1 du comte de Iasi (Roumanie), en connaissant les dates contradictoires provenant d’autres aires géographiques. Patients et méthodes.– Analyse transversale sur 168 patients avec diabète type 1 (69 femmes, 99 hommes, 19–70 ans), en suivant l’association du rapport albumine–créatinine (RAC) avec les suivants : sexe, durée du diabète, tabagisme, hypertension artérielle (HTA), lipides et HbA1c. Résultats.– Quatre-vingts pour cent des patients avec protéinurie étaient des hommes et seulement 20 % des femmes (p = 0,001), sans différences similaires parmi ceux avec microalbuminurie. La durée du diabète était significativement différente entre les patients avec normoalbuminurie, microalbuminurie et protéinurie (p = 0,0001). Le tabagisme n’a pas été associé avec le RAC (p = 0,13). Respectivement, 28,3 %, 57,4 % et 86,7 % des patients avec normoalbuminurie, microalbuminurie et protéinurie étaient hypertendus (p = 0,0001). Le cholestérol total, HDL et LDL étaient significativement différents seulement entre les groupes avec normoalbuminurie vs. microalbuminurie (p = 0,0001, p = 0,006, respectivement p = 0,006), pas entre les autres (p > 0,05), sans aucune corrélation du RAC avec les triglycérides. L’HbA1c était significativement différente seulement entre les patients avec normoalbuminurie et protéinurie (9,23 % vs. 10,87 %, p = 0,008). Discussion.– Quelques-uns des paramètres généralement considérés d’être facteurs de risque pour la néphropathie diabétique ont présenté seulement des corrélations partiales ou même absentes avec le RAC parmi nos patients. Il est peut-être possible que le chargement génétique dans notre aire géographique imprime un impact différent de ces paramètres sur la détérioration de la fonction rénale des diabétiques type 1.
Annales D Endocrinologie | 2012
W. Chebbi; O. Berriche; B. Zantour; W. Alaya; M.H. Sfar
∗Auteur correspondant. Introduction.– L’amiodarone est de prescription courante en pathologie cardiovasculaire notamment pour la réduction des troubles du rythme ventriculaire et supraventriculaire. Il présente une demi-vie longue responsable d’effets secondaires cutanés, thyroïdiens et pulmonaires. Nous rapportons 2 observations d’hypothyroïdie survenant sous un traitement prolongé par amiodarone. Observation 1.– Un patient âgé de 72 ans, aux antécédents de troubles de rythme depuis 5 ans à type d’extrasystole ventriculaire traité par amiodarone, était hospitalisé pour asthénie, anorexie, dyspnée stade III, toux et ralentissement psychomoteur. L’examen physique trouvait une pâleur cutanéo-muqueuse, une glossite, une loge thyroïdienne libre et des râles crépitants aux 2 bases pulmonaires. La radiographie et le scanner thoracique objectivaient une fibrose interstitielle diffuse. L’électrocardiogramme montrait une bradycardie sinusale à 54 cycles/min. Le bilan thyroïdien montrait une TSH à 215,7 UI/ml et une FT4 à 1,76 pmol/l. Les anticorps antithyroïdiens étaient négatifs. Les diagnostics d’une hypothyroïdie et d’une fibrose pulmonaire iatrogènes secondaire à l’amiodarone étaient retenus. Observation 2.– Un patient âgé de 57 ans, aux antécédents de troubles de rythme depuis 3 ans à type d’arythmie cardiaque par fibrillation auriculaire ventriculaire nécessitant un traitement par amiodarone et une anticoagulation, consulte pour asthénie, anorexie et ralentissement psychomoteur. L’électrocardiogramme montrait une bradycardie sinusale à 50 cycles/min. Le bilan thyroïdien montrait une FT4 basse à 0,1 ng/l avec TSH élevée à 68 UI/l. Les 2 patients étaient traités par L-Thyroxine avec arrêt de l’amiodarone. Conclusion.– Nos observations soulignent la nécessité d’une surveillance régulière du bilan thyroïdien des patients traités par amiodarone.
Annales D Endocrinologie | 2012
W. Chebbi; O. Berriche; B. Zantour; W. Alaya; M.H. Sfar
∗Auteur correspondant. Introduction.– L’amiodarone est de prescription courante en pathologie cardiovasculaire notamment pour la réduction des troubles du rythme ventriculaire et supraventriculaire. Il présente une demi-vie longue responsable d’effets secondaires cutanés, thyroïdiens et pulmonaires. Nous rapportons 2 observations d’hypothyroïdie survenant sous un traitement prolongé par amiodarone. Observation 1.– Un patient âgé de 72 ans, aux antécédents de troubles de rythme depuis 5 ans à type d’extrasystole ventriculaire traité par amiodarone, était hospitalisé pour asthénie, anorexie, dyspnée stade III, toux et ralentissement psychomoteur. L’examen physique trouvait une pâleur cutanéo-muqueuse, une glossite, une loge thyroïdienne libre et des râles crépitants aux 2 bases pulmonaires. La radiographie et le scanner thoracique objectivaient une fibrose interstitielle diffuse. L’électrocardiogramme montrait une bradycardie sinusale à 54 cycles/min. Le bilan thyroïdien montrait une TSH à 215,7 UI/ml et une FT4 à 1,76 pmol/l. Les anticorps antithyroïdiens étaient négatifs. Les diagnostics d’une hypothyroïdie et d’une fibrose pulmonaire iatrogènes secondaire à l’amiodarone étaient retenus. Observation 2.– Un patient âgé de 57 ans, aux antécédents de troubles de rythme depuis 3 ans à type d’arythmie cardiaque par fibrillation auriculaire ventriculaire nécessitant un traitement par amiodarone et une anticoagulation, consulte pour asthénie, anorexie et ralentissement psychomoteur. L’électrocardiogramme montrait une bradycardie sinusale à 50 cycles/min. Le bilan thyroïdien montrait une FT4 basse à 0,1 ng/l avec TSH élevée à 68 UI/l. Les 2 patients étaient traités par L-Thyroxine avec arrêt de l’amiodarone. Conclusion.– Nos observations soulignent la nécessité d’une surveillance régulière du bilan thyroïdien des patients traités par amiodarone.
Annales D Endocrinologie | 2012
B. Zantour; F. Boubaker; W. Chebbi; W. Alaya; H. Bouzidi; S. Jerbi; M.H. Sfar
Objectifs Determiner les caracteristiques clinico-radiologiques et evolutives des IS. Materiels et methodes Serie retrospective de 22cas colliges entre 1993–2013. Resultats La moyenne d’âge 56,7xa0ans, sex-ratioxa0: 0,31. L’IS a ete decouvert sur une tomodensitometrie dans 17cas, et grâce a une echographie pour le reste. Les motifs des examens etaient des douleurs abdominales chez 9xa0patients, une exploration pulmonaire (07), une ascension diaphragmatique (01), une irregularite menstruelle (01), une infertilite (01), une pyelonephrite aigue (01) et une fievre post-operatoire (01). Douze patients etaient hypertendus, 6xa0diabetiques et 2xa0dyslipidemiques. L’IMC moyen 31,4xa0kg/m 2 . Une obesite faciotronculaire et une erythrose faciale etaient notees chacune dans 1cas, dans 2xa0cas une alteration de l’etat general et dans 3xa0cas un syndrome adrenergique. Les lesions etaient unilaterales dans 21xa0cas (gauches dans 8xa0cas), une hyperplasie bilaterale macronodulaire dans 1cas. Le diametre moyen des lesions a l’imagerie etait 8,7xa0cm (13xa0massesxa0>xa04xa0cm dont 4xa0>xa06xa0cm). Onze malades etaient operes. L’exploration biologique preoperatoire avait identifie 6xa0cas d’hypercoticisme ACTH-independant et 2xa0cas de pheochromocytomes. Pour les autres, le diagnostic anatomopathologique de myelolipomelipome, de metastase d’un carcinome a petites cellules et d’adenome poses chacun dans 1xa0cas, radiologique de masse kystique dans 2xa0cas, on a retenu un adenome non secretant dans les 9xa0autres. Une discordance biologique et clinico-anatomopathologique etait notee dans un pheochromocytome et anatomo-radiologiques dans 7xa0cas. L’aspect de toutes les lesions surveillees etait stable a 6mois-5xa0ans du diagnostic. Conclusion Maladie des temps modernes. La plupart des incidentalomes s’avereront des lesions benignes non secretantes. Mais dans notre serie, 40xa0% des lesions etaient secretantes et une etait maligne.
Annales D Endocrinologie | 2013
W. Chebbi; S. Arfa; W. Alaya; H. Marmouch; M. Jamel; B. Zantour; M.H. Sfar
Annales D Endocrinologie | 2013
W. Chebbi; S. Arfa; W. Alaya; B. Zantour; M.H. Sfar
Annales D Endocrinologie | 2013
Y. Cherif; O. Berriche; S. Younes; B. Zantour; M.H. Sfar
Annales D Endocrinologie | 2013
B. Zantour; Y. Cherif; W. Alaya; W. Chebbi; S. Younes; S. Jerbi; M.H. Sfar
Annales D Endocrinologie | 2013
W. Alaya; S. Arfa; W. Chebbi; F. Larbi; A. Fradi; B. Zantour; M.H. Sfar
Annales D Endocrinologie | 2012
W. Chebbi; O. Berriche; B. Zantour; W. Alaya; M.H. Sfar