Mourad Gahbiche
University of Monastir
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Publication
Featured researches published by Mourad Gahbiche.
Critical Care Medicine | 1998
Semir Nouira; Makhlouf Belghith; Souheil Elatrous; Mondher Jaafoura; Moez Ellouzi; Rafik Boujdaria; Mourad Gahbiche; Slah Bouchoucha; Fekri Abroug
OBJECTIVES To compare the performance of four severity scoring systems: the Acute Physiology and Chronic Health Evaluation (APACHE) II, the new versions of the Mortality Prediction Model (MPM0 and MPM24), and the Simplified Acute Physiology Score (SAPS) II. DESIGN A prospective cohort study. SETTING Three Tunisian intensive care units (ICUs). PATIENTS Consecutive, unselected adult patients (n = 1325). INTERVENTIONS None. MEASUREMENTS AND MAIN RESULTS Overall, observed death rates were higher than predicted by all models except MPM0. All the evaluated scoring systems had good discrimination power as expressed by area under the receiver operating characteristics curve, but their calibration was less perfect when compared with original validation reports. There were no major differences between the models with regard either to discrimination or calibration performance. CONCLUSION Despite an overall good discrimination, APACHE II, MPM0, MPM24, and SAPS II showed a less satisfactory calibration in our Tunisian sample of ICU patients. Part of the models inaccuracy could be related to quality of care problems in our ICUs, but this issue needs further analysis.
European Journal of Emergency Medicine | 2014
Mohamed Kahloul; Wahid Bouida; Hamdi Boubaker; Semir Toumi; Mohamed Habib Grissa; Amira Jaafar; Moez Louzi; Riadh Boukef; Mourad Gahbiche; Semir Nouira
Objective The goal of this study was to compare the prediction performance of two anatomic scales, the Injury Severity Scale (ISS) and the New Injury Severity Scale (NISS), with two physiologic scales, the Revised Trauma Scale (RTS) and the Simplified Acute Physiology Scale II (SAPS II), in trauma patients. Design Prospective study carried out over a 16-month period. Setting Emergency department of a teaching hospital. Patients Hospitalized victims of trauma up to 14 years of age. Interventions The primary endpoint was the survival status at hospital discharge; the secondary outcome was need for ICU admission. Model discrimination was evaluated by the area under the receiver-operating characteristic curve and model calibration was evaluated using the Hosmer–Lemeshow goodness-of-fit statistic. Measurements and main results A total of 1136 patients, with an average age of 37.6 years, fulfilled the inclusion criteria. The mortality rate was 4.5%. The combined rate of hospital death and ICU admission was 17.3%. The ISS and the NISS showed excellent discriminative power for mortality prediction (AUC 0.94 and 0.93, respectively) and ICU admission decision (0.91 and 0.89, respectively), and a good calibration. The SAPS II and the RTS showed lower discriminative power. Combining ISS or NISS with SAPS II did not improve significantly the predictive performance of each scale alone. Conclusion Both ISS and NISS showed better predictive severity performance compared with RTS and SAPS II in trauma patients. The combination of anatomic scales with physiologic ones did not improve the prediction performance of each scale considered alone.
Presse Medicale | 2005
Lotfi Grati; Moez Louzi; KaisBen Nasr; N. Zili; Leila Mansalli; Anouar Mechri; Mourad Gahbiche
Resume Objectif L’electroconvulsivotherapie (ECT) necessite des anesthesies repetitives et de courte duree avec un relâchement musculaire et une narcose profonde qui font appel a plusieurs produits anesthesiques. Le but de ce travail a ete d’evaluer la qualite de la technique anesthesique pour ECT en comparant 2 produits: le propofol et l’etomidate. Methodes C’est une etude prospective randomisee incluant des seances d’ECT. Les malades ont ete repartis en 2 groupes. Les malades du groupe 1 ont eu une anesthesie generale par le propofol (1,5 mg.kg-1) et la succinylcholine (0,75 mg.kg-1). Les malades du groupe 2 ont recu de l’etomidate (0,15 mg.kg-1) et la succinylcholine (0,75 mg.kg-1). Tous les patients inclus n’ont pas de contre indication absolue ou relative a ECT. Resultats Cent quatre seances ont ete incluses, avec 52 seances par groupe. Le groupe 1 est compose de 12 malades et le groupe 2 de 13 malades. Les caracteristiques demographiques ainsi que l’indication de l’ECT etaient comparables dans les 2 groupes. Il n’y avait pas de variation hemodynamique (essentiellement une chute tensionnelle) entre les groupes. La duree des convulsions etait plus prolongee dans le groupe etomidate (28,76 ± 3,29 s) par rapport au groupe propofol (23,84 ± 7,18 s) avec une difference significative (p = 0,000018). Le reveil etait calme dans les 2 groupes. Conclusion Les proprietes pharmacologiques du propofol et de l’etomidate repondent parfaitement aux exigences d’une anesthesie pour ECT. Neanmoins, aucune chute tensionnelle n’a ete observee avec une duree des convulsions superieure dans le groupe etomidate par rapport au groupe propofol.
Annales Francaises D Anesthesie Et De Reanimation | 2009
L. Grati; S. Toumi; Mourad Gahbiche
F. Guaussiat A.-C. Astolfi P. Mercury A. Breden V. Minville* Département d’anesthésie et de réanimation, CHU de Toulouse, université Paul-Sabatier, GRCB 48, IFR 31, 1, avenue Jean-Poulhès, 31400 Toulouse, France Samu de la Haute-Corse, centre hospitalier général de Bastia, route Royale, 20600 Bastia, France Réanimation polyvalente, centre hospitalier général de Bastia, route Royale, 20600 Bastia, France
Annales Francaises D Anesthesie Et De Reanimation | 2003
F Ben Salem; Lotfi Grati; Mourad Gahbiche
Outre sa simplicité technique, la rachianesthésie procure une anesthésie segmentaire fiable. En orthopédie, une rachianesthésie unilatérale est une technique encore plus intéressante, puisqu’elle permet théoriquement d’adapter l’anesthésie au seul membre concerné par la chirurgie, tout en gardant les avantages de la rachianesthésie et en réduisant ses répercussions hémodynamiques. La réduction de l’extension du bloc spinal avec de faibles doses de bupivacaïne hyperbare à 0,5 % devrait protéger contre les effets de la dénervation sympathique [1]. Ainsi, nous nous sommes intéressés à l’étude de cette variante de la technique habituelle en recherchant en particulier un avantage hémodynamique par rapport à la méthode conventionnelle. Pour cela et après leur consentement éclairé, 90 adultes ont été randomisés et ont eu une rachianesthésie unilatérale ( n = 45) ou conventionnelle ( n = 45) avec 8 mg de bupivacaïne hyperbare injectés à l’aide d’une aiguille pointe crayon Whitacre 25 G [2]. Nos résultats ont révélé la difficulté de contrôler la diffusion des solutions anesthésiques administrées par voie intra thécale pour obtenir une rachianesthésie strictement unilatérale (27 % dans notre étude comparés aux 52 % d’une autre étude [1]) et ce malgré la prise en considération de tous les facteurs favorisant la distribution latérale de l’anesthésie [3]. Par ailleurs, nous avons confirmé la faible incidence de l’hypotension artérielle de la technique unilatérale (15 %) par rapport à celle observée au cours de la rachianesthésie conventionnelle (56 %) (p < 0,00001). Toutefois, il est important de souligner notre taux d’échecs de 9 % (4 patients dans chaque groupe) avec un niveau sensitif inférieur à L1. Ces échecs, pour la plupart d’entre eux (7 patients) ont concerné des adultes jeunes âgés de moins de 50 ans.Ainsi, se pose le problème du compromis entre la volonté d’assurer un meilleur bloc unilatéral en réduisant les doses d’anesthésique local (permettant aussi un faible retentissement hémodynamique) et le risque d’échec. Or, ce sont les patients âgés ayant une réduction du volume de liquide céphalorachidien [4], qui ont le risque hémodynamique le plus important et pourraient bénéficier des faibles doses d’anesthésique local avec un avantage hémodynamique certain. En revanche, chez les patients plus jeunes, la réduction des doses expose plus à un risque d’échec de l’anesthésie qu’à un bénéfice négligeable en cas de réussite. Par conséquent, l’utilisation d’une dose de 10 mg de bupivacaïne à 0,5 % hyperbare déjà proposée pour une chirurgie au-dessus du genou devrait être recommandée chez l’adulte jeune [5].
Annales Francaises D Anesthesie Et De Reanimation | 2003
F Ben Salem; K. Ben Salem; Lotfi Grati; C. Arfaoui; Raja Faleh; A. Jmel; I. Guerdelly; Mourad Gahbiche
Intensive Care Medicine | 2012
Islem Ouanes; Néji Stambouli; Fahmi Dachraoui; Lamia Ouanes-Besbes; Samir Toumi; Faouzi Ben Salem; Mourad Gahbiche; Fekri Abroug
Annals of Physical and Rehabilitation Medicine | 2016
S. Boudokhane; Amine Kalai; Aymen Haj Salah; H. Migaou; S. Salah; A. Jellad; Mourad Gahbiche; Zohra Ben Salah Frih
Journal maghrébin d'anesthésie-réanimation et de médecine d'urgence | 2009
M. Kahloul; N. Zili; F. Ben Salem; Samir Toumi; A. M. Chehata; Mourad Gahbiche
Journal maghrébin d'anesthésie-réanimation et de médecine d'urgence | 2009
B. Gafsi; N. Zili; F. Ben Salem; F. Kattou; A. M. Chehata; Mourad Gahbiche