Nathalie Blanc
University of Paris
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Featured researches published by Nathalie Blanc.
Archive | 2012
Nathalie Blanc
Current theories of justice cannot account for the motives of a sustainable environment, that is, the material perpetuation of a fair society (one that regards all its citizens as equals), because it ignores the extent to which ethics integrates fundamental care, and more particularly, moral virtues. Care ensures the perpetuation of an existing environment and the attention paid to its particularity, often at a local level (Paperman and Laugier 2005). Individuals and communities shape and nurture nature, while working with nature through gardening can contribute to wellbeing. This chapter explores such relationships through case studies of urban community gardens in Russia and the Netherlands, and considers how an ethics of care and aesthetic engagement can be integrated into human-environment relations. In Tver, a town between Moscow and St Petersburg, a group of scientists who wanted to organize an Agenda 21 were asked to assist some inhabitants of a block of flats adjacent to an industrial area. They formed an Ecological Club, and the garden they created played a key role in improving their quality of life. In Arnhem, a city in eastern Holland, close to the German border, the investment in urban public space by the inhabitants was the result of the withdrawal from the district by the authorities. During the 1970s, the inhabitants decided to fight against the degradation of their life-world and embarked on a project of gardens to achieve their aim.
Natures Sciences Sociétés | 2003
Nathalie Blanc
Ce séminaire portait sur les décalages observés entre mesure et perception de la pollution atmosphérique. Il visait à confronter les composantes métrologiques et sociales de la question de la qualité de l’air et de la pollution. Il s’agissait essentiellement d’identifier des pistes de recherche à promouvoir dans le cadre du programme Primequal/Predit du ministère de l’Écologie et du Développement durable. Aujourd’hui, en effet, la mesure de la pollution constitue le cœur des recherches liées à la pollution atmosphérique en réponse à la demande sociale. Ainsi, l’essentiel des efforts a consisté à mettre en œuvre un dispositif de surveillance de la qualité de l’air avec un large éventail de structures et d’instruments visant plus qu’à informer le public : à faire de la qualité de l’air un bien public. Cependant, mesurer ne va pas de soi. S’il est évident que la mesure nécessite un vaste appareillage technique et la définition d’un objet à mesurer : la « pollution », elle doit aussi s’inscrire dans la perspective de l’action ; elle renvoie donc à une politique de la qualité de l’air. Or, on constate que la mesure ne va pas de pair avec l’idée de sa fin et qu’en fait, de plus en plus, elle se développe sans qu’on sache toujours quel objectif elle vise et quel besoin elle remplit. Ainsi, la loi sur la qualité de l’air de 1996 manque d’objectif clairement défini. Toutefois, répondre à cette question n’est pas si simple qu’il y paraît. La question de la qualité de l’air est à dimensions multiples. Et cela rend nécessaire de mieux l’approfondir dans ses énoncés mêmes pour mieux comprendre les faiblesses de toute politique en la matière. Ainsi, l’individu est en cause. Par ailleurs, la question de la qualité de l’air est une question de santé publique, mais aussi de transport. Il existe, de plus, un système très complexe d’interactions entre la dynamique atmosphérique, les actions individuelles et les actions collectives, tels les plans de déplacement urbain ou, encore, les programmes de protection de l’atmosphère. La complexité de cet ensemble est telle qu’une politique de l’air peut avoir des effets contraires aux objectifs initiaux. C’est vrai en termes de transports notamment. Considérée dans son ensemble, la problématique de la qualité de l’air exigerait donc des travaux pluriet interdisciplinaires, mêlant des spécialistes de sciences sociales, de sciences physico-chimiques et des métrologues. Ces démarches sont encore peu nombreuses et ceci d’autant plus qu’à la différence d’autres domaines de l’environnement, la question de la pollution atmosphérique apparaît essentiellement technique et s’inscrit dans des cadres institutionnels extrêmement cloisonnés. > Compte-rendu du séminaire Primequal/Predit (Paris, 4 février 2003) Adresse e-mail : [email protected] (N. Blanc). Natures Sciences Sociétés 11 (2003) 432–433
Archive | 2008
Nathalie Blanc; M. Jollivet
Natures Sciences Sociétés | 1997
Nicole Mathieu; Colette Rivault; Nathalie Blanc; Ann Cloarec
Natures Sciences Sociétés | 2009
Nathalie Blanc; Jacques Lolive
Cybergeo: European Journal of Geography | 2011
Teddy Arrif; Nathalie Blanc; Philippe Clergeau
Les Annales de la recherche urbaine | 1993
Colette Rivault; Nicole Mathieu; Anne Cloarec; Nathalie Blanc
L’Espace géographique | 2005
Nathalie Blanc; Sandrine Glatron
Archive | 2004
Nathalie Blanc; Marianne Cohen; Sandrine Glatron; Lucile Grésillon
Archive | 2012
Nathalie Blanc