P. Coriat
University of Paris
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Publication
Featured researches published by P. Coriat.
Acta Anaesthesiologica Scandinavica | 2000
F. Aubrun; O. Langeron; D. Heitz; P. Coriat; B. Riou
Background: The additive effect of non‐steroidal anti‐inflammatory drugs administered with propacetamol after major orthopaedic surgery has not been studied. Thus, we performed a prospective, placebo‐controlled study to assess the analgesic effects of ketoprofen in patients undergoing spinal fusion surgery and receiving propacetamol.
Journal of Cardiothoracic Anesthesia | 1990
Gilles Godet; Michele Bertrand; P. Coriat; Edouard Kieffer; S. Mouren; P. Viars
Abstract The aims of this randomized study were (1) to determine if isoflurane is effective in controlling blood pressure during thoracic aortic cross-clamping, and (2) to compare its effects on hemodynamics and oxygen transport to those of sodium nitroprusside. Sodium nitroprusside (SNP group, n = 10) or isoflurane (ISO group, n = 10) was started 2 minutes before cross-clamping and was adjusted to maintain systolic arterial pressure as near as possible to preinduction values. The duration of thoracic aortic cross-clamping was 26 ± 4 minutes in the SNP group and 30 ± 4 minutes in the ISO group. Administration of isoflurane and sodium nitroprusside was stopped 2 minutes before unclamping. The same anesthetic technique using fentanyl, 6 μg/kg, flunitrazepsm, 0.02 mg/kg, pancuronium, 0.1 mg/kg, and 50% N 2 O was used for all patients. At the time of clamping, either isoflurane (maximal expired concentration, 2.6% ± 0.3%) or sodium nitroprusside (cumulative dose, 11.1 ± 1.0 mg) was effective in maintaining the systolic blood pressure below 160 mm Hg, whereas the pulmonary capillary wedge pressure did not change. However, only SNP was able to bring the arterial pressure above the cross-clamp back to postinduction levels. During clamping, stroke index values were similar in both groups, but cardiac index increased only in patients receiving SNP. In both groups, at clamping and unclamping, PvO 2 was higher than postinduction values, indicating that throughout the study the oxygen needs of the perfused area were adequately met. There was no evidence of acute left ventricular decompensation because pulmonary capillary wedge pressures did not abruptly increase, nor did pulmonary edema occur. It is concluded that isoflurane added to fentanyl anesthesia is acceptable for thoracic aortic aneurysm surgery because it allows safe and effective control of hypertension during clamping without compromising hemodynamics and oxygen transport.
Acta Anaesthesiologica Scandinavica | 1999
D. Eyraud; F. Benmalek; K. Teugels; M. Bertrand; S. Mouren; P. Coriat
Background: Although desflurane is commonly used to control surgically induced hypertension, its effects on left ventricular (LV) function have not been investigated in this clinical situation. The purpose of the present study was to evaluate the LV function response to desflurane, when used to control intraoperative hypertension.
Annales Francaises D Anesthesie Et De Reanimation | 2003
Gilles Godet; J.-P Goarin; Marie-Hélène Fléron; M. Bertrand; Edouard Kieffer; P. Coriat
Resume Le drainage–soustraction du liquide cephalorachidien (LCR) par voie lombaire pour prevenir les accidents medullaires de la chirurgie des anevrismes thoraciques ou thoraco-abdominaux (AT/ATA), fait l’objet d’un veritable engouement parmi les equipes prenant en charge ce type de patients. Alors que le benefice de cette technique fait encore l’objet de discussion, nous rapportons deux accidents a type d’hematome sous-dural (HSD) retarde chez deux de nos patients, apres application de cette technique. Le clampage de l’aorte entraine une baisse brutale et severe de la pression de perfusion medullaire, une augmentation de la pression intracrânienne et par les modifications de repartition du retour veineux, une augmentation de la pression du liquide cephalorachidien. Cette derniere entraine une diminution de la pression de perfusion medullaire. La soustraction de LCR vise a ameliorer la perfusion medullaire puisqu’elle retablit une pression de perfusion proche de la normale. Les deux cas cliniques rapportes viennent s’ajouter au passif d’une methode de prevention du risque medullaire qui, pour seduisante qu’elle soit, n’a pas encore fait la preuve de son efficacite a diminuer la frequence et/ou la gravite des accidents medullaires de la chirurgie des AT/ATA. En l’etat actuel, cette technique devrait etre reservee aux patients chez qui le rapport benefice/risque est favorable, soit en corollaire aux patients a risque medullaire connu, documente par exemple par une arteriographie medullaire. La mise en place et le retrait du catheter doivent se faire dans les conditions habituelles de ponction medullaire, pour ce qui concerne les traitements anticoagulants et antiplaquettaires.
Annales Francaises D Anesthesie Et De Reanimation | 2008
N. Mongardon; Marie-Hélène Fléron; D. Kahn; Edouard Kieffer; P. Coriat
Un homme de 49 ans, atteint d’une maladie de Marfan, était opéré par sternotomie sous circulation extracorporelle d’une maladie annuloectasiante avec remplacement de l’aorte ascendante et remplacement valvulaire prothétique (intervention de Bentall). L’antibioprophylaxie était assurée par du céfamandole. Son seul antécédent était une hypertension artérielle traitée par aténolol, clopidrogel et atorvastatine. Aucun facteur d’immunodépression n’était noté. Un séjour postopératoire de cinq jours en réanimation était nécessaire pour la survenue d’une atélectasie hypoxémiante. Après retour en unité d’hospitalisation, une fièvre à 39 8C se développait au quinzième jour postopératoire. Hormis une confusion temporospatiale fluctuante, l’examen clinique, notamment neurologique, était strictement normal. L’examen cytobactériologique des urines était normal. Les globules blancs étaient mesurés à 5,5 G/l, la CRP à 38 mg/l. Les hémocultures restaient stériles. La radiographie pulmonaire montrait un syndrome alvéolaire du lobe inférieur gauche. L’échographie transœsophagienne ne retrouvait pas de végétations. Une antibiothérapie probabiliste par Pipéracilline Tazobactam et Vancomycine était alors débutée, dans l’hypothèse d’une pneumopathie. Au vingtième jour postopératoire, une raideur méningée avec dégradation de la vigilance apparaissaient, associées à une parésie de l’hémiface et du membre supérieur gauches. L’IRM réalisée en urgence retrouvait des lésions temporales droites et angulaire gauche, fortement évocatrices d’atteinte herpétique (Fig. 1). Un traitement intraveineux par aciclovir était immédiatement instauré et le patient était transféré en réanimation. La ponction lombaire était différée au lendemain en raison de l’anticoagulation curative indiquée par la valve mécanique et de l’effet de masse. L’examen du liquide céphalorachidien retrouvait un liquide clair, normoglycorachique (3,5 mmol/l), hyperprotéinorachique (2,8 g/l) et à prédominance lymphocytaire (15 éléments avec 80 % de lymphocytes). L’examen direct et la culture étaient négatifs, mais la PCR herpes simplex virus de type 1 revenait positive, confirmant ainsi le diagnostic de méningoencéphalite herpétique
BJA: British Journal of Anaesthesia | 2002
X. Paqueron; A. Lumbroso; P. Mergoni; Frédéric Aubrun; O. Langeron; P. Coriat; Bruno Riou
BJA: British Journal of Anaesthesia | 1998
Jean-Luc Hanouz; B. Vivien; P Y Gueugniaud; Yves Lecarpentier; P. Coriat; Bruno Riou
European Journal of Anaesthesiology | 2001
M. Bertrand; Gilles Godet; F. Koskas; P. Cluzel; M.-H. Fléron; E. Kieffer; P. Coriat
BJA: British Journal of Anaesthesia | 1997
O. Langeron; F Lille; O Zerhouni; G Orliaguet; G Saillant; Bruno Riou; P. Coriat
BJA: British Journal of Anaesthesia | 1999
Olivier Langeron; B Vivien; X. Paqueron; G Saillant; Bruno Riou; P. Coriat; F Lille