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Featured researches published by P. Laroche.
Archives Des Maladies Professionnelles Et De L Environnement | 2007
X. Castagnet; M. Mantzarides; P. Laroche; H. Foehrenbach
Resume Objectifs de l’etude Le personnel du milieu medical represente en France la majeure partie des travailleurs exposes aux rayonnements ionisants d’origine artificielle : les applications medicales des rayonnements ionisants emploient plus de 100 000 personnes, sur un total d’environ 210 000 travailleurs soumis a une exposition d’origine professionnelle. Resultats Les doses les plus importantes, de l’ordre de quelques mSv, sont enregistrees dans les services de medecine nucleaire. Le personnel y est confronte a un risque d’exposition externe lors de l’utilisation des molecules marquees et lors de la realisation des examens radiologiques conventionnels, et a un risque de contamination par la manipulation des sources non scellees. La radiotherapie interne, longtemps limitee au cancer thyroidien, s’est etendue a beaucoup d’autres types de cancers du fait de la disponibilite de nouveaux vecteurs et de nouveaux radionucleides. Toutes ces evolutions technologiques ont une implication en radioprotection en ce qui concerne l’exposition du personnel de medecine nucleaire. Discussion Les mesures de protection radiologique a adopter reposent sur le recensement des situations a risque, l’evaluation previsionnelle des doses, l’etude du poste de travail, l’optimisation des expositions et des pratiques. Elles aboutissent a la categorisation du personnel, a l’amenagement des locaux en fonction du risque radiologique et a l’amelioration des pratiques. La surveillance de l’exposition professionnelle se fait par la dosimetrie externe, la radiotoxicologie et une surveillance medicale adaptee a chaque poste de travail. La generalisation du port d’un dosimetre sur bague est indispensable pour mieux surveiller les doses distribuees aux doigts. Conclusion Le niveau d’exposition du personnel reste neanmoins tres inferieur aux limites reglementaires. Les seuls effets biologiques des rayonnements a redouter sont stochastiques par nature : cancers solides ou leucemies.
Archives Des Maladies Professionnelles Et De L Environnement | 2007
X. Castagnet; J.-C. Amabile; O. Aranjo; P. Laroche
Resume Objectif de l’etude Le flux de particules cosmiques est significativement plus eleve a bord des avions qu’au niveau du sol. Le travail presente est relatif a l’exposition au rayonnement cosmique des equipages de l’Armee de l’air navigant a bord des aeronefs de type E-3F. L’objectif de l’etude de poste est de determiner si leurs conditions de travail permettent de depasser annuellement une dose efficace de 1 mSv, afin de mettre alors en œuvre des moyens d’information, de prevention et de surveillance adaptes. Methode La premiere partie repose sur des mesures des debits d’equivalent de dose ambiante a bord des aeronefs de type E3-F. Ces resultats partiels ont ete completes par une campagne de mesures de l’exposition individuelle a l’aide de dosimetres individuels passifs et actifs gamma, X et neutrons. Resultats La campagne consacree a l’etude de la variation des debits d’equivalent de dose ambiante en fonction de l’altitude permet de retenir des niveaux de l’ordre de: – 4 a 5,5 μSv par heure au niveau 300 (30 000 pieds soit environ 10 000 metres d’altitude) ; – 6 a 8 μSv par heure au niveau 400 (40 000 pieds soit environ 13 300 metres d’altitude). Les resultats obtenus avec la dosimetrie active suggerent que la composante neutronique represente environ 70 % du rayonnement cosmique total. La campagne consacree a la surveillance de l’exposition individuelle montre que la dose de 1 mSv pourrait etre atteinte entre 200 et 250 heures de vol a une altitude moyenne situee autour du niveau 300. Conclusion L’ensemble des mesures fait apparaitre, au-dela de 200 heures de vol par an au-dessus du niveau 300, un risque de depassement de la dose de 1 mSv. De par leur activite professionnelle, les equipages peuvent recevoir une dose annuelle de quelques millisieverts, sans risque sanitaire quantifiable. Il est cependant imperatif, reglementairement, de recenser le personnel concerne et d’organiser a son profit une surveillance radiologique et medicale renforcee.
Radiation Protection Dosimetry | 2006
X. Castagnet; J.-C. Amabile; Alain Cazoulat; Y. Lecompte; H. de Carbonnières; P. Laroche
Archives Des Maladies Professionnelles Et De L Environnement | 2009
X. Castagnet; J.-C. Amabile; Alain Cazoulat; Sandra Bohand; P. Laroche
Medecine Nucleaire-imagerie Fonctionnelle Et Metabolique | 2006
H. Boisseaux; P. Laroche; H. De Carbonnieres; H. Foehrenbach
Radioprotection | 2007
J.-C. Amabile; X. Castagnet; H. De Carbonnières; P. Laroche
Medecine Nucleaire-imagerie Fonctionnelle Et Metabolique | 2006
H. Foehrenbach; P. Laroche; H. De Carbonnieres; M. Mantzarides; G. Bonardel; E. Gontier
Archives Des Maladies Professionnelles Et De L Environnement | 2012
S. Wassilieff; Alain Cazoulat; S. Bohand; F. Merat; E. Gontier; G. Gagna; J.-C. Amabile; P. Laroche
Archives Des Maladies Professionnelles Et De L Environnement | 2009
Alain Cazoulat; Sandra Bohand; J.-C. Amabile; X. Castagnet; P. Laroche
Archives Des Maladies Professionnelles Et De L Environnement | 2009
P. Laroche; J.-C. Amabile; Sandra Bohand; X. Castagnet; H. de Carbonnières; R. Abiliou; Alain Cazoulat