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Dive into the research topics where Patrick Berche is active.

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Featured researches published by Patrick Berche.


Dermatology | 2011

Efficacy of rifampin-moxifloxacin-metronidazole combination therapy in hidradenitis suppurativa.

Olivier Join-Lambert; Hélène Coignard; Jean-Philippe Jais; Hélène Guet-Revillet; Sylvain Poirée; Sylvie Fraitag; Vincent Jullien; Florence Ribadeau-Dumas; Jacques Thèze; Anne-Sophie Le Guern; Sylvie Behillil; Anne Leflèche; Patrick Berche; Paul Henri Consigny; O. Lortholary; Xavier Nassif; A. Nassif

Background: Antibiotics have been shown to improve hidradenitis suppurativa (HS) patients but complete remission is rare using these treatments. Objective: To assess the efficacy and safety of a combination of oral rifampin, moxifloxacin and metronidazole in long-lasting refractory HS. Methods: We retrospectively studied 28 consecutive HS patients including 6, 10 and 12 Hurley stage 1, 2 and 3 patients, respectively. Complete remission, defined as a clearance of all inflammatory lesions including hypertrophic scars, was the main outcome criterion of the study. Results: Complete remission was obtained in 16 patients, including 6/6, 8/10 and 2/12 patients with Hurley stage 1, 2 and 3, respectively (p = 0.0004). The median duration of treatment to obtain complete remission was 2.4 (range 0.9–6.5) and 3.8 months (range 1.6–7.4) in stage 1 and 2 patients, respectively, and 6.2 and 12 months in the 2 stage 3 patients. Main adverse events of the treatments were gastrointestinal disorders (64% of patients) and vaginal candidiasis (35% of females). Reversible tendinopathy and hepatitis occurred in 4 and 1 patient, respectively. Conclusions: Complete remission of refractory HS can be obtained using broad-spectrum antibiotics and Hurley staging is a prognostic factor of response to the treatment.


Journal of Medical Biography | 2013

Arnault Tzanck (1886-1954), founder of the first blood centre worldwide.

Jean-Jacques Lefrère; Patrick Berche

Arnault Tzanck was at the origins of French transfusion and the founder of the first blood centre worldwide. This article retraces his career and personal itinerary and that path which led him to give his build the countrys first organized and modern blood transfusion structure.


Hématologie | 2013

Jean Dausset. « Chaque homme est unique »

Jean-Jacques Lefrère; Patrick Berche

Les recherches de Jean Dausset ont ete fondamentales dans l’identification des systemes d’histocompatibilite, dont la decouverte a permis l’essor des greffes d’organes et de tissus en permettant des appariements compatibles entre donneurs et receveurs. Un prix Nobel a recompense ses travaux en 1980.


Presse Medicale | 2011

La singulière découverte de l’anesthésie

Patrick Berche; Jean-Jacques Lefrère

Dans une cellule sordide et glacée de la prison centrale de New York, le 24 janvier 1848, gît un homme de trente-trois ans, baignant dans une énorme flaque de sang. Les premières constatations relèvent qu’il s’est donné la mort en se sectionnant l’artère fémorale avec le rasoir que l’on trouve à côté de lui. Trois jours auparavant, ce dentiste de Hartford, près de New York, a nuitamment agressé une prostituée dans un coin sombre de Broadway, en lui jetant au visage le contenu d’une fiole d’acide. Hurlements, attroupement et arrestation de l’agresseur, lequel, hébété, semble ne rien comprendre au drame qu’il vient de déclencher. Déféré devant le juge, il ne se souvient de rien. On apprend que, laissant sa femme et son enfant à Hartford, il s’est installé quelques jours plus tôt à New York comme dentiste, dans le but de poursuivre dans cette ville des recherches sur des produits nouveaux qui préviennent la douleur. Sont-ce des recherches sur lui-même ? On découvre de l’éther et du chloroforme dans la petite chambre proche de Broadway où il vit reclus. L’enquête révèle qu’il ne sortait plus guère que la nuit, pour errer dans les rues quand l’effet des drogues se dissipait. Fréquentant la pègre, il a rencontré un clochard qui lui a conté ses ennuis avec la prostituée qui l’avait éconduit. L’esprit égaré, prenant fait et cause pour ce camarade de misère, il a décidé de le venger et de faire payer à la malheureuse toutes les injustices dont il a été victime. C’est cette folle agression qui l’a mené au suicide. Il a laissé une longue et émouvante lettre, destinée à sa femme : « Je vais mourir ce soir avec la conviction que Dieu qui connaît tous les cours, me pardonnera cet acte terrible. Je vais passer en prière ce qui me reste de temps à vivre. Quel malheur pour ma famille ! Ce qui me cause le plus d’angoisses, c’est de voir mon nom se rattacher à une découverte scientifique qui l’a rendu familier à tout le monde savant. Et maintenant que je puis encore tenir ma plume, il faut que je leur dise adieu à tous ! Oh ! Mon Dieu, pardonnez-moi. Oh ! Ma chère femme et mon enfant, que je laisse sans moyens d’existence, je voudrais vivre et travailler pour vous ; mais je ne le puis. Je deviendrais fou ! [. . .] Je sens que je cours rapidement vers un écroulement mental, sans quoi je ne commettrai pas cet acte. Je ne puis vivre sans conserver ma raison. Puisse Dieu me pardonner cet acte. Je ne puis rien dire de plus. Adieu. H. » H pour Horace Wells.


Presse Medicale | 2010

William Harvey découvre la circulation du sang

Patrick Berche; Jean-Jacques Lefrère

XVII e siècle, William Harvey. La Science est alors engourdie dans un sommeil de plus d’un millénaire, et les fondamentalismes religieux l’ont vitrifiée dans la vénération et le rabâchage rassurants des maîtres de l’Antiquité. Le vent de la Renaissance a, certes, remis en cause bien des connaissances héritées du Monde ancien, et le coup assurément le plus violent a été porté en 1543 par Nicolas Copernic, qui faisait tourner la Terre et les planètes autour du Soleil, détruisant, preuves à l’appui, la cosmologie géocentrique de l’astronome Ptolémée. Ce vent nouveau soufflait toutefois plus fort dans les pays en pleine expansion commerciale et maritime, comme la République de Venise, l’Angleterre et la Hollande, où l’esprit paraît reprendre vie dans la liberté et la contestation. En ce début du XVII siècle, la médecine vit toujours sous le joug du grec Galien, l’anatomiste du II siècle, qui a contribué au progrès en son temps, mais dont l’oeuvre, pourtant aussi respectée que diffusée, comporte de graves erreurs. Les médecins croient encore que le sang sourd des profondeurs spongieuses du foie et qu’il est le produit de la digestion des aliments dans les intestins : transporté par les veines, ce sang « nourricier » quitterait le foie pour aller irriguer l’ensemble du corps, inondant les tissus qui l’absorbent et le consomment. Quant au coeur, il ne serait qu’une annexe du système veineux : arrivant par les grosses veines caves dans la partie droite du coeur, le sang serait envoyé vers les poumons et les tissus de l’organisme. Il pourrait traverser la cloison médiane poreuse du coeur pour passer d’un ventricule à l’autre, et se mélangerait au pneuma, ce principe vital inspiré avec l’air dans les poumons, lors de la respiration. Un sang réchauffé au contact du « feu inné » devient ainsi rouge vif et est envoyé du ventricule gauche vers les artères pour insuffler la vie dans chaque recoin de l’organisme. Pendant tout le Moyen-Âge, les plus grands savants de l’Occident ont accepté sans barguigner cette « vérité » énoncée dans l’Antiquité. L’homme qui va remettre en cause ce dogme millénaire s’appelle William Harvey. Il est né le 1 avril 1578 à Folkstone, dans le Kent. Son père est un négociant prospère, qui commerce avec l’Orient. À cette époque, l’université anglaise, soumise aux autorités religieuses, est à peu près totalement sclérosée par une scolastique où l’on glose sans fin sur les livres vénérés et rabâchés des Anciens. Des penseurs comme Francis Bacon et Thomas Hobbes, adversaires déterminés de cette scolastique, insistent pourtant sur l’importance de l’observation et de l’expérimentation pour faire progresser la connaissance. De plus, la classe marchande de l’Angleterre, qui découvre des mondes inconnus par-delà les mers, soutient le progrès scientifique pour que soient développés des savoir-faire répondant à


Annales D Endocrinologie | 2010

La thérapeutique du docteur Brown-Séquard

J.-J. Lefrère; Patrick Berche


Hématologie | 2011

Le fondateur de la transfusion francaise

Jean-Jacques Lefrère; Patrick Berche


Presse Medicale | 2010

L’enquête Tuskegee sur la syphilis

Patrick Berche; Jean-Jacques Lefrère


Presse Medicale | 2011

Hérophile et Erasistrate: la première exploration du corps humain

Patrick Berche; Jean-Jacques Lefrère


Presse Medicale | 2010

Gerhard Hansen, une vie de lutte contre la lèpre

Patrick Berche; Jean-Jacques Lefrère

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Hélène Coignard

Paris Descartes University

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O. Lortholary

Necker-Enfants Malades Hospital

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Sylvain Poirée

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Sylvie Fraitag

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Vincent Jullien

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Xavier Nassif

Necker-Enfants Malades Hospital

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