Phil Hooper
University of Western Ontario
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Publication
Featured researches published by Phil Hooper.
Canadian Journal of Ophthalmology-journal Canadien D Ophtalmologie | 2008
Phil Hooper; Jeffrey W. Jutai; Graham Strong; Elizabeth Russell-Minda
BACKGROUND Because of the prevalence and devastating consequences of age-related macular degeneration (AMD), a systematic review devoted to low-vision rehabilitation and AMD seems timely and appropriate. METHODS Several electronic databases were searched for studies from 1980 to 2006 involving individuals with low vision or visual impairment and rehabilitation interventions. Studies were assessed for quality and level of evidence. RESULTS The findings indicate that standard low-vision rehabilitation programs, conventional in-clinic assessments, and optical devices are effective ways of managing and living with vision loss. Areas of unmet need include determining which types of orientation and mobility programs and devices are most effective and developing methods of matching assistive technologies with the individuals visual and environmental requirements. INTERPRETATION Additional randomized controlled trials with similar intervention comparisons and outcome measures are needed to form stronger conclusions for the most effective low-vision rehabilitation interventions for individuals with AMD.
Canadian Journal of Ophthalmology-journal Canadien D Ophtalmologie | 2014
Phil Hooper
Providing appropriate health care to Aboriginal (First Nations) populations has historically been a challenge, related in part to financial, geographic, cultural, and linguistic barriers. In addition to these factors, there has long been a perception that some diseases manifest differently in this population and that they respond differently to treatment. An increasing body of evidence in a number of medical disciplines confirms this belief and has begun to suggest more effective treatment approaches. In a study published in the current edition of the CJO, Mili Roy retrospectively analyzes the spectrum of uveitis encountered in a Canadian First Nations population compared with a control population within a referral practice in Manitoba. Significant differences were found in age of presentation, bilaterality, incidence of More aggressive treatment was required and the visual outcomes were significantly worse in the First Nations cohort. As Roy points out, the findings within the cohort studied cannot necessarily be extrapolated to other First Nations populations who have a differing genetic background. However, the study clearly demonstrates the need to better understand the spectrum of ocular inflammatory disease and response to treatment in First Nations populations across Canada to improve uveitis management and visual outcomes in this rapidly growing Canadian population.
Canadian Journal of Ophthalmology-journal Canadien D Ophtalmologie | 2008
Wendy Hatch; Shaun Singer; Phil Hooper
Study and findings All cataract surgeries performed on patients 20 years and older between April 1, 2001, and March 31, 2004, were identified using the Ontario Health Insurance Plan physician claims. An adverse event was defined as vitrectomy or vitreous aspiration or injection performed between 1 and 14 days after cataract surgery. Ophthalmologists were linked with their respective patients to analyze the relationship between volume of surgery and adverse event rate. The data were encrypted prior to the authors’ analyses, which were adjusted for age and gender. The overall adverse event rate was 0.33% to 0.41%. There was a statistically significant linear relationship between surgeon volume and adverse event rate (p < 0.001). In 2003–2004, those surgeons performing between 50 and 250 surgeries (n = 64) had an adverse event rate of 0.8%. Québec. Des ophtalmologistes m’ont déjà signalé qu’ils n’arrivaient pas à trouver de partenaires et se demandaient ce qu’ils pourraient faire dans une petite ville américaine. La frustration est aussi élevée aux É.-U. et grandement liée à l’interférence des tierces parties, à la baisse des remboursements, au rapport avec les personnes sans assurances et au problème des fautes professionnelles. Les médecins coûtent cher et notamment les surspécialistes. Des études indiquent qu’il n’y a pas nécessairement de lien entre un excédent de médecins et de surspécialistes et l’amélioration des soins, mais qu’il y en a généralement un avec la hausse du coût des soins.2,3 Plusieurs pays occidentaux le voient ainsi et abordent le problème de la hausse des coûts de la santé en limitant la production des médecins, surtout celle des surspécialistes. Cette approche aura cependant comme résultat d’accroître le stress et ses sources, une évidence dans l’étude québécoise. Il faut assurer un équilibre et prendre conscience que la prévision de pénuries a des limites. En effet, si l’on pousse trop loin, une spirale funeste d’épuisements professionnels entraînera une baisse de productivité, la propagation du stress aux autres dispensateurs de soins, encore plus d’épuisements professionnels et davantage d’abandons, menant éventuellement à une crise. La rationalité doit nous servir de mot d’ordre en poursuivant l’examen du nombre de dispensateurs de soins nécessaire pour satisfaire aux besoins. Les familles et les couples ne peuvent pas réagir au stress de tout ce processus, comme le souligne l’étude. Plusieurs ophtalmologistes québécois reconnaissent que leur pratique importune leur vie familiale. Cette constatation trouve certes un écho chez moi et, j’en suis certain, chez beaucoup d’ophtalmologistes des É.-U. Le refrain de nos enfants « Tu t’en vas encore ? » fait vraiment mal. Beaucoup de familles souffrent de cette négligence involontaire, de l’aliénation et de la dépersonnalisation, mais c’est difficile de tourner le bouton d’une chiquenaude pour passer de la dépersonnalisation à la personnalisation, du cabinet à la maison. Que 25 % des couples soient apparemment en difficulté comme le dit l’étude québécoise, voilà qui ne devrait pas surprendre mais qui pose un problème majeur. Alors, que devrions-nous en retenir ? Premièrement, il faut reconnaître le problème; nous devons en accepter la réalité et admettre notre négligence. Pourquoi avons-nous été négligents ? Parce que nous avons été entraînés à refouler nos ennuis, à ne pas nous plaindre et à redoubler d’ardeur. Les dispensateurs de soins sont exposés à l’épuisement personnel, à la dépression et au découragement qui s’ensuivent, puis il faut encourager la dépersonnalisation pour obtenir de l’aide. Toute tare associée à une telle attitude doit être combattue vivement. La négation du problème (mesure d’accommodement vraiment trop répandue) n’a jamais apporté de solution. Les services de santé, les institutions et les hôpitaux devraient élaborer des programmes pour aider ceux et celles qui souffrent en silence. Les interventions devraient aussi être facilement disponibles et discrètes, et nous devrions rechercher activement ceux et celles qui présentent des signes d’épuisement, car ces personnes pourraient ne jamais demander de l’aide d’elles-mêmes. Nous devons, comme groupe professionnel, nous assurer qu’il y ait suffisamment d’ophtalmologistes pour répondre aux besoins de la collectivité. Nous devrions enseigner à nos résidents que l’épuisement professionnel pourrait être un problème et leur indiquer les signes à détecter et les moyens de s’en sortir sainement. Enfin, il faudra mener d’autres études pour mieux comprendre la taille, l’étendue et les différences régionales de ce géant qui dort.
American Journal of Ophthalmology | 2005
Adnan Pirbhai; Thomas G. Sheidow; Phil Hooper
Canadian Journal of Ophthalmology-journal Canadien D Ophtalmologie | 2010
Michael J. Wan; Phil Hooper; Tom G. Sheidow
Canadian Journal of Ophthalmology-journal Canadien D Ophtalmologie | 2004
Tom G. Sheidow; Briar Sexton; Phil Hooper; J. Godfrey Heathcote
Canadian Journal of Ophthalmology-journal Canadien D Ophtalmologie | 2012
Phil Hooper
Canadian Journal of Ophthalmology-journal Canadien D Ophtalmologie | 2009
Phil Hooper
Investigative Ophthalmology & Visual Science | 2012
David V. Dudok; Phil Hooper
Investigative Ophthalmology & Visual Science | 2007
Phil Hooper; Thomas G. Sheidow