S. Abu Amara
University of Rouen
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Publication
Featured researches published by S. Abu Amara.
Orthopaedics & Traumatology-surgery & Research | 2014
S. Abu Amara; J. Leroux; J. Lechevallier
The treatment of slipped capital femoral epiphysis (SCFE) in adolescents remains controversial. The goal of initial treatment is to prevent further slippage of the epiphysis. In mild forms, both stable and unstable, in situ fixation is widely accepted as the reference treatment. In contrast, several techniques are available for stable moderate-to-severe SCFE. In unstable moderate-to-severe SCFE, emergent reduction with decompression and internal fixation is currently the preferred method. Selection of the surgical technique rests on an appraisal of advantages versus drawbacks. The goal of this review is to discuss the various surgical methods available for SCFE in adolescents.
Orthopaedics & Traumatology-surgery & Research | 2017
J. Leroux; S. Abu Amara; J. Lechevallier
Current knowledge of the causes and risk factors of Legg-Calvé-Perthesdisease (LCPD) does not allow effective preventive strategies. The outcome in adulthood is usually good. Hip osteoarthritis rarely develops before 50 years of age. The risk of osteoarthrosis depends chiefly on the final degree of joint incongruence. Age at onset and the lateral pillar classification are the two main outcome predictors and serve to guide the surgical indications based on the studies by Herrings group. Non-operative treatment is not effective. In contrast, femoral varus osteotomy and Salters innominate osteotomy provide good outcomes. In severe forms, however, combining these two techniques or performing a triple pelvic osteotomy seem preferable. Surgery is now performed considerably less often than in the past, as it is effective only in patients with lateral pillar group B or B/C disease with onset after eight years of age. In other situations, therapeutic abstention is recommended.
Archives De Pediatrie | 2013
J. Leroux; Pierre-Hugues Vivier; M. Grall; E. Foulongne; M. Ould Slimane; S. Abu Amara; J. Lechevallier
Lyme disease incidence is diverse in France. It is rare in many regions but very frequent in Central and Eastern France. Arthritis is a late manifestation of Lyme disease. In children, the clinical and biological picture often resembles that of septic arthritis and juvenile rheumatoid arthritis, which are more frequent. This explains why diagnosis may be delayed, especially when patient lives in a region of low incidence. We report the case of an 8-year old girl with knee arthritis treated as septic arthritis in a region where Lyme disease is rare. Six days later, clinical and biological worsening suggested that the diagnosis had to be reconsidered. Lyme arthritis was confirmed by serology. Treatment was adapted and the progression was positive. This case reminds us that, in children, Lyme arthritis may look alike septic arthritis or juvenile rheumatoid arthritis and must be considered as a possible diagnosis, even in low-incidence areas.
Archives De Pediatrie | 2010
C. Bronfen; L. Riss; C. Le Roux; S. Abu Amara
* Auteur correspondant. e-mail : [email protected] Les malpositions des pieds chez l’enfant sont une cause fréquente de consultation chez le nouveau-né en maternité, chez le nourrisson et chez l’enfant après l’âge de la marche. Ce sont le plus souvent des déformations posturales dues au maintien d’un pied normal dans une position extrême, pendant une période suffi samment longue pour provoquer un déséquilibre temporaire, qui entretient la malposition après la naissance [1]. Il faut les différencier des malformations qui sont des anomalies du développement survenues tôt in utero, et des anomalies de position fi xées dues à des troubles neurologiques. Les principales malpositions du pied sont : le pied talus ou calcanéus [2], le pied supinatus, le métatarsus varus ou métatarsus adductus. On peut y rattacher : le pied creux congénital et les malpositions d’orteils. La constatation de cette déformation doit faire pratiquer un examen complet : conditions de naissance et de grossesse, recherche d’un syndrome de contrainte intra-utérine (gros poids, gémellité, oligo-amnios) qui peut être responsable de la malposition ; examen neurologique ; examen des membres inférieurs et du rachis ; examen des hanches à la recherche d’une instabilité. Il faut étudier pour toutes ces malpositions leur réductibilité passive et active par stimulation du pied. Les radiographies systématiques n’ont pas d’intérêt chez le tout petit. La morphologie normale du pied de l’enfant doit être connue : à la naissance le pied est plutôt talus (calcanéus), souple, le membre inférieur est en triple fl exion. À l’âge de la marche le pied a un aspect plat avec une voûte non creusée en position debout mais la voûte plantaire se creuse en extension du gros orteil.
Archives De Pediatrie | 2008
J. Lechevallier; V. Brzakala; C. Vanhulle; S. Abu Amara
Objectifs Le confort de l’enfant Infirme Moteur Cerebral (IMC) spastique non marchant est menace par les complications orthopediques de la spasticite mais aussi des phenomenes douloureux, des difficultes d’appareillage et de la lourdeur de la reeducation. L’utilisation du Baclofene (Lioresal ® ) administre par voie intra-thecale a ete decrite chez les sujets adultes mais l’evaluation des benefices chez l’enfant IMOC spastique a ete peu presentee. Nous rapportons notre experience des 10 premiers patients implantes dans notre institution. Materiel et Methode Huit patients etaient des enfants (âge moyen 12 ans) et deux etaient de jeunes adultes (20 et 25 ans). Le protocole d’implantation consistait en l’injection iterative de doses variables de Baclofene. L’observation des effets produits etait faite par l’operateur, les parents et le kinesitherapeute habituel. Ce test a ete realise 12 fois. Dans 10 cas, le test a ete concluant et la pompe a ete implantee secondairement. Resultats Les complications observees ont ete 4 fois serieuses necessitant une reintervention (3 demontages de catheter, 1 nfection superficielle), et 3 fois mineures (cephalees et surdosage). La reduction de la spasticite a ete observee dans tous les cas. Les parents ont toujours declare apprecier le gain de confort trouve. Les douleurs ont disparu chez les 2 patients qui en presentaient. Les benefices ont ete d’autant plus evidents que les enfants ne presentaient pas de retraction articulaire. Deux interventions chirurgicales ont du etre realisees apres l’implantation (une arthrodese vertebrale et une tenotomie des adducteurs). Elles etaient previsibles avant l’implantation. En outre, le Baclofene a considerablement adouci les suites de ces interventions. Conclusion S’il est premature d’affirmer que l’usage du Baclofene intra-thecal permet d’obtenir une reduction significative de la prise en charge orthopedique et chirurgicale des jeunes enfants IMC, il apparait clairement que cette procedure reduit les inconforts en rapport avec la spasticite (appareillage, douleur, reeducation). Les complications observees n’ont jamais amene a regretter le choix de l’implantation.
Orthopaedics & Traumatology-surgery & Research | 2015
S. Abu Amara; V. Cunin; Brice Ilharreborde
Archives De Pediatrie | 2001
A. Marie-Cardine; S. Abu Amara; M.F. Guyard; N. Barbier-Frebourg; M. Nouvellon; L. Lemée; T. Blanc; X. Balguerie
Archives De Pediatrie | 2012
M. Bachy; J. Leroux; A. Pegot; S. Abu Amara; J. Lechevallier; B. Bachy
Revue de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique | 2009
V. Brzakala; D. Debeaumont; T. Nedelcu; S. Abu Amara; C. Vanhulle; J. Lechevallier
/data/traites/ap/14-66231/ | 2016
J. Leroux; I Bernardini; S. Abu Amara; J. Lechevallier