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Dive into the research topics where T. Moser is active.

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Featured researches published by T. Moser.


Journal De Radiologie | 2006

Comment interpréter les radiographies du rachis traumatique en urgence

J.C. Dosch; T. Moser; M.G. Dupuis; J.L. Dietemann

Objectifs pedagogiques Reconnaitre les signes radiologiques pour ou contre une lesion instable. Poser les bonnes indications en matiere d’exploration complementaire. Definir les points importants a communiquer en urgence aux cliniciens.


Journal De Radiologie | 2007

Imagerie des traumatismes de la hanche

M.G. Dupuis; A. Moussaoui; V. Douzal; G. Taglang; T. Moser; J.C. Dosch

Resume Les traumatismes de la hanche, domines par les fractures de l’extremite proximale du femur, sont en constante et reguliere progression. Si la morbidite a pu etre sensiblement maitrisee grâce aux progres de la chirurgie, de l’anesthesie et de la reeducation fonctionnelle, la mortalite reste encore importante. Les moyens techniques d’imagerie sont des moyens simples, mais au-dela de l’incontournable radiologie conventionnelle, le scanner volumique et aujourd’hui l’IRM sont devenus des outils indispensables. La semiologie elementaire se doit d’etre rigoureuse mais avec le seul souci d’aider a une prise en charge therapeutique rapide, econome et efficace.


Journal De Radiologie | 2009

Imagerie des traumatismes rachidiens à la phase aiguë

J.C. Dosch; T. Moser; J L Dietemann

Objectifs Connaitre les indications respectives des outils diagnostiques. Optimiser les techniques d’imagerie. Proposer un guide d’interpretation. Classer les lesions selon leur degre de gravite. Messages a retenir Le bilan diagnostique depend de la severite du traumatisme et de la nature des lesions. En cas de traumatisme mineur on realisera des radiographies standard si les criteres de prediction clinique (NEXUS ou C-CSR) le justifient. Dans tous les autres cas-traumatisme a haute energie, traumatisme rachidien avec trouble neurologique, exploration radiographique difficile ou incomplete – on fera appel au scanner pour le bilan des lesions osseuses, et si besoin a l’IRM pour l’atteinte des parties molles. Resume Les lesions vertebrales sont de loin les plus frequentes. L’atteinte du segment vertebral moyen, a savoir les structures peri-canalaires, est source d’instabilite avec son lot de complications neurologiques immediates ou secondaires. Les luxations sont des urgences therapeutiques. L’imagerie ne doit en aucune maniere retarder leur mise en œuvre. Les entorses graves sont exceptionnelles. Le risque d’atteinte du segment mobile rachidien en presence d’un scanner normal est inferieur a 2%. En cas de doute une surveillance clinique avec epreuve dynamique en flexion-extension s’impose. La frequence des atteintes medullaires augmente avec la severite du traumatisme. On recherchera en urgence une cause chirurgicale : compression osseuse (CT), hernie discale ou hematome extradural (IRM). Le type d’atteinte medullaire, contusion, hematome ou section (IRM), fournit des elements pronostiques.


Journal De Radiologie | 2008

Pieges en imagerie osteo-articulaire : comment distinguer une infection d’une pathologie tumorale ?

J.C. Dosch; T. Moser; M.G. Dupuis; J. Durckel; V. Douzal; A. Moussaoui; J L Dietemann

Objectifs Connaitre la similarite de presentation d’une infection et d’une tumeur osteo-articulaire. Connaitre les signes qui permettent de s’orienter vers l’un ou l’autre diagnostic. Savoir utiliser les differentes techniques d’imagerie pour acceder au diagnostic. Points cles Un aspect agressif en imagerie peut reveler a la fois une infection ou une tumeur osteo-articulaire. Ces deux entites sont souvent difficiles a distinguer en imagerie. Le diagnostic differentiel inclut surtout les tumeurs malignes mais aussi certaines tumeurs benignes a caractere inflammatoire (osteome osteoide, osteoblastome) ou pseudotumeurs (myosite ossifiante circonscrite, histiocytose langerhansienne). Les signes classiques d’infection (sequestre, fistule, infiltration ou collection des parties molles) presentent une specificite qui n’est pas absolue. Resume Les infections osseuses et des parties molles se presentent souvent en imagerie par un aspect agressif pouvant suggerer une tumeur maligne. Le contexte clinique et biologique n’est pas toujours discriminant et le diagnostic n’est parfois obtenu qu’a l’examen anatomo-pathologique. Cette confusion potentielle peut entrainer un retard therapeutique ou une prise en charge inadequate. Le but de cette mise au point est de rappeler la similarite de presentation des processus infectieux et tumoraux, de discuter les differents aspects en imagerie en insistant sur ceux qui peuvent contribuer au diagnostic differentiel. Enfin, nous proposons une strategie de recours aux differentes techniques d’imagerie.


Journal De Radiologie | 2007

OA-WP-21 Coiffe des rotateurs reparee sous arthroscopie : l’echographie est-elle contributive ?

T. Moser; A. Moussaoui; G. Bierry; V. Douzal; J.C. Dosch; M.G. Dupuis; J.L. Dietemann; J.F. Kempf

Objectifs pedagogiques Montrer les conditions de realisation d’une echographie de coiffe operee. Illustrer les aspects normaux et pathologiques en correlation avec l’arthroscanner d’une coiffe reparee sous arthroscopie. Discuter la place de l’echographie d’une coiffe operee en complement ou en alternative aux autres techniques d’imagerie. Messages a retenir L’echographie d’une coiffe operee est faisable. L’echographie permet de montrer les recidives de ruptures tendineuses. L’echographie permet egalement de montrer des anomalies non identifiables en arthroscanner et expliquant la persistance des douleurs.


Journal De Radiologie | 2007

Radiographie du rachis cervical : variantes de la normale et lesions pieges

J.C. Dosch; M.G. Dupuis; T. Moser; J.L. Dietemann

Objectifs pedagogiques Decrire des differents composants vertebraux sur les incidences fondamentales. Evaluer leurs rapports respectifs. Enumerer les variantes les plus frequentes. Reconnaitre les images pieges en pathologie traumatique tumorale et malformative. Savoir quand demander une imagerie complementaire. Messages a retenir Le rachis cervical peut etre assimile a un systeme de colonnes paralleles reliees par des ponts. La perte de parallelisme plaide pour une lesion traumatique ou malformative, leur conservation pour une attitude antalgique. Les stenoses constitutionnelles et les courbures cervicales anormales ont pour cause un trouble du developpement. Les variantes de la normale ne necessitent pas d’imagerie complementaire. Les images pieges sont classees par exces et par defaut. Les premieres sont sources d’inflation d’imagerie souvent inutiles, les secondes d’erreurs diagnostiques aux consequences plus ou moins fâcheuses.


Journal De Radiologie | 2007

Traumatismes du poignet : spectre des lesions et strategie d’imagerie

T. Moser; A. Moussaoui; M.G. Dupuis; V. Douzal; J. Durckel; J L Dietemann; J.C. Dosch

Objectifs pedagogiques Connaitre les principales lesions traumatiques du poignet (osseuses, cartilagineuses et ligamentaires). Connaitre les indications des differentes techniques d’imagerie (radiographies, echographie, scanner, arthroscanner, IRM, arthro IRM, scintigraphie). Messages a retenir L’association de lesions osseuses, ligamentaires et cartilagineuses est frequente. Le choix de la technique d’imagerie depend du contexte clinique, des antecedents chirurgicaux, ou encore du traitement envisage.


Journal De Radiologie | 2007

OA-WP-29 Diagnostic echographique des lesions ligamentaires de la colonne du pouce : anatomie, techniques, approche diagnostique

Guillaume Bierry; A. Moussaoui; T. Moser; V. Douzal; J L Dietemann

Objectifs pedagogiques Connaitre la technique d’exploration echographique des lesions ligamentaires du pouce. Reconnaitre les structures anatomiques impliquees. Savoir quand et comment realiser les manoeuvres dynamiques. Reconnaitre les differents types lesionnels. Preciser la gravite lesionnelle (indication chirurgicale). Messages a retenir Examen echographique rapide, fiable et sans contre-indications. Classification lesionnelle en 4 stades de gravite croissante. Description de formes lesionnelles necessitant une chirurgie precoce.


Journal De Radiologie | 2007

OA-WS-28 Diagnostic des ruptures de la coiffe des rotateurs : echographie ou arthroscanner ?

N. Berthelen; T. Moser; A. Moussaoui; V. Douzat; M.G. Dupuis; J.C. Dosch

Objectifs Preciser les performances de l’echographie comparativement a l’arthroscanner (technique de reference) pour le diagnostic des ruptures de la coiffe des rotateurs. Materiels et methodes Cette etude prospective a porte sur 237 patients consecutifs adresses pour suspicion de rupture de coiffe. Une echographie et un arthroscanner etaient realises le meme jour par un radiologue entraine. Le siege et la profondeur des ruptures, les calcifications et l’echostructure tendineuse etaient notes et compares. Une correlation chirurgicale (delai moyen 80 jours) etait disponible pour 70 patients âges de 36 a 77 ans (moyenne 55xa0±xa09,2) et comportant 28 femmes et 42 hommes, permettant de calculer performances de chaque technique pour le diagnostic des ruptures des tendons de la coiffe. Resultats L’echographie a detecte 38 des 44 ruptures transfixiantes (sensibilite : 86 %, specificite : 92 %) et 5 des 7 ruptures partielles (sensibilite ; 71 %, specificite : 95 %). L’arthroscanner a detecte 42 des 44 ruptures transfixiantes (sensibilite : 95 %, specificite : 100 %) et 2 des 7 ruptures partielles (sensibilite ; 29 %, specificite ; 95 %). Dans le groupe des tendinopathies (nxa0=xa08) l’echographie (sensibilite : 88 %, specificite : 97 %) se revele plus performante que l’arthroscanner (sensibilite ; 63 %, specificite : 98 %). Conclusion La sensibilite de l’echographie pour le diagnostic des ruptures transfixiantes de la coiffe est excellente et presque equivalente a celle de l’arthroscanner. L’echographie est plus performante pour le diagnostic de rupture partielle et de tendinopathie et peut donc etre proposee, en association a la radiographie standard, comme premier examen en cas de suspicion de pathologie de la coiffe.


Journal De Radiologie | 2007

Diagnostic des ruptures de la coiffe des rotateurs : echographie ou arthroscanner ?

N. Berthelen; T. Moser; A. Moussaoui; V. Douzal; M.G. Dupuis; J.C. Dosch

Objectifs Preciser les performances de l’echographie comparativement a l’arthroscanner (technique de reference) pour le diagnostic des ruptures de la coiffe des rotateurs. Materiels et methodes Cette etude prospective a porte sur 237 patients consecutifs adresses pour suspicion de rupture de coiffe. Une echographie et un arthroscanner etaient realises le meme jour par un radiologue entraine. Le siege et la profondeur des ruptures, les calcifications et l’ echostructure tendineuse etaient notes et compares. Une correlation chirurgicale (delai moyen 80 jours) etait disponible pour 70 patients âges de 36 a 77 ans (moyenne 55xa0±xa09,2) et comportant 28 femmes et 42 hommes, permettant de calculer performances de chaque technique pour le diagnostic des ruptures des tendons de la coiffe. Resultats L’echographie a detecte 38 des 44 ruptures transfixiantes (sensibilite: 86 %, specificite : 92 %) et 5 des 7 ruptures partielles (sensibilite : 71 %, specificite : 95 %). L’arthroscanner a detecte 42 des 44 ruptures transfixiantes (sensibilite : 95 %, specificite : 100 %) et 2 des 7 ruptures partielles (sensibilite : 29 %, specificite : 95 %). Dans le groupe des tendinopathies (nxa0=xa08) l’echographie (sensibilite : 88 %, specificite : 97 %) se revele plus performante que l’arthroscanner (sensibilite : 63 %, specificite : 98 %). Conclusion La sensibilite de l’echographie pour le diagnostic des ruptures transfixiantes de la coiffe est excellente et presque equivalente a celle de l’arthroscanner. L’echographie est plus performante pour le diagnostic de rupture partielle et de tendinopathie et peut donc etre proposee, en association a la radiographie standard, comme premier examen en cas de suspicion de pathologie de la coiffe.

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