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Featured researches published by W. Ammari.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2009

Traitement du décollement de rétine rhegmatogène par rétinopexie pneumatique: étude à propos de 50 cas

S. Jenzeri; S. Ben Yahia; Bechir Jelliti; W. Ammari; Sonia Attia; R. Messaoud; Moncef Khairallah

PURPOSE : To evaluate the effectiveness and safety of pneumatic retinopexy as an alternative technique for rhegmatogenous retinal detachment repair. MATERIAL AND METHODS We conducted a review of 50 patients (50 eyes) who had undergone pneumatic retinopexy as the initial procedure for rhegmatogenous retinal detachment between January 2001 and March 2006. The mean follow-up period was 22 months (range, 6-57 months). RESULTS Pneumatic retinopexy resulted in reattachment in 35 eyes (70%) with one procedure. The final reattachment rate, after revision, was 94% (47/50 eyes). In seven eyes (14%), the cause of failure was the presence of missed or new retinal breaks. There was no correlation between the initial reattachment rate and the size of detachment, the status of the macula at presentation, the number of retinal breaks, and the type of retinopexy (cryotherapy or laser photocoagulation). A two-line or more improvement in Snellen acuity was achieved in 24 of 35 eyes (68.6%). A postoperative visual acuity equal to or better than 4/10 was significantly correlated with time from first symptom to presentation less than 1 month (p=0.05), preoperative visual acuity equal to or better than 4/10 (p=0.02), and attached macula at presentation (p=0.03). CONCLUSION Pneumatic retinopexy appears to be an effective procedure for the initial management of primary rhegmatogenous retinal detachments with superior retinal breaks and without proliferative vitreoretinopathy.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2009

471 Signes électro-rétinographiques au cours de la microphtalmie postérieure

R. Messaoud; W. Ammari; K. Hmidi; W. Abdelhadi; M. Slim; M. Laajimi; S. Jenzeri; Moncef Khairallah

Introduction La microphtalmie est caracterisee par une diminution de la longueur axiale de plus de 2 deviations standards par rapport aux valeurs normales de la meme tranche d’âge. Elle touche essentiellement le segment posterieur. Notre but etait d’etudier les anomalies electroretinographiques chez les patients atteints de microphtalmie posterieure. Materiels et Methodes Etude de 17 patients presentant une microphtalmie posterieure. Tous les patients ont beneficie d’un examen ophtalmologique complet, d’une angiographie a la fluoresceine, d’une echographie oculaire en modes A et B et d’un electroretinogramme selon le protocole de l’ISCEV (International Society for Clinical Electrophysiology of Vision). Resultats Notre etude a porte sur 34 yeux de 17 patients atteints de microphtalmie posterieure. L’acuite visuelle initiale variait de 1/50 a 4/10. L’ERG etait altere dans 20 yeux. L’examen biomicroscopique et l’angiographie a la fluoresceine des 20 yeux presentant un ERG altere avaient montre : une retinite ponctuee albescente (2 yeux), une retinite pigmentaire typique (6 yeux). Une forme pauci-pigmentaire (4 yeux). Des alterations pigmentaires peripheriques (4 yeux). Un syndrome d’effusion uveale sans alterations pigmentaires peripheriques (4 yeux). Discussion La microphtalmie est une maladie hereditaire caracterisee par une diminution de la longueur axiale predominant au niveau du segment posterieur du globe oculaire. Son diagnostic est essentiellement clinique et echographique. L’ERG pourrait etre contributif pour evaluer les lesions associees a type de retinite pigmentaire et de depister precocement des complications a type d’effusion uveale. Il peut montrer une diminution tres importante de l’amplitude des ondes a et b, un retard des latences, et une alteration des potentiels oscillatoires. Il peut avoir un interet dans la surveillance de cette affection. Conclusion L’electro-retinographie a plusieurs interets chez les patients atteints de la microphtalmie posterieure. Elle permet de confirmer le diagnostic de retinite pigmentaire dans les formes typiques et de rechercher les formes atypiques, de reconnaitre une pseudo-retinite pigmentaire secondaire a des sequelles d’effusion uveale, d’evaluer le retentissement de cette complication et suivre son evolution.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2009

351 Cataracte congénitale : problèmes thérapeutiques

Bechir Jelliti; T. Fattoum; K. Hmidi; W. Ammari; R. Foungbe; S. Ben Yahia; R. Messaoud; Moncef Khairallah

Introduction La cataracte congenitale est une anomalie de la transparence du cristallin existant a la naissance. Elle constitue un obstacle au developpement visuel pouvant entrainer une amblyopie et un trouble de la vision binoculaire. Elle peut retentir sur les acquisitions psychomotrices. C’est un probleme de sante publique. Le but de notre travail est d’etudier les differents problemes relatifs a cette pathologie et les modalites de sa prise en charge. Materiels et Methodes Etude retrospective portant sur 110 patients âges de 1 mois a 16 ans suivis pour cataracte congenitale. Tous les patients avaient beneficie d’un examen complet et d’une chirurgie de la cataracte. Resultats Nous rapportons 110 cas de cataracte congenitale. La decouverte se faisait generalement avant l’âge de 2 ans. L’atteinte etait bilaterale dans la majorite des cas. Aucune etiologie n’etait retrouvee chez la plupart des patients. Une chirurgie etait pratiquee a type de phacophagie, phaco-aspiration associee a une capsulotomie posterieure et une vitrectomie anterieure ou a une phakoemulsification. L’implantation etait pratiquee en fonction de l’âge et de la bilateralite. Discussion Les cataractes congenitales sont une affection frequente de diagnostic facile mais de prise en charge difficile. Leur traitement est passe par deux epoques, La phacophagie puis l’extraction extra-capsulaire avec realisation d’un rhexis posterieur et une vitrectomie anterieure. Les resultats fonctionnels des cataractes congenitales traitees dependent essentiellement du type de la cataracte, de la bilateralite, du delai de la chirurgie, et de la qualite de la prise en charge. Conclusion La cataracte congenitale peut avoir des repercussions majeures en empechant le developpement de la vision binoculaire et en entrainant une amblyopie. Son traitement est chirurgical, mais ses modalites sont sujettes a controverse.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2008

725 Enophtalmie révélatrice d’une sarcoïdose orbitaire

S. Jenzeri; H. Neifer; M. Laajimi; S. Ben Yahia; W. Ammari; Sonia Attia; R. Messaoud; Moncef Khairallah

But Rapporter un cas d’enophtalmie revelatrice de sarcoidose orbitaire. Materiels et Methodes Cas clinique. Observation Il s’agit d’une patiente âgee de 60 ans presentant une enophtalmie droite. L’examen ophtalmologique retrouve une masse orbitaire inferieure palpable. L’IRM revele une masse orbitaire extraconique avec refoulement du plancher de l’orbite. Une biopsie chirurgicale de la masse a ete realisee. L’examen anatomopathologique montre des foyers d’inflammation granulomateuse sans necrose caseeuse. Le bilan general revele des adenopathies mediastinales, des nodules pleuraux et une splenomegalie. Un traitement corticoide systemique est instaure. L’evolution est marquee par la regression de la masse orbitaire avec disparition progressive de l’enophtalmie. Discussion Les manifestations ophtalmologiques de la sarcoidose sont polymorphes. Les atteintes de la conjonctive et des glandes lacrymales sont les plus frequentes. Les uveites sont retrouvees chez 19 % des patients. Les atteintes orbitaires sont rares, et representees essentiellement par l’exophtalmie et l’infiltration palpebrale. L’enophtalmie constitue une manifestation tres rare de la sarcoidose orbitaire. Conclusion La sarcoidose doit etre recherchee systematiquement devant toute enophtalmie uni- ou bilaterale n’ayant pas fait la preuve de son etiologie.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2008

632 Ischémie choroïdienne aiguë associée à la rétinochoroïdite toxoplasmique

W. Ammari; N. Boubaker; S. Jenzeri; D. Brahem; S. Gargouri; Sonia Attia; R. Messaoud; Moncef Khairallah

But Le but de notre travail est de decrire les signes d’ischemie choroidienne au cours de la retinochoroidite toxoplasmique. Materiels et Methodes Vingt-trois cas de retinochoroidite toxoplasmique aigue ont ete etudies. Tous les patients ont beneficie d’un examen ophtalmologique complet, d’une photographie du fond d’œil, et d’une angiographie retinienne a la fluoresceine et au vert d’indocyanine. Resultats Huit parmi les 23 patients (34.8 %) avaient un large territoire de blanchiment retinien entourant le foyer de retinochoroidite toxoplasmique. L’angiographie a la fluoresceine et celle au vert d’indocyanine montraient une hypofluorescence choroidienne precoce, bien limitee, et qui s’etendait au-dela des bords de la lesion retinienne blanchâtre. D’autres lesions associees ont ete retrouvees : cicatrices retinochoroidiennes (87.5 %), decollement sereux retinien (37.5 %), hemorragies retiniennes (12.5 %), multiples tâches hypofluorescentes satellites au foyer a l’angiographie au vert d’indocyanine. Tous nos patients ont ete traites par une association d’antiparasitaires et de corticoides. La resolution des lesions actives a ete constatee apres un delai de 2 a 6 semaines : cicatrice atrophique du foyer toxoplasmique entouree d’un fin remaniement de l’epithelium pigmentaire. Discussion Huit de nos patients avaient un foyer actif de retinochoroidite toxoplasmique entoure d’un large territoire de blanchiment retinien profond avec une hypofluorescence correspondante a l’angiographie. Ce blanchiment retinien serait de nature ischemique plutot qu’inflammatoire. Le decollement sereux retinien, observe chez 3 de nos patients, est une complication bien connue de l’ischemie choroidienne. Conclusion Une ischemie choroidienne peut assez frequemment compliquer la retinochoroidite toxoplasmique. Elle peut etre suspectee cliniquement, mais l’angiographie a la fluoresceine et celle au vert d’indocyanine sont necessaires pour confirmer le diagnostic.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2008

607 Manifestations ophtalmologiques de la varicelle : à propos de 3 observations

K. H’midi; R. Ghrissi; S. Jenzeri; Sonia Attia; W. Ammari; Sonia Zaouali; S. Ben Yahia; Moncef Khairallah

But Etudier les manifestations oculaires de la varicelle a partir de 3 observations. Materiels et Methodes Cas cliniques. Resultats Nos patients etaient tous de sexe masculin et etaient âges respectivement de 10, 39 et 40 ans. L’atteinte oculaire precedait l’eruption cutanee chez un patient, et faisait suite a l’eruption chez 2 patients. Les lesions ophtalmiques observees etaient une paralysie oculomotrice associee a une nevrite optique (1 cas), une keratite superficielle et profonde (1 cas) et une uveite anterieure hypertensive (1 cas). Apres traitement adapte, l’evolution etait favorable chez nos 3 patients. Discussion La varicelle est une maladie virale benigne due au virus varicelle-zona. L’atteinte ophtalmique est rare et polymorphe. Les principales manifestions decrites sont la conjonctivite, la keratite, l’uveite, la nevrite optique, et les paralysies oculomotrices. Les complications oculaires au cours de cette infection sont graves, surtout chez les sujets immunodeprimes. Conclusion L’atteinte ophtalmique au cours de la varicelle est rare et polymorphe. Des complications graves peuvent emailler l’evolution et menacer le pronostic fonctionnel, d’ou l’interet d’un examen ophtalmologique systematique chez tout patient atteint de varicelle.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2007

439 Occlusion vasculaire rétinienne mixte post-contusive : à propos d’un cas

S. Aouafi; W. Ammari; K. Hmidi; M. Mzargui; S. Jenzeri; Sonia Attia; Moncef Khairallah

But Rapporter un cas d’occlusion vasculaire retinienne mixte post-traumatique chez un enfant de 9 ans. Materiels et Methodes Cas clinique. Observation Il s’agit d’une fille âgee de 9 ans, victime d’un accident de la voie publique ayant occasionne un traumatisme crânio-facial avec une contusion de l’œil gauche. L’examen ophtalmologique de l’œil gauche trouvait une perception lumineuse negative, des ecchymoses periorbitaires, et un emphyseme sous-cutane. L’oculomotricite etait conservee. L’examen du segment anterieur etait normal, hormis un reflexe photomoteur aboli. L’examen du fond d’œil revelait un blanchiment retinien, une macula rouge cerise, des hemorragies retiniennes dans les 4 quadrants et un œdeme papillaire. L’examen de l’œil droit etait normal. Cet aspect etait compatible avec une occlusion vasculaire retinienne mixte arterielle et veineuse. Une TDM orbito-cerebrale revelait des multiples fractures du plancher, du toit, et des parois laterales des orbites. Les nerfs optiques etaient intacts. L’evolution etait marquee par une repermeabilisation spontanee de la circulation retinienne, l’acuite visuelle remontait a 1/10 faible. Discussion L’occlusion vasculaire retinienne mixte est une complication rarement decrite dans les traumatismes oculaires. Elle peut toucher les vaisseaux centraux de la retine ou leurs branches. Le mecanisme physiopathologique reste obscur. L’occlusion pourrait etre secondaire a un spasme vasculaire post contusif. Conclusion L’occlusion vasculaire retinienne est un diagnostic a evoquer devant un traumatisme oculaire contusif.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2007

566 Glaucome par fermeture secondaire de l’angle au cours du syndrome de Weill-Marchesani

W. Ammari; S. Ghaouch; Bechir Jelliti; Rim Kahloun; Sonia Attia; R. Messaoud; Moncef Khairallah

But Etudier les caracteristiques cliniques et les modalites therapeutiques des glaucomes par fermeture de l’angle au cours du syndrome de Weill-Marchesani. Materiels et Methodes Nous rapportons 5 cas de syndrome de Weill-Marchesani compliques de glaucome par fermeture secondaire de l’angle. Tous nos patients ont beneficie d’un examen ophtalmologique complet avec mesure de l’acuite visuelle, mesure de la pression intra-oculaire, gonioscopie et un examen du fond d’œil. La perimetrie automatique et la biometrie etaient realisees chez la majorite de nos patients. Resultats L’examen ophtalmologique montrait une acuite visuelle effondree au decompte des doigts chez trois patients. La chambre anterieure etait etroite chez tous les patients avec une microspherophakie et des chiffres tensionnels eleves. La gonioscopie a objective un angle ferme avec des goniosynechies. L’examen du fond d’œil trouvait une pâleur papillaire avec une excavation evoluee. La biometrie notait des globes hypermetropes. Une trabeculectomie a ete pratiquee chez deux patients, une iridectomie peripherique chez un patient et une phaco-exerese chez deux patients. Discussion Le syndrome de Weill-Marchesani est une affection hereditaire rare. Son diagnostic repose sur l’association de brachymorphisme et microspherophakie. La microspherophakie est caracterisee par un cristallin tres bombe qui vient s’appliquer contre la pupille fermante, de ce fait, secondairement l’angle irido-corneen et entrainant, par consequent, un glaucome par fermeture secondaire de l’angle. Une iridectomie au laser supprime le blocage pupillaire, mais ne suffit pas toujours a retablir le circuit normal de l’humeur aqueuse. L’ablation du cristallin est le plus souvent necessaire. En presence de goniosynechies, une trabeculectomie s’impose pour normaliser le tonus oculaire. Conclusion Le glaucome par fermeture de l’angle represente la principale complication de la microspherophakie au cours du syndrome de Weill-Marchesani. Elle est frequente et redoutable en l’absence de traitement.


International Ophthalmology | 2009

External ophthalmomyiasis manifesting with keratouveitis

S. Jenzeri; W. Ammari; Sonia Attia; Sonia Zaouali; Hamouda Babba; R. Messaoud; Moncef Khairallah


International Ophthalmology | 2007

Bilateral orbital myeloid sarcoma as initial manifestation of acute myeloid leukemia

K. Hmidi; Sonia Zaouali; R. Messaoud; Bahri Mahjoub; W. Ammari; Leila Bacha; Adnene Laatiri; S. Jenzeri; Moncef Khairallah

Collaboration


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R. Messaoud

University of Monastir

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Sonia Attia

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Rim Kahloun

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