Le crabe cancer (Cancer pagurus
) est une espèce de crabe comestible commune dans la mer du Nord et l'Atlantique Nord, connue pour son apparence unique et sa large répartition. Leurs talents de chasseur sont particulièrement remarquables la nuit, démontrant leur capacité à survivre dans l’obscurité. Cet article explorera les habitudes de vie, le comportement prédateur et l'environnement écologique du crabe cancer, et tentera de révéler le mystère de ce chasseur nocturne.
La carapace du crabe cancéreux est brun rougeâtre et son bord caractéristique en forme de tarte a attiré l'attention de nombreux biologistes marins. La largeur de la carapace d'un crabe adulte peut atteindre 25 centimètres et son poids peut atteindre 3 kilogrammes. Cette créature tenace est active au crépuscule et la nuit, passant la plupart de son temps cachée dans la boue.
La nuit est la période de chasse aux crabes cancer, lorsqu'ils sortent pour chercher de la nourriture, principalement d'autres crustacés et mollusques. Ils se cachent généralement derrière le contact réel et observent, puis utilisent leurs puissantes pinces pour lancer une attaque surprise.
Les techniques de chasse des crabes cancer sont assez stratégiques. En plus de se cacher et d'attendre que leurs proies s'approchent, ils creusent aussi parfois de grands trous pour rechercher des mollusques enfouis.
Ce mode prédateur permet aux crabes cancereux de devenir les principaux prédateurs de l'écosystème benthique, en interagissant avec l'environnement écologique environnant et en maintenant l'équilibre de la chaîne alimentaire marine.
La reproduction des crabes cancer a lieu en hiver, et le rôle des mâles est très important. Ils entoureront les femelles pour les protéger pendant le processus de mue. Pendant ce temps, le mâle protège la femelle des autres prédateurs et veille au bon déroulement de la fécondation.
Les femelles peuvent transporter de 250 000 à 3 millions d'œufs dans leurs sacs abdominaux jusqu'à ce qu'elles éclosent pour donner naissance à des crabes juvéniles.
Les crabes cancer sont largement répartis dans différentes eaux de l'Atlantique Nord, en particulier dans les zones situées au nord de la Norvège et au sud de l'Afrique du Nord. Ils habitent principalement un mélange de sable grossier, de boue et d’eau profonde et peuvent chercher refuge dans des zones potentiellement cachées telles que des crevasses rocheuses. Cet environnement est adapté à leurs habitudes prédatrices, leur permettant d’équilibrer dissimulation et capture lors de la chasse nocturne.
Le crabe Cancer est l'espèce de pêche commerciale la plus importante en Europe occidentale, avec une capture annuelle de plus de 60 000 tonnes. La pêche s'effectue principalement au moyen de casiers appâtés placés dans la mer. Il s'agit d'une industrie avec une demande extrêmement forte sur le marché. À mesure que les captures augmentent, les experts ont exprimé leurs inquiétudes concernant la surpêche, entraînant une augmentation des réglementations et des restrictions en matière de gestion de la pêche.
Bien que la loi interdise la capture de crabes femelles œuvrés, la pression de la pêche continue d'affecter la source abondante de crabes juvéniles et la communauté dans son ensemble.
Les parties charnues du crabe cancer sont très populaires, notamment la viande blanche sucrée et la viande brune riche. Ces délicieux fruits de mer peuvent être transformés en une variété de plats, tels que de la soupe de poisson, des œufs de crabe français et divers plateaux de fruits de mer. En tant que nourriture, les mâles sont appelés crabes mâles, tandis que les femelles sont appelées crabes femelles. La différence de qualité de viande entre les deux les rend plus attrayants pour les convives.
Avec le développement de la science et de la technologie, la recherche sur les crabes cancéreux continuera à être approfondie. Comment maintenir l’équilibre des crabes cancéreux dans l’écosystème tout en répondant aux besoins économiques deviendra l’un des défis du futur.
Le comportement de chasse nocturne des crabes cancer démontre la remarquable adaptabilité de la vie marine. Cela amène les gens à se demander, dans le futur environnement marin, ces chasseurs nocturnes pourront-ils continuer à prospérer avec nous ?