Network


Latest external collaboration on country level. Dive into details by clicking on the dots.

Hotspot


Dive into the research topics where A. Bron is active.

Publication


Featured researches published by A. Bron.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2007

Dépistage de larétinopathie diabétique en Bourgogne par un rétinographe non mydriatique itinérant

M. Soulie-Strougar; A. Charles; Pierre Metral; Patrick Quercia; M. Souchier; L. Chirpaz; A. Bron; Catherine Creuzot-Garcher

Introduction Le but de cette etude etait d’evaluer l’interet du depistage de la retinopathie diabetique (RD) en Bourgogne par un retinographe non mydriatique itinerant. Methodes Ce projet a necessite la creation d’un reseau entre ophtalmologues et medecins generalistes. L’union professionnelle des medecins liberaux de Bourgogne (UPMLB), le fond d’aide a la qualite des soins de ville (FAQSV) et la federation des associations des diabetiques de Bourgogne (FADB) ont apporte leur soutien. Cette campagne de depistage s’est deroulee de novembre 2004 a juin 2005 sur toute la region Bourgogne. Medecins generalistes, professionnels de sante (pharmaciens, infirmieres), medias locaux et caisses d’assurance-maladie ont informe les patients du depistage de la RD. Une orthoptiste a realise les cliches au moyen d’un retinographe non mydriatique. Chaque patient a eu 4 photographies du fond d’œil sans dilatation pupillaire. L’analyse des cliches a ete effectuee dans le service d’Ophtalmologie du CHU de Dijon. Resultats Un total de 676 patients diabetiques a ete depiste. Parmi ces patients, 58 presentaient un RD (8,6 %). Il s’agissait uniquement de formes non proliferantes. Il existait 9 % de cliches non interpretables. L’âge moyen des patients avec une RD etait de 65 ans. L’anciennete moyenne du diabete etait de 18 ans. Un traitement insulinique a ete retrouve chez 27 patients (46,6 %). L’hemoglobine glycosylee etait connue chez 26 patients (44,8 %) avec une moyenne egale a 8,14 %. Pres de 60 % des patients presentant une RD n’avaient pas beneficie de la consultation ophtalmologique annuelle recommandee. Par la suite, 84 % des patients atteints ont consulte leur ophtalmologiste. Conclusion Le depistage de la RD par un retinographe non mydriatique itinerant peut ameliorer la qualite du suivi ophtamologique des patients diabetiques en zone rurale. Cette campagne de depistage a ete reconduite en 2006 avec un vehicule amenage.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2006

Analogies entre processus athéromateux et dégénérescence maculaire liée à l’âge : rôles présumés des oxystérols

L. Malvitte; Thomas Montange; Corinne Joffre; Anne Vejux; C. Maïza; A. Bron; Catherine Creuzot-Garcher; G. Lizard

Les mecanismes physiopathologiques de la degenerescence maculaire liee a l’âge (DMLA) sont encore peu connus. Comme d’autres pathologies du vieillissement telles que la maladie d’Alzheimer ou l’atherosclerose, la DMLA est associee a l’apparition de depots macromoleculaires anormaux appeles drusen. Ces derniers sont localises au niveau de la membrane de Bruch. De recentes investigations sur la nature de ces depots, leurs relations avec les reactions inflammatoires et immunitaires ainsi que sur le role important du stress oxydatif ont permis d’elargir les hypotheses sur les mecanismes physiopathologiques conduisant aux lesions de DMLA. De nombreuses analogies avec les mecanismes impliques dans la genese des lesions d’atherosclerose suggerent des similitudes physiopathologiques entre ces deux maladies. Le role pro-atherogene du cholesterol et de ses derives oxydes, les oxysterols, a ete largement demontre dans les processus atheromateux. Il semblerait que ces composes interviennent egalement dans la genese de la DMLA entrainant des activites cytotoxiques, pro-oxydantes et pro-inflammatoires.


Ophthalmic Research | 1998

Changes of the Inducible Heat Shock Protein 70 mRNA Level in Rat Retina After Ischemia and Reperfusion

O. Lewden; C. Creuzot–Garcher; Mahfoud Assem; C. Morales; Luc Rochette; A. Bron

The heat shock protein 70 (HSP-70) mRNA level was evaluated in Long Evans rat retinas after ischemia and after reperfusion following ischemia. Retinal ischemia was induced by ligation of the optic nerve and vessels. Rats were sacrificed after 90 min of ischemia or 120 min of reperfusion following ischemia. Retinas were dissected. Total mRNA was extracted and inducible HSP-70 (iHSP-70) gene expression was analyzed by quantification of transcripts using an RT-PCR assay. Results were expressed in arbitrary units as a ratio of the optical density of iHSP-70/β-actin electrophoretic bands. iHSP-70 gene expression was 0.220 ± 0.027 (n = 5), 0.502 ± 0.045 (n = 5) and 0.468 ± 0.032 (n = 5) for the sham-operated, ischemia only and ischemia and reperfusion groups, respectively. There was a statistically significant difference between the control and ischemia groups, and between the control and ischemia and reperfusion groups (p < 0.001), suggesting a rapid HSP-70 mRNA expression of the retina due to an ischemic injury.


Ophthalmic Research | 1996

CHANGES OF CATALASE ACTIVITY AFTER ISCHEMIA-REPERFUSION IN RAT RETINA

O. Lewden; C. Creuzot–Garcher; C. Morales; A. Javouhey; Luc Rochette; A. Bron

Catalase activity was evaluated in Long Evans rat retina after ischemia and reperfusion. Ischemia was induced by ligation of the optic nerve and vessels. Rats were sacrificed after 15 and 120 min of reperfusion, respectively. Catalase activity was assessed by Claibornes method and was expressed as U/mg of protein. In the first group, retinas of each animal were pooled. In the second group, ischemia was induced in the right eye with the left eye serving as control. In the first group, enzyme activity was 7.39 +/- 0.26 (n = 11), 7.67 +/- 0.27 (n = 9) and 9.15 +/- 0.45 (n = 7) for the sham-operated, 15- and 120-min reperfusion groups, respectively. There was a significant difference between the control and 120-min reperfusion groups (p < 0.001). In the second group, there was a significant (p < 0.01) increase in catalase activity in the ischemic eye compared to the non-ischemic eye after 15 (n = 7) and 120 min (n = 9) of reperfusion. These findings may suggest a rapid activation of catalase activity during the ischemia-reperfusion sequence.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2008

Chirurgie rétino-vitréenne en ambulatoire : une expérience enrichissante, mais coûteuse…

Catherine Creuzot-Garcher; H. Aubé; F. Candé; G. Dupont; A. Guillaubey; L. Malvitte; S. Arnavielle; A. Bron

Vitreoretinal outpatient surgery: clinical and financial considerations C. Creuzot-Garcher, H. Aube, F. Cande, G. Dupont, A. Guillaubey, L. Malvitte, S. Arnavielle, A. Bron Introduction: Vitreoretinal surgery has benefited from great advances opening the opportunity for outpatient management. Methods: We report on the 6-month experience of outpatient surgery for vitreoretinal diseases. Results: From November 2007 to April 2008, 270 patients benefited from a vitreoretinal surgery, with 173 retinal detachments, 63 epiretinal membranes, and 34 other procedures. Only 8.5% (n=23) of the patients had to stay at the hospital one or two nights. The main reasons were the distance from the hospital and surgery on a single-eye patient. The questionnaire given after the surgery showed that almost all the patients were satisfied with the outpatient setting. In contrast, the financial results showed a loss of income of around 400,000 euros due to the low level of payment of outpatient surgery in France by the national health insurance system. Discussion: Vitreoretinal surgery can be achieved in outpatient surgery with an improvement in the information given to the patients and the overall organization of the hospitalization. However, the current income provided with vitreoretinal outpatient surgery is highly disadvantageous in France, preventing this method from being generalized.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2006

Prévalence et description du traitement par hypotonisants pour glaucome et hypertonie oculaire en France

Cécile Delcourt; A. Bron; Christophe Baudouin; Philippe Denis; J.-P. Nordmann; J.P. Renard; J.-F. Rouland; Eric Sellem; M. Stephan; F. Levrat; A. Solesse

Objectif L’objectif de cette etude est d’estimer la prevalence du traitement par hypotonisants pour glaucome ou hypertonie intra-oculaire (HTIO) chez les sujets de 40 ans ou plus residant en France metropolitaine, et de decrire les modalites therapeutiques, l’observance et la qualite de vie des sujets traites. Methodes Il s’agit d’une etude telephonique realisee sur la population generale aupres d’un echantillon representatif de 5 726 personnes au cours de l’annee 2004. Les sujets traites par hypotonisants pour glaucome ou HTIO ont ete definis comme ceux declarant utiliser des gouttes pour les yeux depuis plus d’un mois et citant au moins l’une des 52 specialites hypotonisantes repertoriees et/ou declarant savoir prendre ces gouttes pour un glaucome ou une hypertension oculaire. La qualite de vie etait mesuree par le questionnaire GlauQOL-17. Resultats Au total, 237 sujets (4,1 %) correspondaient a cette definition. La prevalence augmentait avec l’âge, variant de 0,7 % chez les 40-44 ans a 10,6 % chez les plus de 80 ans. Apres standardisation sur l’âge, elle etait plus elevee en Ile-de-France (5,3 %), en Mediterranee (4,5 %) et dans le Sud-Ouest (4,7 %), et plus faible dans les communes rurales (3,2 %) et chez les personnes sans diplomes (2,9 %). Les beta-bloquants (49,5 %) et les prostaglandines (37,4 %) constituaient les traitements les plus frequents, devant les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique (15,3 %), les sympathomimetiques (5,7 %) et les myotiques (1,3 %). L’observance n’etait pas totale pour 39 % des patients (22 % de ceux ne devant instiller qu’une goutte par jour). Discussion Les resultats de cette etude sont concordants avec les chiffres des autorites de sante et les resultats de l’Etude Francaise Glaucome et Hypertonie oculaire 1 Jour. La plus faible prevalence observee dans les regions a faible densite medicale, a faible niveau socio-economique et en milieu rural suggere qu’il puisse exister un sous-diagnostic du glaucome et de l’hypertonie oculaire. Conclusion Sur la base de cette premiere etude a l’echelle nationale, on estime la prevalence en France des personnes recevant un traitement hypotonisant pour glaucome ou HTIO a environ 1,2 million. Le nombre de gouttes a instiller semble avoir un retentissement sur l’observance du traitement.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2004

Comparaison du timolol sans conservateur et du timolol à délivrance prolongée donnés une fois par jour en association à du latanoprost

A. Bron; L. Velasque; H. Rebica; P. Pouliquen; P.-P. Elena; J.-F. Rouland

But Comparer l’efficacite et la securite d’une instillation quotidienne de timolol sans conservateur a une instillation quotidienne de timolol a liberation prolongee chez des patients porteurs d’un glaucome a angle ouvert ou d’une hypertonie oculaire et recevant deja du latanoprost. Patients et methodes Une etude randomisee, prospective, multicentrique, ouverte et parallele a ete realisee chez 73 patients traites par latanoprost et timolol a liberation prolongee. Le betabloquant a ete substitue par du timolol sans conservateur le matin chez 36 patients pendant trois mois. La pression intraoculaire (PIO) a ete evaluee, ainsi que la tolerance locale et systemique et l’observance. Resultats A 3 mois, les 2 traitements etaient equivalents pour la modification de la PIO entre J0 et J84. Les differences avec la PIO initiale etaient de -0,08 ± 2,22 mmHg et -0,38 ± 2,41 mmHg dans le groupe timolol sans conservateur et le groupe timolol a liberation prolongee respectivement, (IC95 % [-0,79 ; 1,38]). A J84, la proportion des troubles visuels a l’instillation (5,9 %) et des depots sur les paupieres (5,9 %) avait diminue dans le groupe timolol sans conservateur alors qu’elle etait stable dans l’autre groupe (respectivement 33,3 % et 24,2 %). Ces differences aussi bien pour les troubles visuels (p Conclusion Dans cette etude a court terme, une instillation quotidienne de betabloquant non conserve a montre son equivalence therapeutique au betabloquant a liberation prolongee chez des patients necessitant une bitherapie. De plus, cette formulation galenique a permis d’ameliorer la tolerance locale.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2005

Etude prospective sur les endophtalmies aiguës postopératoires : Description clinique, prise en charge et facteurs de risque

P.O. Lafontaine; A. Bron; Catherine Creuzot-Garcher

Buts Nous avons etudie de facon prospective durant 32 mois le tableau clinique, la prise en charge et le devenir des patients hospitalises dans notre service pour endophtalmie aigue survenant apres une chirurgie oculaire. Materiels et methodes Tous les patients ont beneficie du meme protocole, prevoyant au minimum une injection intra-vitreenne d’antibiotique et l’instillation de collyres fortifies. La symptomatologie a l’entree, la therapeutique mise en place et les resultats biologiques ont ete analyses. Pour les patients operes de cataracte, la position de l’incision, la presence ou l’absence de suture et le type d’implant mis en place ont ete compares aux habitudes des ophtalmologistes francais afin d’identifier des facteurs de risque d’endophtalmie. Enfin, le devenir fonctionnel de ces yeux a ete etudie. Resultats Quarante et un patients ont ete inclus dans l’etude dont 33 apres chirurgie de la cataracte. La baisse d’acuite visuelle et l’inflammation intra-oculaire etaient retrouvees plus frequemment (94 et 90 %) que la douleur ou l’hyperhemie conjonctivale (47 et 48 %). La mediane d’apparition des symptomes etait de 5 jours. Une seconde injection d’antibiotique intra-vitreenne a ete necessaire dans 56 % des cas. Les corticoides locaux ont ete utilises chez tous les patients, en moyenne 2,6 jours apres l’entree. L’acuite visuelle des patients a augmente significativement pendant et apres l’hospitalisation ; la mediane d’acuite visuelle finale etait de 4,6/10e avec 30 % de patients en cecite legale, mais 44 % de patients avaient plus de 5/10e. Lors des endophtalmies apres chirurgie de la cataracte, l’incision, suturee dans 62 % des cas, etait temporale dans plus de la moitie des cas (55 %). Sur les 26 prelevements vitreens realises, un germe a ete identifie dans la moitie des cas. Les germes Gram+ representaient 84 % de ces cultures positives. Discussion Dans cette serie prospective, les donnees sont conformes a celles deja publiees sur les endophtalmies aigues postoperatoires. Une prise en charge rapide avec injection intra-vitreenne d’antibiotique permet un pronostic compatible avec une vision utile dans la plupart des cas.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2010

Utilité d'un questionnaire standardisé dans la prise en charge et l'étude épidémiologique des kératites infectieuses sous lentilles de contact

A. Sauer; F. Abry; J.-P. Berrod; A. Bron; C. Burillon; C Chiquet; J. Colin; Catherine Creuzot-Garcher; B. Delbosc; L. Hoffart; L. Kodjikian; M. Labetoulle; F. Malet; H. Merle; P.-Y. Robert; B. Vabres; J. Beynat; M. Brisard; A. Combey de Lambert; A. Donnio; G. Gendron; R. Pagot; M. Saleh; D. Gaucher; C. Speeg-Schatz; T. Bourcier

INTRODUCTION microbial keratitis is a significant health concern for the one million wearers of contact lenses and their ophthalmologists, with some potentially modifiable risk factors. The number of risk factors for contact lens-related microbial keratitis has been described, but many of them still remain assumed or unknown. PATIENTS AND METHODS a multicenter prospective case-control study was conducted in 12 French university hospitals (Besançon, Bordeaux, Dijon, Fort-de-France, Grenoble, Limoges, Lyon, Nancy, Nantes, Paris, Marseille and Strasbourg) beginning in July 2007 on contact lens wearers presenting with microbial keratitis and on healthy contact lens wearers. Patients and healthy wearers were interviewed using a 51-item anonymous standardized questionnaire to determine subject demographics and contact lens wear history. RESULTS two hundred and fifty-six patients with microbial keratitis were included. One hundred and thirteen healthy contact lenses wearers were surveyed. Cosmetic contact lens wear highly increased the relative risk (RR) of microbial keratitis (RR, 16.5). Time since the last visit to an ophthalmologist longer than 1 year (RR, 3.4) or prescription by someone other than an ophthalmologist (RR, 7.6) also increased the risk of microbial keratitis. Education on lens care and handling was deficient (hand washing: RR, 2.2; rub and rinse: RR, 2.7). DISCUSSION a standardized questionnaire is a powerful tool to determine risk factors for contact lens-related microbial keratitis, but also to analyze individual mistakes in contact lenses use and care.


Journal Francais D Ophtalmologie | 2008

Dépistage itinérant du glaucome associé à celui de la rétinopathie diabétique en bourgogne

J. Beynat; A. Charles; M. Soulié; Pierre Metral; Catherine Creuzot-Garcher; A. Bron

INTRODUCTION: The aim of this study was to evaluate the yield of glaucoma and ocular hypertension (OHT) screening in association with diabetic retinopathy (DR) screening in a rural population. PATIENTS AND METHODS: 676 patients were screened between 2004 and 2005. The four departments the Burgundy region were visited, divided into 39 areas with sparse medical services. Each patient had fundus photographs taken with a nonmydriatic camera and IOP measurement in each eye with a noncontact tonometer. Optic discs were classified into suspect or normal. RESULTS: On the 676 screened patients, 41 presented an anomaly (6.1%): 31 with OHT (4.6%), 7 with a suspect optic disc (1.0%), and 3 with both anomalies (0.4%). After further control, we finally found 4 cases of OHT (0.6%) and 8 cases of glaucoma (1.2%). This screening program allowed the diagnosis of 2 new cases of OHT (0.3%) and 4 new cases of glaucoma (0.6%). DISCUSSION: This screening improved the quality of the ophthalmic follow-up in rural areas for diabetics. Furthermore, it is a simple and not more expensive way to screen for OHT and glaucoma in these populations. CONCLUSION: The itinerant screening of OHT and glaucoma combined with a diabetic retinopathy screening is effective. The screening campaign was renewed for 2 years in semi-rural zones.

Collaboration


Dive into the A. Bron's collaboration.

Top Co-Authors

Avatar

Catherine Creuzot-Garcher

Institut national de la recherche agronomique

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

Lionel Bretillon

Centre national de la recherche scientifique

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

Niyazi Acar

Institut national de la recherche agronomique

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

J.-P. Nordmann

Paris Descartes University

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

Gilles Thuret

Institut Universitaire de France

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

Jp Romanet

University of Grenoble

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar
Top Co-Authors

Avatar

C Creuzot

University of Burgundy

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

C. Creuzot-Garcher

Centre national de la recherche scientifique

View shared research outputs
Top Co-Authors

Avatar

Corinne Joffre

Institut national de la recherche agronomique

View shared research outputs
Researchain Logo
Decentralizing Knowledge