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Publication
Featured researches published by A. Mathis.
Current Eye Research | 1991
François Malecaze; A. Mathis; Jean-Louis Arné; Daniel Raulais; Yves Courtois; David Hicks
The pathogenesis of proliferative vitreoretinopathy (PVR) membranes remains poorly understood. We have studied the presence of acidic fibroblast growth factor (aFGF), a potent mitogen for many cells, within these membranes. We have used affinity purified monospecific anti-aFGF polyclonal antibodies, in conjunction with highly sensitive immunofluorescence techniques. The labelling was exclusively localized to cell bodies and was absent from the extracellular matrix. Double labelling techniques revealed that all cytokeratin positive cells (probably pigmented epithelial cells) and macrophages contained aFGF-like immunoreactivity, whilst glial cells were unlabelled. Appropriate controls indicated the specificity of the antibodies. Hence, the presence of this mitogenic molecule within certain cell types constituting PVR membranes may contribute to the pathogenesis.
Journal Francais D Ophtalmologie | 2006
Jean-François Korobelnik; I. Cochereau; Salomon Y. Cohen; Gabriel Coscas; Catherine Creuzot-Garcher; F. Devin; A. Gaudric; A. Mathis; Martine Mauget-Faÿsse; José-Alain Sahel; G. Soubrane; E. Souied; M. Weber
Drugs to treat retinal diseases are often injected intravitreally. This procedure can cause severe complications. We present ways to minimize the risk for complications. Rigorous preoperative antisepsis with povidone iodine, a sterile environment (using gloves and a mask for the injector, a lid speculum, and a drape on the eye to be injected), and immediate follow-up after injection are key issues of the injection technique.
Ophthalmologica | 1985
François Malecaze; C. Caratero; A. Caratero; J.L. Arne; A. Mathis; Pierre Bec; H. Planel
The ultrastructural study of the vitreoretinal juncture was carried out by comparing two groups of patients: 6 young subjects under 25 years and 6 older subjects over 70. Retinal samples were taken from the posterior pole, the equator and the extreme periphery. Our work shows that the morphological modifications of the vitreoretinal juncture during the aging process vary following location. The most original alteration, never observed before, appears in the equatorial region: it consists of a widening of the intercell space filled with fibrils adhering to Müllers cells. It builds up an adhesion zone between the vitreous and the retina which is not visible during clinical investigations; it can create a tear during the posterior vitreous detachment.
Ophthalmologica | 1985
Pierre Bec; François Malecaze; J.L. Arne; A. Mathis
The ultrastructural study of a case of snail track degeneration shows the presence of lipid inclusions in both the glial and the macrophage cells in every layer of the retina, and the existence of int
Graefes Archive for Clinical and Experimental Ophthalmology | 1987
François Malecaze; M. D. Linas; A. Mathis; J. L. Arne; P. Recco; M. H. Bessieres; P. Bec
We studied 11 healthy rabbits and 15 rabbits with experimentally inducedCandida endophthalmitis. Using a microbiological procedure, ketoconazole levels were determined 1, 2, 4, 8 and 24 h after its oral administration. Ketoconazole penetration was average in the aqueous humour, significant in tears and poor in the vitreous. Vitreous penetration was not detectable in healthy rabbits or in rabbits with chorioretinits exhibiting little or no vitreous reaction. Such penetration was only significant in rabbits exhibiting massive vitreous exudation; however, in such rabbits, penetration was not always observed (only in 2 out of 6 animals). Given these results, the treatment ofCandida endophthalmitis in humans using ketoconazole would appear to be of questionable value.
Journal Francais D Ophtalmologie | 2008
O. Tazi; A. Mathis; J.L. Arne; J.C. Quintyn
But Rapporter notre experience sur le traitement par phototherapie dynamique de neovaisseaux corneen avant ou apres une keratoplastie. Materiels et Methodes Nous avons traite quatre patients ayant des neovaisseaux corneens. L’âge moyen des patients etait de 48,7 ans. Deux patients avaient deja ete greffes. L’un a la suite d’un abces herpetique et, l’autre a la suite d’une plaie traumatique de la cornee. Les deux autres patients etaient en attente de greffe pour taie corneenne secondaire a une keratite zosterienne ou amibienne. Nous avons effectue un traitement par phototherapie dynamique a la Visudyne ® avec les parameters habituels de temps et de fluence. Resultats Pour deux patients deux spots de 7 cm ont ete necessaires, dans les autres cas nous avons effectue trois spots de 7 cm. Un patient a ete traite deux fois avec un intervalle de 5 mois. Nous n’avons eu a deplorer aucun effet secondaire. Dans tous les cas les neovaisseaux ont regresse de facon tres importante et ont permis une greffe corneenne dans de bonnes conditions. Sur les trois greffes corneennes qui ont ete effectuees, nous avons eu a deplorer un rejet du greffon a deux mois, qui a ete controle medicalement. Les deux autres greffons sont restes clairs, sans trace de neovascularisation. Discussion La neovascularisation limbique est un facteur majeur bien connu de rejet d’une greffe corneenne. L’effet principal de la phototherapie dynamique est l’obstruction de neovaisseaux survenant lors d’une lesion endotheliale induite avec adhesion plaquettaire, degranulation et formation d’un thrombus. Son usage est principalement dans la degenerescence maculaire liee a l’âge. Le traitement des neovaisseaux corneens par phototherapie dynamique s’est avere efficace et sans effet secondaire. D’autres indications sur le segment anterieur ont ete proposees : traitement d’un pterygion, d’une tumeur conjonctivale limbique. Ce traitement dans ces indications reste hors AMM et il faut donc pour ces indications que le patient paye son ampoule de Visudyne ® . Conclusion Afin de diminuer le risque de rejet d’un greffon en cas de neovascularisation importante, nous proposons un traitement par phototherapie dynamique a la Visudyne ® . Ce traitement apparait efficace et sur.
Journal Francais D Ophtalmologie | 2007
S. Auriol; V. Mathis; C. Lemoine; A. Mathis
Introduction L’huile de silicone lourde perfluorohexyloctane est un produit de tamponnement interne prolonge, mais temporaire, de densite 1,06 g/cm 3 et de viscosite 1 400 cts, utilise dans le traitement des decollements de la retine complexes dus a des lesions inferieures et/ou posterieures. Nous evaluons les resultats de son utilisation dans le tamponnement interne des retinectomies inferieures etendues. Materiels et Methodes Chez vingt-neuf patients porteurs d’un decollement de retine complexe dont l’intervention a comporte une retinectomie inferieure etendue, un tamponnement interne a ete assure par du perfluorohexyloctane avec un suivi moyen de 5,4 mois. Il s’agissait d’une recidive de decollement de la retine dans 75,9 % des cas avec proliferation vitreo-retinienne posterieure superieure ou egale a C2 dans 86,2 % des cas et une proliferation vitreo-retinienne anterieure dans 56,8 % des cas. L’ablation du perfluorohexyloctane a ete pratiquee chez 62,2 % des patients apres un delai moyen de 13,9 semaines. Resultats Une re-application retinienne totale a ete obtenue chez 79,3 % des patients. Une reouverture de la retinectomie a ete observee chez 2 patients par recidive de la proliferation vitreo-retinienne. Une inflammation en chambre anterieure a ete constatee dans 41,4 % des cas, une emulsification du produit chez 10,3 % des patients et une hypertonie oculaire dans 17,2 % des cas. Discussion L’huile de silicone lourde perfluorohexyloctane assure un tamponnement interne efficace des retinectomies inferieures larges en optimisant la qualite de la retinopexie par l’absence de milieu liquidien inferieur residuel. Ceci permet de reduire le risque de recidive de la proliferation vitreo-retinienne et la reouverture de la retinectomie inferieure. Conclusion Le perfluorohexyloctane apparait efficace dans le tamponnement interne electif des retinectomies inferieures etendues avec des complications comparables a celles occasionnees par les autres huiles de silicone. Le perfluorohexyloctane pourrait ainsi etre le traitement de choix des decollements de la retine complexes necessitant une retinectomie inferieure etendue.
Journal Francais D Ophtalmologie | 2007
Jean Claude Quintyn; P.Y. Foestier; A. Mathis; J. Lagarrigue
Introduction Evaluer l’efficacite de l’enseignement theorique donne aux internes d’ophtalmologie de Toulouse sur la cornee et la conjonctive. Objectifs et Methodes Cette etude est prospective et porte sur l’ensemble des internes d’ophtalmologie de Toulouse. Les cours ont ete donnes par les internes et les chefs de clinique a tour de role, lors d’une presentation Power Point de 45 minutes environ. Juste avant le cours les internes etaient evalues par 5 questions a choix multiples en 5 minutes. En moyenne, il y avait 3 cours par mois. Un mois apres la fin du cycle de 15 cours, une evaluation sur l’ensemble des cours a ete effectuee par Power Vote, sur des objectifs donnes prealablement aux internes. Resultats Sur les 15 internes, seuls 8 ont effectue l’evaluation finale. Le niveau theorique des internes a ete augmente de facon significative passant de 6/10 a 7/10. La performance des internes tant pour la premiere evaluation que pour la deuxieme est correlee a l’anciennete. L’amelioration des resultats est significativement plus importante pour les plus jeunes. Les internes ont mieux reussi en moyenne sur leur propre cours. Discussion A l’ere de l’EPP, evaluer notre enseignement devient indispensable et permet de l’ameliorer. Plus l’interne a ete implique dans l’enseignement, mieux il a retenu son cours. L’evaluation par Power Vote a permis de diminuer le stress de l’examen et a permis de donner la correction immediatement. Conclusion Donner un cours theorique permet aux internes d’acquerir un meilleur niveau, qui est augmente si on les implique dans l’enseignement.
Archives of Ophthalmology | 1994
François Malecaze; Simone Clamens; Valérie Simorre-Pinatel; A. Mathis; Catherine Favard; Francis Bayard; Jean Plouët
Graefes Archive for Clinical and Experimental Ophthalmology | 2008
S. Auriol; Véronique Pagot-Mathis; Laurence Mahieu; Claudia Lemoine; A. Mathis