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Featured researches published by Bruno Landi.


Ejso | 2014

Conservative surgery vs. duodeneopancreatectomy in primary duodenal gastrointestinal stromal tumors (GIST): a retrospective review of 114 patients from the French sarcoma group (FSG).

Florence Duffaud; Pierre Meeus; Jean-Baptiste Bachet; Philippe Cassier; T. K. Huynh; E. Boucher; Olivier Bouché; V. Moutardier; A. Le Cesne; Bruno Landi; Frédéric Marchal; J. Bay; François Bertucci; J.P. Spano; E. Stoeckle; Olivier Collard; L. Chaigneau; N. Isambert; V. Lebrun-Ly; J. Mancini; Jean-Yves Blay; Sylvie Bonvalot

BACKGROUND Duodenal GISTs represent 3-5% of all GISTs with limited understanding of patient outcomes. We conducted a retrospective analysis of primary localized duodenal GISTs. METHODS Patients were identified via a survey from 16 FSG centers (n = 105), and a group of 9 patients enrolled in the BFR14 trial. Data were collected from the original database and patient files, in agreement with French legislation. RESULTS 114 patients were included, with a median age of 57. Tumors originated mainly in D2 (33%), or D3 (24%), with a median size of 5 cm. 109 patients had resection of the primary tumor; with a Local Resection (LR, n = 82), a pancreaticoduodenectomy (PD, n = 23), and data were missing for 4 patients. Resections were R0 (n = 87, 79%), R1 (n = 8, 7%), R2 (n = 6). Tumor characteristics were: KIT+ (n = 104), CD34+ (n = 58). Miettinen risk was low (n = 43), and high (n = 52). Imatinib was administered preoperatively (n = 11) and post-operatively (n = 20). With a median follow-up of 36 months (2-250), 98 patients are alive, and 33 relapsed. The 5-year OS and EFS rates are 86.5% and 54.5%. EFS was similar for patients in the LR and the PD groups (P > 0.05). In multivariate analysis, ECOG PS, and CD34 expression are independent prognostic factors on OS. Miettinen risk and spindle cell type are independent predictive factors for relapse. CONCLUSIONS Patients with resected duodenal GIST have a reasonably favorable prognosis. This study favors a preservation of pancreas when there are no anatomical constraints. LR exhibit similar survival and smaller morbidity then PD.


Hépato-Gastro & Oncologie Digestive | 2016

La progression sous traitement dans les GIST métastatiques : l’anticiper, l’évaluer, la prendre en charge

Sarah Naomie Dumont; Christine Chevreau; Florence Duffaud; Jean-François Emile; Nicolas Isambert; Jean-Emmanuel Kurtz; Bruno Landi; Binh Bui Nguyen; Sophie Taieb; Axel Le Cesne

Le traitement des GIST (tumeurs stromales gastro-intestinales) metastatiques repose sur les inhibiteurs de tyrosine kinase (ITK). Le pronostic de cette maladie reste sombre et, ne disposant que de trois lignes de traitement actuellement disponibles dans le cadre de l’AMM, chacune d’entre elles doit etre optimisee avant d’envisager un changement de traitement.Quatre types de progression sont a distinguer en fonction de la presence ou non de symptomes cliniques et de l’aspect radiologique. Le clinicien doit objectiver toute progression en s’appuyant sur des criteres robustes prenant en compte a la fois la taille et la densite des lesions. Bien qu’encore trop peu utilisee, l’echographie de contraste est actuellement la technique la plus sensible pour evaluer la progression des GIST.L’analyse des cinetiques de progression est essentielle car elle conditionne l’attitude therapeutique. Face a une progression, le clinicien doit egalement ecarter tout probleme d’observance ou d’interaction medicamenteuse. Les dosages medicamenteux s’averent tres utiles dans ce contexte. Enfin, les questions de la modification du schema de traitement et du traitement local doivent etre posees en cas de progression.


Cancéro digest | 2011

Métastase pancréatique métachrone d'un adénocarcinome rectal : à propos d'un cas

Meriem Serghini; Céline Lepère; Jean-Nicolas Vaillant; Bruno Landi; Olivier Dubreuil; Tarek Boussaha; Julien Taieb; Philippe Rougier

Les métastases pancréatiques d’origine colorectale sont très rares. Nous rapportons dans cette observation le cas d’une patiente âgée de 73 ans, ayant un adénocarcinome rectal avec des métastases hépatiques et pulmonaires traité chirurgicalement, et qui présente, 46 mois après la fin de la chimiothérapie palliative, une métastase pancréatique métachrone de l’adénocarcinome rectal. Il s’agissait d’une lésion pancréatique localement avancée, et la patiente a eu une chimiothérapie par FOLFIRI et Bevacizumab ayant permis d’obtenir une stabilisation tumorale avec une survie de 18 mois par rapport au diagnostic de la métastase pancréatique.


Hépato-Gastro & Oncologie Digestive | 2009

Gestion des complications de l’endoscopie interventionnelle œsophagienne

Gabriel Rahmi; Elia Samaha; Bruno Landi; Christophe Cellier

RésuméLes progrès de l’endoscopie interventionnelle oesophagienne permettent de proposer de plus en plus fréquemment des techniques de traitement endoscopique pour des pathologies oesophagiennes, aussi bien dans le domaine des lésions superficielles néoplasiques ou prénéoplasiques que des troubles moteurs ou des sténoses malignes ou bénignes. L’hémorragie immédiate ou retardée et la perforation restent les complications les plus fréquemment observées au cours de ces procédures. Certaines techniques ont des complications plus spécifiques qui doivent être parfaitement connues avant la procédure. Les patients doivent être informés de façon claire de ces risques. Ces risques doivent être anticipés, et surtout l’endoscopiste doit connaître leurs moyens de prise en charge. Plusieurs de ces complications peuvent être actuellement maîtrisées par des moyens médicaux et endoscopiques. Il faut néanmoins aussi connaître les situations nécessitant un recours à la chirurgie.AbstractAdvances in interventional endoscopy involve more and more frequently the treatment of oesophageal diseases, in early oesophageal cancer, achalasia, or malignant or benign strictures. Bleeding and perforation are the most common complications observed during these proceprocedures. Some specific endoscopic techniques dedicated for complications management should be mastered before the procedure. Patients should be informed about potential complications. These risks must be anticipated. Many of these complications can be currently controlled by medical and endoscopic means. The use of surgical treatment should be recognized when necessary.


Hépato-Gastro & Oncologie Digestive | 2009

Management of the complications of interventional oesophagoscopy

Gabriel Rahmi; Elia Samaha; Bruno Landi; Christophe Cellier

L’endoscopie interventionnelle de l’œsophage est un vaste domaine regroupant le traitement de lesions preneoplasiques ou neoplasiques et de lesions benignes. Dans le premier cas, les techniques de resection endoscopique comme la mucosectomie et, plus recemment, la dissection sous-muqueuse (ESD) sont en plein essor et sont une alternative a un traitement chirurgical pouvant avoir une morbimortalite elevee, notamment chez des patients fragiles (patients âges, alcoolo-tabagiques et carcinome epidermoide de l’œsophage, etc.). Les complications sont essentiellement les hemorragies et les perforations dont la prise en charge reste endoscopique dans la majorite des cas, associee a un traitement medical. Cependant, le recours a un traitement chirurgical doit pouvoir etre possible si necessaire. La phototherapie dynamique (PDT) est un traitement des tumeurs superficielles de l’œsophage, et les complications sont identiques a la mucosectomie. Des mesures de prevention des reactions de photosensibilite doivent y etre associees. Les stenoses neoplasiques de l’œsophage peuvent etre traitees de maniere palliative par la pose d’une prothese et les stenoses benignes par dilatation instrumentale ou par la pose d’une prothese extirpable. Les principales complications sont les perforations et les migrations de prothese.


Hépato-Gastro & Oncologie Digestive | 2008

Gestion des complications de l’endoscopie interventionnelle colique

Gabriel Rahmi; Bruno Landi; Elia Samaha; Christophe Cellier

L’endoscopie interventionnelle digestive a connu un essor considerable au cours de ces dernieres annees et continue a se developper rapidement. La gestion des complications liees a l’endoscopie interventionnelle doit etre optimale, et certaines precautions doivent etre prises pour limiter le nombre de complications. Dans le colon et le rectum, la mucosectomie endoscopique (endoscopic mucosal resection : EMR) permet de resequer des lesions preneoplasiques ou neoplasiques superficielles de grande taille. La dissection sous-muqueuse (endoscopic submucosal dissection : ESD) est une technique plus recente, elle est en cours d’evaluation en France pour les tumeurs du rectum. Les principales complications sont essentiellement les hemorragies et les perforations. Lorsqu’elles surviennent, leur prise en charge peut etre endoscopique, au cours du geste, ou chirurgicale. L’endoscopie interventionnelle permet aussi le traitement des stenoses neoplasiques colorectales chez des patients en occlusion digestive. L’obstacle est leve par la mise en place de protheses metalliques expansibles. Les principales complications sont l’hemorragie, la perforation, la migration et la re-obstruction de la prothese. Les stenoses colorectales benignes peuvent etre traitees par une ou plusieurs seances de dilatation au ballonnet hydrostatique qui peuvent aussi entrainer des hemorragies et/ou des perforations. Enfin, la coagulation des lesions hemorragiques du colon et du rectum au plasma argon est une technique hemostatique avec de nombreuses indications dont la principale complication est la perforation.


Medical Oncology | 2012

Frequencies of KIT and PDGFRA mutations in the MolecGIST prospective population-based study differ from those of advanced GISTs

Jean-François Emile; S. Brahimi; J.-M. Coindre; Pierre-Paul Bringuier; Geneviève Monges; P. Samb; L. Doucet; Isabelle Hostein; Bruno Landi; M. P. Buisine; Agnès Neuville; Olivier Bouché; P. Cervera; J. L. Pretet; Johan Tisserand; A. Le Cesne; Jean-Christophe Sabourin; Jean-Yves Scoazec; S. Bonvalot; Christopher L. Corless; Michael C. Heinrich; J. Y. Blay; P. Aegerter


Gastrointestinal Endoscopy | 1999

Hemobilia caused by a pseudoaneurysm of the hepatic artery diagnosed by EUS

Philippe Cattan; Emmanuel Cuillerier; Christophe Cellier; C.A. Cuénod; Alain Roche; Bruno Landi; Jean-Philippe Barbier


Cancer Research | 2007

KRAS mutations in colorectal cancer is a predictive factor of response and progression free survival in patients treated with Cetuximab.

Astrid Lièvre; Jean-Baptiste Bachet; Marc Ychou; Olivier Bouché; Denis Pezet; Valérie Boige; Bruno Landi; Christophe Louvet; Jean-François Emile; Frederic Bibeau; Marie-Danielle Diebold; Gorana Tomasic; Jean-François Côté; Jean-Francois Flejou; Philippe Rougier; Frederic Penault-Llorca; Pierre Laurent-Puig


Archive | 2011

Métastase pancréatique métachrone d'un adénocarcinome rectal : à propos d'un cas Pancreatic metastasis from a colorectal cancer: a case-report

Meriem Serghini; Céline Lepère; Jean-Nicolas Vaillant; Bruno Landi; Olivier Dubreuil; Tarek Boussaha; Julien Taieb; Philippe Rougier

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Gabriel Rahmi

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Elia Samaha

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J. M. Canard

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