C. Druet
Institut de veille sanitaire
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Publication
Featured researches published by C. Druet.
Diabetic Medicine | 2014
I. Romon; Grégoire Rey; L. Mandereau-Bruno; Alain Weill; Eric Jougla; Eveline Eschwège; D. Simon; C. Druet
To compare the 5‐year mortality (overall and cause‐specific) of a cohort of adults pharmacologically treated for diabetes with that of the rest of the French adult population.
Diabetic Medicine | 2015
S. Fosse-Edorh; B. Detournay; H. Bihan; E. Eschwege; A. Gautier; C. Druet
To describe the association between socio‐economic position, health status and quality of diabetes care in people with Type 2 diabetes in France, where people may receive full healthcare coverage for chronic disease.
Diabetes & Metabolism | 2014
S. Fosse-Edorh; B. Detournay; H. Bihan; A. Gautier; M. Dalichampt; C. Druet
AIM This report is an overview of type 2 diabetes (DT2) in the North African immigrant population living in France. METHODS Data were collected in two separate cross-sectional national surveys. DT2 prevalence was estimated using a population-based survey involving 13 959 people aged ≥ 45 years (EDS), while health status and quality of care were evaluated using a sample of 3894 DT2 patients (ENTRED). RESULTS Prevalence of DT2 and obesity was 14.0% [CI 95%: 9.9; 18.0] and 20.5% [15.7; 25.3], respectively, in participants born in North Africa (BNA) and 7.5% [7.0; 8.0] and 15.8% [14.7; 16.8], respectively, in those born in France (BIF). DT2 was associated with region of birth in women after adjusting for age, body mass index and income or occupation, but not after adjusting for education level. In men, DT2 was not associated with region of birth. BNA and BIF patients with diabetes frequently benefited from free medical coverage (88% vs. 84%, respectively), although BNA diabetic patients visited a general practitioner less frequently than BIF (8.5 vs. 9.0 visits/year, respectively). The percentage of BNA vs. BIF diabetes patients tested three times a year for HbA1c was lower (39% vs. 44%), while HbA1c was higher in BNA vs. BIF diabetics (> 8%: 30% vs. 15%). Ophthalmological complications were also more frequent in BNA vs. BIF patients with diabetes (25% vs. 18%, respectively). CONCLUSION The greater prevalence of DT2 in BNA women and the poorer glycaemic control observed in the BNA population overall both probably contribute to disparity in diabetes mortality compared with BIF diabetics, a fact that has been observed in previous studies.
Presse Medicale | 2013
C. Druet; Isabelle Bourdel-Marchasson; Alain Weill; Eveline Eschwège; A. Penfornis; S. Fosse; Cécile Fournier; Michèle Chantry; Claude Attali; Pierre Lecomte; Dominique Simon; Nathalie Poutignat; Arnaud Gautier; Mathilde Risse
Between 2001 and 2007, treatments for type 2 diabetes have increased and therapeutic choices have improved. However glycemic control remains insufficient. Cardiovascular risk control has widely increased. Statins, hypertensive and antithrombotic treatments are more often prescribed. Blood pressure and LDL cholesterol levels have decreased whatever age. However, progress remains possible, especially regarding blood pressure control. Obesity has increased between 2001 and 2007 to reach 41% whereas the frequency of dietetic visits has decreased. Insulin therapy (more than obesity) determines the frequency of dietetic visits: dietetic care happens too late. Important improvements of the quality of follow-up are observed. However, fundus exams and more specifically albuminuria measurement remain insufficiently performed and their progression is too slow, as well as the podiatric examination. Only 10% of people with type 2 diabetes have an endocrinology visit, which has been stable between 2001 and 2007. Information expectations of people with type 2 diabetes are strong, especially for diet. Education demand is lower but more important for people who have already benefited. This improvement of medical care leads to an increase in the cost of reimbursements. The consequences of diabetes, more than the disease itself, alter the quality of life.
Diabetes & Metabolism | 2012
I. Milovanovic; M. Chantry; I. Romon; C. Druet; Claire Levy-Marchal
Objectif Decrire l’etat de sante, la scolarite et les comportements a risque des adolescents diabetiques en France et evaluer la representativite de la population suivie en milieu hospitalier. Patients et methodes Pour Entred 2007–2010, 554 adolescents diabetiques (11-18 ans) ont ete tires au sort par l’Assurance Maladie. Un questionnaire telephonique medical, scolaire, familial, societal et de qualite de vie a ete recueilli (taux de participation: 52%). Ces 283 adolescents diabetiques ont ete compares a 115 temoins scolaires. Resultats La grande majorite des adolescents (96%) etaient diabetiques de type 1. Les adolescents de moins ou de plus de 16,5 ans (n = 139 vs n = 144), ne differaient statistiquement pas en termes de traitement, HbA1c (8%), de frequences annuelles d’acidocetose (mediane = 1) et d’hypoglycemie severe (mediane = 1). Le type de traitement n’influencait pas le controle glycemique dans les deux groupes. Un suivi hospitalier pediatrique ou adulte concernait 90% des adolescents. Compares aux 115 temoins, le taux de redoublement scolaire etait plus eleve (43% vs. 30%) et la moyenne scolaire plus basse chez les adolescents diabetiques (12/20: 53% vs 66%). Les consommateurs reguliers de tabac, d’alcool et de cannabis etaient moins nombreux, les activites sportives et de loisirs differaient peu. Les scores de qualite de vie PedsQL portant sur la sante et les emotions ne differaient pas de ceux des temoins, tandis que le score d’etude etait moins eleve (67 ± 19 vs. 72 ± 16) et le score relationnel plus eleve (87 ± 13 vs. 83 ± 14). Conclusion Le controle glycemique et la frequence des complications metaboliques aigues ne varient pas avec l’âge chez les adolescents diabetiques. En comparaison a des pairs scolaires, le diabete n’affecte pas leur vie societale en dehors de la scolarite. Le suivi majoritairement hospitalier des adolescents diabetiques montre l’utilite des echantillons suivis en milieu hospitalier comme source de donnees epidemiologiques.
Diabetes & Metabolism | 2011
Y. Dossou; A. Penfornis; Candice Roudier; C. Druet
Objectif Decrire le risque vasculaire, les complications et la qualite des soins des adultes diabetiques de type 1 en France metropolitaine et leurs evolutions entre 2001 et 2007. Materiels et methodes Pour Entred 2007, un tirage au sort a selectionne 8 926 adultes diabetiques rembourses d’au moins 3 antidiabetiques au cours des 12 derniers mois. Pour 48%, un questionnaire patient (QP) et pour 28% un questionnaire medecin (QM) ont ete recueillis ; 5,6% avaient un diabete de type 1 (DT1) (n = 275 avec QP et n = 183 avec QM). Les analyses ont ete ponderees sur le plan de sondage et la non-reponse aux questionnaires. Les donnees d’Entred 2007 ont ete comparees a celles de 2001(n=235). Resultats L’âge moyen etait de 42 ans et le DT1 evoluait depuis 17 ans en moyenne. Surpoids et obesite avaient progresse (30% en 2007, +3 points depuis 2001 ; et 13%, +4 pts) alors que les consultations dietetiques avaient diminue (35%, - 3 pts), un tabagisme etait rapporte par 39% des personnes (+3 pts). Une HbA1c > 8% etait rapportee par les medecins pour 40% des patients (- 2 pts), une pression arterielle 140/80 mm Hg pour 10% (- 13 pts) et un cholesterol-LDL 1,3 g/l pour 14% (- 3 pts). La frequence des complications declarees par les patients etait stable (angor ou infarctus du myocarde : 7% ; traitement ophtalmologique par laser : 24%). La frequence des traitements anti-hypertenseurs restait stable (33%), et celle des traitements hypolipemiants augmentait (28%, +10 pts) au profit des prescriptions de statines. Au total, 41% avaient ete hospitalises (- 7 pts) ; 28% avaient consulte un endocrinologue (+7 pts) et 18% un cardiologue (- 4 pts), 35% (+8 pts) avaient beneficie de 3 dosages d’HbA1c et 54% (+7 pts) d’un dosage des lipides, en secteur liberal dans l’annee. Discussion La prise en charge des adultes DT1 s’est amelioree entre 2001 et 2007, mais est encore insuffisante. Le controle glycemique, lipidique et surtout tensionnel est meilleur, mais l’equilibre glycemique reste difficile a atteindre, temoignant d’un risque eleve de complications micro et macrovasculaires. Le tabagisme concerne toujours plus d’un tiers des personnes, et surpoids et obesite progressent, atteignant 43%. Ces facteurs de risque macrovasculaires comportementaux constituent 2 cibles d’intervention majeures accessibles a une demarche educative.
Diabetes & Metabolism | 2011
H. Mosnier-Pudar; A. Gautier; G. Charpentier; C. Druet; C. Fournier
Introduction ENTRED education vise a decrire la qualite de vie et les besoins educatifs des diabetiques en France. Materiels et methodes En 2007, parmi un echantillon aleatoire de 8 926 diabetiques traitees (bases CNAMT et RSI), 3 847 diabetiques de type 2-DT2 et 273 diabetiques de type 1-DT1 ont complete un auto-questionnaire postal sur l’information et la demarche educative. Les reponses ont ete ponderees en fonction des modalites d’echantillonnage et des caracteristiques des non-repondants. En moyenne, l’âge, la duree du diabete et le taux d’hemoglobine glyquee sont de 66 ans, 11 ans, 7,1 % dans le DT2, et 42 ans, 17 ans, 7,9 % dans le DT1. Resultats 80 % des DT1 et DT2 se disent bien informees sur leur maladie. 40 % des DT1 ont beneficie d’une demarche educative dans l’annee precedente, 17 % seulement des DT2, qui, a 43 % ne repondent pas a la question. 83 % des DT1 ont recu des conseils alimentaires ecrits, et 60 % seulement des DT2. Majoritairement DT1 (84 %) et DT2 (85 %) estiment les recommandations recues pour le traitement comme acceptables, mais les DT1 les trouvent genantes plus souvent (53 % contre 35 %). DT1 et DT2 se sentent capables de gerer, seules ou avec l’aide de leur entourage, le traitement (94 et 96 %). Les DT1 s’en sentent plus souvent capables pour la surveillance (92 et 78 %) et l’alimentation (88 et 77 %). La gestion de l’activite physique est difficile pour 20 % des DT1 et 22 % des DT2, dont 10 % declarent ne pas avoir a en faire. 69 % des DT2 voient l’avenir avec confiance, et seulement 41 % des DT1. Conclusion Cette etude montre que les diabetiques se considerent bien informees. Des differences existent entre DT1 et DT2 dans la perception de la capacite a gerer les differents domaines du traitement, la perception de la contrainte et de l’avenir avec la maladie, qui sont plus negatives dans le DT1.
Diabetes & Metabolism | 2010
I. Romon; A. Weill; R. Cheungkin; A. Bravo; Dominique Simon; N. Poutignat; C. Druet
Objectif Decrire les caracteristiques et la prise en charge medicale des personnes diabetiques en outre-mer (DOM) et les comparer a celles de metropole. Materiels et Methodes 855 adultes residant en DOM, traites pour diabete et beneficiaires du regime general d’Assurance maladie (CnamTS) ou du regime social des independants (RSI) ont ete tires au sort. Les donnees de consommation medicale de l’annee ont ete extraites pour tous et les complications du diabete ont ete recueillies par questionnaire telephonique (34 % de repondants). Resultats L’âge moyen des personnes diabetiques en DOM (n = 855) etait de 63 ans (-2 ans par rapport a la metropole), 35 % etaient des hommes (-19 points par rapport a la metropole) et 32 % beneficiaient de la CMU (+26 pts). Pres du tiers des personnes (31 %) etaient traitees par insuline (+10 pts). Chez les 278 personnes diabetiques de type 2 ayant repondu au questionnaire, l’anciennete moyenne du diabete etait de 11 ans comme en metropole, 65 % etaient en surpoids ou obeses (-17 points par rapport a la metropole), 7 % declaraient fumer (-3 pts), 9 % declaraient un antecedent d’infarctus du myocarde ou d’angor (-8 pts), 4 % une revascularisation coronaire (-7 pts), 7 % un accident vasculaire cerebral (+1 pt) et 7 % un mal perforant plantaire (-2 pts). Dans l’ensemble (n = 855), 75 % des personnes avaient beneficie dans l’annee d’un dosage de creatininemie (-5 pts) et 71 % d’un dosage de lipides (0 pt). Seulement 30 % avaient beneficie de 3 dosages d’HbA1c (-9 pts), 45 % d’un dosage d’albuminurie (+20 pts) et 6 % avaient consulte un endocrinologue liberal (-3 pts). Un quart des personnes (26 %) ont ete hospitalisees dans l’annee (-5 pts). Conclusion La population diabetique des DOM est plus jeune qu’en metropole, plus feminine, economiquement moins favorisee et plus souvent traitee par insuline a anciennete du diabete egale. Le profil de risque vasculaire et le niveau de complications sont meilleurs en DOM, sans doute en lien avec un âge plus jeune. La realisation annuelle de 3 dosages d’HbA1c est peu frequente. Le dosage de l’albuminurie est egalement insuffisamment realise, mais plus frequent qu’en metropole. Les estimations de prise en charge medicale ne tiennent toutefois pas compte des consultations et actes realises a l’hopital.
Diabetes & Metabolism | 2012
G.F.A. Assogba; C. Couchoud; Candice Roudier; Carole Pornet; S. Fosse; I. Romon; C. Druet; B. Stengel
Diabetes & Metabolism | 2013
P. Lecomte; L. Criniere; C. Druet; C. Fuhrman