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Publication
Featured researches published by C. Martel.
Revue de Médecine Interne | 2011
G Ensergueix; C. Martel; H. Bezanahary; K.H. Ly; A.-L. Fauchais; S Pallat; E. Vidal-Cathala
ion de lymphome oculaire. Pour trois autres patients le diagnostic e syphilis secondaire cutanéo-muqueuse était réalisé avec un à ix mois de retard en raison de l’importance des signes généraux t d’adénopathies suspectes de lymphome B, ou d’une éruption rythémato-squameuse avec un infiltrat lympho-plasmocytaire uspect de pseudolymphome cutané. Tout patients confondus, 5 % des patients étaient asymptomatiques, 8 % présentaient une yphilis primaire, 33 % une syphilis secondaire cutanéo-muqueuse ouvent accompagnée de signes généraux et 40 % une neurosyphiis précoce sous la forme d’une uvéite antérieure (6 %), postérieure 43 %), d’une panuvéite (19 %) d’un œdème papillaire (6 %), d’une éningite (6 %), d’une paralysie faciale périphérique (6 %) et d’une urdité (12 %). Un seul patient présentait une neurosyphilis tardive, ous la forme d’une syphilis méningo-vasculaire (AVC ischémique). uatorze patients avaient une méningite lymphocytaire. Quand lle était réalisée, l’IRM cérébrale était normale hormis le cas de eurosyphilis tardive. Les patients présentant une syphilis priaire ou secondaire isolée étaient traités par une à trois injections ’extencilline. Les patients présentant une neurosyphilis étaient raités par pénicilline G à fortes doses pendant au moins 14 jours 94 %) ou ceftriaxone (6 %). Six patients atteints de neurosyphiis gardaient des séquelles ophtalmologiques minimes (25 %) ou ajeures (12 %). onclusion.– Après une diminution drastique du nombre de cas e syphilis, on observe une augmentation des cas qui semble orrespondre à un relâchement des mesures de protection des apports sexuels. Les patients hospitalisés pour syphilis entre 000 et 2010 présentaient majoritairement une atteinte neuroloique justifiant un traitement parentéral par pénicilline G ou une tteinte cutanéo-muqueuse accompagnée de signes systémiques t/ou d’adénopathies faisant égarer le diagnostic, en particulier ans le groupe des patients non-VIH chez qui la sérologie devrait tre systématique devant de tels symptômes.
Revue de Médecine Interne | 2014
C. Martel; M.O. Jauberteau; E. Vidal; A.-L. Fauchais
Revue de Médecine Interne | 2014
C. Martel; M.O. Jauberteau; E. Vidal; A.-L. Fauchais
Revue de Médecine Interne | 2014
E. Liozon; K.H. Ly; G. Gondran; E. Saule; S. Palat; H. Bezanahary; C. Martel; F.X. Lapeybie; S. Nadalon; A. Cypierre; A.-L. Fauchais
Revue de Médecine Interne | 2014
K.H. Ly; E. Liozon; E. Denes; G. Gondran; S. Palat; H. Bezanahary; S. Nadalon; F. Thouy; C. Martel; E. Vidal-Cathala; A.-L. Fauchais
Revue de Médecine Interne | 2014
E. Liozon; F. Lalloué; K.H. Ly; G. Gondran; F. Thouy; S. Palat; H. Bezanahary; A. Cypierre; S. Nadalon; C. Martel; A.-L. Fauchais
Revue de Médecine Interne | 2014
G. Vignaud; C. Martel; M.O. Jauberteau; A.-L. Fauchais
Revue de Médecine Interne | 2013
M. Dubos; C. Martel; S. Palat; K.H. Ly; G. Gondran; H. Bezanahary; F. Thouy; S. Nadalon; E. Vidal-Cathala; A.-L. Fauchais
Revue de Médecine Interne | 2013
A.-L. Fauchais; M. Dubos; S. Palat; C. Martel; H. Bezanahary; K.H. Ly; G. Gondran; E. Liozon; E. Vidal-Cathala; S. Nadalon
Revue de Médecine Interne | 2013
J. Pestre; C. Martel; F.X. Lapébie; G. Gondran; S. Palat; F. Thouy; E. Vidal-Cathala; A.-L. Fauchais