D. K. Nagaraju

Damage potential and seasonality of the sapodilla bud borer Anarsia achrasella (Lepidoptera: Gelechiidae) in India

The gelechid bud borer Anarsia achrasella (Latreille) has become an increasingly serious pest of sapodilla Manilkara zapota Van Royen in India. The objective of the present study was to estimate the pest damage potential and determine the influence of abiotic factors and plant phenology on the pest incidence. The results indicate that each larva of A. achrasella could damage up to 36.9–46.6 buds before reaching pupation. Correlation analysis indicates that the pest incidence is not influenced by plant phenology and that the effect of abiotic factors is minimal. Of all weather parameters studied, only minimum temperature and wind speed correlated significantly with bud borer infestation. The linear and non-linear analyses showed that, in the case of minimum temperature, polynomial model order (2) Y = 0.4108x2 − 11.95x + 92.329 was found to explain 46% of the variability in bud borer incidence. However, in the case of wind speed, none of the tried models could explain variability in A. achrasella incidence beyond 53%. The implications of these results are discussed.RésuméEn Inde, le géléchide foreur de bourgeon, Anarsia achrasella (Latreille) est devenu un ravageur de plus en plus important de la sapotille Manilkara zapota Van Royen. L’objectif de cette étude est d’estimer les pertes potentielles et de déterminer l’influence des facteurs abiotiques et de la phénologie de la plante sur les dégâts. Les résultats montrent que chaque larve de A. achrasella peut endommager entre 36,9 et 46,6 bourgeons avant d’effectuer sa nymphose Une analyse de corrélations indique que l’incidence du ravageur n’est pas influencée par le stade phénologique de la plante et que les facteurs abiotiques sont peu importants. Parmi tous les facteurs climatiques étudiés seules la température minimale et la vitesse du vent sont corrélées avec le niveau d’infestation. Les analyses de corrélations linéaires et non linéaires montrent que lorsque la température est minimale, le modèle polynomial d’ordre (2) Y = 0.4108x2 − 11.95x + 92.329 explique 46% de la variabilité de l’incidence du foreur. Toutefois, dans le cas de la vitesse du vent, aucun modèle ne peut expliquer la variabilité de l’incidence de A. achrasella au-delà de 53%. Les implications de ces résultats sont discutées.