J.-A. Micoulaud Franchi
University of Bordeaux
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Publication
Featured researches published by J.-A. Micoulaud Franchi.
Encephale-revue De Psychiatrie Clinique Biologique Et Therapeutique | 2013
Jean-Michel Azorin; Raoul Belzeaux; M. Cermolacce; Arthur Kaladjian; N. Corréard; D. Dassa; M. Dubois; M. Maurel; J.-A. Micoulaud Franchi; D. Pringuey; E. Fakra
Resume Une revue de la litterature sur le traitement pharmacologique des episodes mixtes en aigu dans le cadre des troubles bipolaires, tel qu’il figure dans les systemes de guidelines actuels, montre que seulement sept d’entre eux abordent le traitement aigu des episodes mixtes au sein d’un chapitre specifique, alors que la majorite de ces guidelines incluent le traitement des episodes mixtes au sein du chapitre consacre au traitement de la manie. En regle generale, la plupart des guidelines conseillent l’arret des traitements antidepresseurs et font etat de la superiorite du valproate sur le lithium. Des recommandations specifiques pour le traitement des « etats mixtes » figurent dans deux guidelines, tandis que des recommandations specifiques pour le traitement des « manies mixtes » sont presentes dans cinq d’entre eux. Des recommandations pour le traitement des « depressions mixtes » existent dans trois guidelines. S’il existe un consensus relatif sur le traitement des « etats mixtes » envisages dans leur ensemble, les recommandations pour le traitement des « manies mixtes » apparaissent comme variables, alors que celles pour le traitement des « depressions mixtes » semblent limitees.
Encephale-revue De Psychiatrie Clinique Biologique Et Therapeutique | 2016
M. Cermolacce; R. Belzeaux; M. Adida; J.-A. Micoulaud Franchi; E. Fakra; J.-M. Azorin
RESUME L’effet placebo represente un enjeu central dans le champ des essais cliniques. La plupart de ces essais reposent sur l’hypothese d’une equivalence de l’effet placebo entre participants recevant un traitement specifique et participants recevant le placebo (hypothese dite « additive »). Mais contrairement a ce modele additif, largement dominant, plusieurs aspects sont susceptibles d’influencer la reponse placebo, tant sur le plan clinique que methodologique. Dans la recherche psychiatrique, la reponse placebo a largement ete abordee a partir des essais cliniques portant sur l’efficacite des antidepresseurs. Dans les premiers travaux portant sur les antidepresseurs, la difference d’effet entre traitement specifique et placebo etait particulierement robuste. Mais les essais cliniques plus recents n’ont pas necessairement pu retrouver un tel contraste. Differents facteurs permettent d’expliquer cette difficulte a comparer essais cliniques initiaux et essais plus contemporains : proprietes intrinseques des antidepresseurs, changement de criteres cliniques, modification des classifications, criteres de severite symptomatologique et non plus remission globale, mais aussi contraintes industrielles et reglementaires. Enfin, il convient de souligner la difficulte a traduire les resultats experimentaux en termes de pratique clinique courante.
Encephale-revue De Psychiatrie Clinique Biologique Et Therapeutique | 2015
J.-M. Azorin; M. Adida; R. Belzeaux; D. Pringuey; J.-A. Micoulaud Franchi; N. Simon; M. Cermolacce; Arthur Kaladjian; E. Fakra
Although negative symptoms are recognized as a central feature of schizophrenia, their definition as well as phenomenology have long been a vexing issue. During these last years, a major progress has been made with the delineation of two underlying subdomains of negative symptoms: diminished expression and anhedonia-avolition-apathy. As current guidelines are not always in accord on the efficacy of treatments on negative symptoms, it may be tempting to re-interpret the findings of clinical trials by looking at the effects of treatments on these two subdomains. This could concern both psychotropic treatments and psychotherapeutic interventions. Furthermore, neuroimaging as well as emotional response studies have permitted to better understand the mechanism which could be at the root of diminished expression and anhedonia in schizophrenia. On this basis, new psychotherapeutic methods have been devised which, by specifically targeting these two subdomains, are likely to be more efficient on negative symptoms. Further research is warranted to test their efficacy in randomized controlled trials.Although negative symptoms are recognized as a central feature of schizophrenia, their definition as well as phenomenology have long been a vexing issue. During these last years, a major progress has been made with the delineation of two underlying subdomains of negative symptoms: diminished expression and anhedonia-avolition-apathy. As current guidelines are not always in accord on the efficacy of treatments on negative symptoms, it may be tempting to re-interpret the findings of clinical trials by looking at the effects of treatments on these two subdomains. This could concern both psychotropic treatments and psychotherapeutic interventions. Furthermore, neuroimaging as well as emotional response studies have permitted to better understand the mechanism which could be at the root of diminished expression and anhedonia in schizophrenia. On this basis, new psychotherapeutic methods have been devised which, by specifically targeting these two subdomains, are likely to be more efficient on negative symptoms. Further research is warranted to test their efficacy in randomized controlled trials.
Encephale-revue De Psychiatrie Clinique Biologique Et Therapeutique | 2013
M. Maurel; Raoul Belzeaux; E. Fakra; M. Cermolacce; D. Dassa; M. Dubois; J.-A. Micoulaud Franchi; N. Corréard; Jean-Michel Azorin
Resume Les etats mixtes du DSM-IV sont devenus les manies et depressions mixtes du nouveau DSM-5. La principale nouveaute est l’apparition de neuf specifications, dont celle de mixite. Ces specifications non exclusives permettront de mieux isoler certaines categories cliniques, et ainsi de mieux y repondre sur le plan therapeutique. Une clinique dimensionnelle riche permet d’isoler un facteur de mixite, regulierement associe a un facteur anxieux et un facteur psychotique, qui sont deux autres de ces specifications. Ceci incite a la plus grande prudence dans l’etablissement d’un diagnostic, et a la plus grande vigilance dans la prise en charge de ces situations cliniques.
Encephale-revue De Psychiatrie Clinique Biologique Et Therapeutique | 2017
Pierre Alexis Geoffroy; J.-A. Micoulaud Franchi; Régis Lopez; I. Poirot; A. Brion; S. Royant-Parola; Bruno Etain
Neurophysiologie Clinique-clinical Neurophysiology | 2016
K. Guichard; J.-A. Micoulaud Franchi; Pierre Philip; Pierre-Jean Monteyrol
Neurophysiologie Clinique-clinical Neurophysiology | 2018
J.-A. Micoulaud Franchi; K. Guichard; Stéphanie Bioulac; Pierre Philip
Neurophysiologie Clinique-clinical Neurophysiology | 2018
M. Jannot; Pierre-Jean Monteyrol; Stéphanie Bioulac; K. Guichard; Pierre Philip; J.-A. Micoulaud Franchi
Encephale-revue De Psychiatrie Clinique Biologique Et Therapeutique | 2017
L. Brandejsky; J.-A. Micoulaud Franchi; Régis Lopez; Stéphanie Bioulac; D. Da Fonseca; C. Daudet; Laurent Boyer; R. Richieri; Christophe Lançon
Encephale-revue De Psychiatrie Clinique Biologique Et Therapeutique | 2015
J.-A. Micoulaud Franchi; Clélia Quiles; R. Belzeaux; M. Adida; J.-M. Azorin