J. W. R. McIntyre
University of Alberta Hospital
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Featured researches published by J. W. R. McIntyre.
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1966
J. W. R. McIntyre
SummaryReference has been made to experimental work and clinical reports of discrimination between sounds while patients are under general anaesthesia, and of recall in the postoperative period. A report is made of seventeen patients under nitrous oxide oxygen anaesthesia who failed to recall a story told to them during surgery. Paired words applied to ten patients under methoxyflurane fentanyl droperidol anaesthesia were associated with motor signs of arousal in four of them.RéSUMéNous faisons allusion à un travail expérimental et à des rapports cliniques sur le discernement de certains sons, sous anesthésie générale, et la possibilité de s’en souvenir au cours de la période post opératoire. Nous rapportons l’histoire de 17 malades soumis à une anesthésie au protoxyde d’azote et à làoxygène qui n’ont pas pu se souvenir d’une histoire qu’on leur avait racontée au cours de la chirurgie. Chez dix malades sous anesthésie au méthoxyflurane, fantanyl et droperidol on a dit des mots appairés et, chez quatre d’entre eux, cela a été fait au moment où ils manifestaient des signes moteurs de réveil.
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1958
A K. Bradshaw; Robert S. Fraser; J. W. R. McIntyre
RésuméLa chlorpromazine, administrée à des chiens dans les conditions expérimentales décrites, à raison de 0 5 milligramme par kilogramme, a provoqué une diminution des pressions plus marquée dans la circulation pulmonaire que dans la circulation systémique. Lorsque nous avons employé un dosage de 1 milligramme par kilogramme, la diminution de la différentielle disparaissait.
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1965
Reed Walker; J. W. R. McIntyre
SummaryThe intravenous administration by a number of different techniques of fentanyl and droperidol in a proportion of 1 50 has been described Clinical experiences indicate that to avoid marked respiratory depression and difficulties with artificial ventilation, the combination should be administered slowly The analgesic and sedative properties are useful for anaesthetic maintenance and are of benefit during the recovery penod Attention is drawn to the disadvantages of the “crash induction” and to the value of these drugs m the anaesthesia of poor-risk patientsRésuméNous avons décrit l’administration par voie endoveineuse, et nous avons employé plusieurs techniques, du fentanyl et du dropéridol dans la proportion de 1 pour 50 Nos expériences cliniques nous permettent d’affirmer que si l’on veut éviter toute dépression respiratoire marquée ou des difficultés avec la ventilation artificielle, il faut administrer le mélange lentement Les propriétés analgésiques et sédatives sont utiles durant le maintien de l’anesthésie et précieuses au cours de la période de réveil Nous attirons l’attention sur les ennuis de l’induction rapide et sur la valeur de ces médicamerts pour l’anesthésie des mauvais risques
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1980
J. W. R. McIntyre
Medical students should learn certain facts and comprehension of these facts during an elective month spent in a Department of Anaesthesia. This enables them to make the most of the tutorial situation in which they work with clinical anaesthetists. Pre- and post-elective multiple choice questions were used to test the efficacy of computer based non-linear programmes of multiple choice questions and explanations in adding to the students’ knowledge. They were associated with an improvement in student performance and were acceptable to students and instructors. However, computer based instruction should only be used to improve certain learning situations and should not be employed as an alternative to interaction with physicians and patients.RésuméCertaines questions doivent être retenues et compris par les étudiants en médecine lors ďun stage facultatif dans un département ďanesthésie et c’est ce qui leur permet de tirer profit de cette expérience qui les met en contact avec leurs tuteurs anesthésistes cliniciens. Un questionnaire à choix multiples avant et après le stage a été utilisé pour évaluer ľefficacité de programme informatisé de questions à choix multiples complété par des explications pertinentes. La méthode a été acceptée facilement aussi bien par les étudiants que leurs moniteurs et accompagnée ďune amélioration dans la performance des étudiants. Cependant, ľenseignement par ordinateur ne devrait être utilisé que dans certaines situations spécifiques et non comme une alternative à ľexpérience fournie par ľinterraction entre patients et médecins.
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1971
Donald S. Silverberg; J. W. R. McIntyre; Raymond A. Ulan; Edward A. Gain
SummaryOxalic acid excretion was measured in nine patients receiving methoxyflurane and six patients receiving halothane. Oxalic acid excretion increased from 5 to 23 times in the immediate postoperative period in patients receiving methoxyflurane, whereas no increase was noted in those receiving halothane. Despite the striking increase in oxalic acid excretion, no alteration in renal function and no polyuric state developed. The renal failure that occasionally develops after methoxyflurane anaesthesia appears to be multifactorial in origin and a hyperoxaluric state may play a role in some instances.RésuméOn a mesuré l’excrétion d’acide oxalique chez neuf malades anesthésiés au méthoxyflurane et six malades anesthésiés au fluothane. L’excrétion d’acide oxalique a autmenté de 5 à 23 fois durant la période post-opératoire chez les malades anesthésiés au méthoxyflurane alors que chez les autres on n’a noté aucune augmentation. Malgré cette augmentation frappante de l’excrétion d’acide oxalique, il ne se produisit pas de changement dans la fonction rénale ni de polyurie. Bien que l’insuffissance rénale qui se produit quelquefois après l’anesthésie au méthoxyflurane semple être dûe à plusieurs facteurs, il semble évident que la dose d’anesthésique administrée peut être un facteur crucial.
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1968
J. W. R. McIntyre
Conclusion and SummaryOn the basis of the literature available and observations of seventy-seven obese patients, it is concluded that the keynotes to survival of the obese patient during surgery, whether a minor or major procedure is anticipated, are as follows:(1)Ensurance of an unobstructed airway, by intubation awake if necessary.(2)Use of minimal intrathoracic pressures concomitant with effective ventilation or adequate spontaneous ventilation.(3)Positioning of the patient in a manner most suitable for ventilation and surgery.(4)Adequate monitoring of as many parameters as the situation demands.(5)Ensurance of adequate means of administering drugs and fluids at the rate and in the quantity that could conceivably become necessary.n During the recovery period and convalescence, adequate pain relief and anti-nauseants may be combined with an active nursing program. It is of fundamental importance that, whatever technique is selected at this time, signs such as blood pressure changes, vocal activity, restlessness, and apparent sedation are each interpreted in the light of as many other details as possible, before what initially appears to be the appropriate course of action is taken. The vital thing during the postoperative period is accurate information at frequent intervals concerning the cardiovascular, respiratory, metabolic, and central nervous function of the patient.RéSUMéNous décrivons les problèmes de l’obésité pour les soins anesthésiques chez le malade chirurgical; nous posons ces problèmes selon l’étiologie de I’obésité, selon les médications du malade, selon les changements de nutrition et des électrolytes, selon les changements anatomiques et physiologiques et selon les maladies actuelles.D’après la littérature à notre disposition et d’après les observations faites sur 77 malades obèses, voici notre opinion sur les facteurs de base dans le traitement des obèses: (1) La certitude que les voies respiratoires sont libres, en pratiquant l’intubation chez le malade éveillé si nécessaire. (2) L’usage de pressions intra-thoraciques minimales permettant une ventilation efficace ou une ventilation spontanée adéquate. (3) Placer le malade de la façon la plus favorable à la ventilation et à la chirurgie. (4) Placer des moniteurs pour obtenir des renseignements sur tous les paramétres que la situation exige. (5) Avoir la certitude de pouvoir dormer des médicaments et des liquides à la vitesse nécessaire dans un cas semblable.Au cours de la période post-opératoire, il faut obtenir le plus de renseignements possibles sur l’état du malade s’il devient nécessaire de donner un médicament au malade.
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1966
J. W. R. McIntyre; D. J. Campbell
SummaryThe activity of serum cholinesterase has been measured prior to and following surgery in patients anaesthetized with a nitrous oxide, fentanyl, droperidol, or halothane technique. Except in one case no significant changes occurred. Neostigmine reduced enzyme activity to a low level in some patients. This occurrence might have a clinically significant effect on the quantity of any neostigmine administered subsequently that would be sufficient to produce depression of neuromuscular transmission, and on the rate of inactivation of those drugs affected by this enzyme.RéSUMéOn a mesuré l’activité de la cholinestérase du sérum avant et après l’opération chez des malades anesthésiés au protoxyde d’azote, au fentanyl, au dropéridol ou à l’halothane. On n’a noté aucun changement sauf dans un cas. La néostigmine a diminué considérablement l’activité de cette enzyme chez quelques malades. Cette éventualité pourrait avoir un effet clinique important d’abord sur la dose de néostigmine qui serait administrée subséquemment et qui serait suffisante pour produire une dépression de la transmission neuromusculaire, puis sur le taux de diminution d’activité des médicaments influencés par cette enzyme.
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1962
J. W. R. McIntyre
SummaryHealthy adolescent or adult patients were premqdicated with morphine or meperidine, and atropine or hyoscine, and anaesthetized with a sequence thiopentone, nitrous oxide, oxygen, methoxyflurane. They were arbitrarily divided into three groups and intravenous injections of 2 c.c. 2 per cent succinylcholine given according to three different sequences: (1) immediately following the thiopentone and four minutes later; (2) four and eight minutes after the thiopentone, (3) eight and twelve minutes after the thiopentone.A fourth group was added, for which a sequence similar to sequence 2 was used except that, prior to the second injection of succinylcholine, a second injection of thiopentone, one-third of the amount used for induction, was given.The existing reports of succinylcholine-induced bradycardia and arrhythmias are discussed with reference to the results. The conclusions reached are that the administration of succinylcholine 2 per cent when thiopentone is omitted for induction, or used in minimal dosage not immediately preceding the injection of the relaxant, should be done with caution. The hazard is very small except in those patients suffering from cardiac dysfunction or electrolyte disturbances. A further dose of succinylcholine markedly increases the danger unless prophylactic measures are taken, and a larger dose initially may have a similar effect.The anaesthesia sequence producing the most marked bradycardia and arrhythmia is unusual in clinical practice and when it is used additional thiopentone is often given. These facts probablv account for the low incidence of serious complications of this nature.RéSUMéNous avons prémédiqué des adolescents ou adultes en santé avec de la morphine ou du démérol, et de l’atropine ou de l’hyoscine, et nous les avons anesthésiés avec du thiopentone du protoxyde d’azote, de l’oxygène et du méthoxyflurane. De façon arbitraire, nous les avons divisés en trois groupes et des injections intraveineuses de 2 ml. à 2 pour cent de succinylcholine leur ont été données de trois façons différentes: (1) une injection immédiatement après le thiopentone et l’autre quatre minutes plus tard; (2) quatre et huit minutes après le thiopentone; (3) huit et douze minutes après le thiopentone. Nous avons fait un quatrième groupe semblable au deuxième à l’exception que, avant la seconde injection de succinylcholine, une seconde injection de thiopentone était donnée représentant le tiers de la dose donnée pour l’induction.Les bradycardies et les arythmies provoquées par la succinylcholine qu’on trouve dans la litérature sont discutées selon les résultats menjtionnés. Nous en venons aux conclusions qu’il faut agir avec prudence lorsqu’on administfe de la succinylcholine à 2 pour cent si l’on omet de donner du thiopentone pour l’induction ou que l’on en injecte très peu, ou que l’injection de thiopentone ne précède pas immédiatement le myorésolutif. Le risque est très petit, excepté pour les malades porteurs de dysfonction cardiaque ou de déséquilibrets électrolytiques. Une deuxième dose de succinylcholine aggrave beaucoup le danger à moins que des mesures prophylactiques soient prises, et une plus grosse dose initiale peut produire un effet semblable.Le mélange anesthésique produisant le plus de bradycardie et d’arythmies n’est pas habituel en clinique et, lorsqu’il est employé, on ajoute du thiopentone. Ces faits expliquent probablement pourquoi des complications sérieuses de cette nature ne surviennent pas souvent.
Journal of Clinical Monitoring and Computing | 1995
J. W. R. McIntyre
SummaryAnecdote indicates anaesthesiologists in the operating room are not invariably at the head of the operating table beside their equipment. The validity of this was investigated by a nationally distributed questionnaire. The results support the anecdotal evidence. The behaviour can be justified so supports a recommendation for appropriate visibility of information displays. Whether such action would improve patient safety is debatable.
Canadian Journal of Anaesthesia-journal Canadien D Anesthesie | 1967
J. W. R. McIntyre; J. D. M. Miller; P. Corkery
SummaryComparable groups of adult patients undergoing abdominal surgery were anaesthetized with methoxyflurane alone or supplemented with fentanyl. It was found that fentanyl reduced methoxyflurane requirements and that 4 L./min. O2 containing 0.34 per cent methoxyflurane in a semi-closed circle absorber system was almost invariably adequate for maintenance.Patients were observed for one hour postoperatively and it was found that the supplemented group recovered consciousness more rapidly and were better able to respond to auditory commands. There was evidence that the startle reflex is active under certain circumstances during the early stages of recovery of consciousness. Fentanyl could be used satisfactorily to relieve distress in the postoperative period.Interviews during the convalescent period established the absence of any experiences that might be termed hallucinatory. Only four out of forty patients had any recollection of their experiences in the recovery room.RésuméDes groupes semblables d’adultes subissant une opération abdominale ont été anesthésiés au méthoxyflurane seul ou additionné de fentanyl. On a observé que le fentanyl diminuait la dose requise de méthoxyflurane et qu’un débit de 4 litres d’oxygéne par minute contenant 0.34 pour cent de méthoxyflurane en circuit semi-fermé avec absorption de CO2 était presque toujours sufBsant pour le maintien de l’anesthésie.Après l’opération, on a observé les malades durant une heure et on a trouvé que ceux qui avaient reçu du fentanyl devenaient conscients plus rapidement et pouvaient mieux répondre aux ordres qu’on leur donnait. II est apparu que le réflexe de la peur est actif dans certaines circonstances au début du retour de la conscience. Le fentanyl pourrait être utilisé avec satisfaction pour diminuer l’inquiétude durant la période postopératoire.Durant la convalescence, nos conversations avec les malades ont prouvé qu’ils n’avaient souffert d’aucune hallucination. Quatre seulement sur quarante malades avaient gardé quelque souvenance de leur passage à la salle de réveil.