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Publication
Featured researches published by Jean-François Chateil.
Journal De Radiologie | 2007
Hervé Brisse; Dominique Sirinelli; Jean-François Chateil; Y.-S. Cordoliani; B. Aubert; B. Silberman; Michel Panuel; C. Adamsbaum
Oui. Un texte reglementaire vient de paraitre en ce sens, l’arrete du 22 septembre 2006 « relatif aux informations dosimetriques devant figurer dans un compte-rendu d’acte utilisant les rayonnements ionisants » (Journal Officiel du 29 septembre 2006). Cet arrete peut etre consulte (en version commentee) sur Internet via le site de la Societe Francaise de Radiologie (http://www.sfrnet.org, rubrique « Euratom » puis « Guides » puis « Guide des procedures radiologiques » et « Nouvelle legislation en radioprotection »).
Journal De Radiologie | 2010
Jean-François Chateil; B. Aubert; Hervé Brisse
Typical patient radiation doses in diagnostic imaging Radiologists should be able to appreciate the radiation dose delivered to patients for routine diagnostic procedures. The radiology report should include data necessary to calculate the patient dose in Gray. Using the effective dose, it is possible to compare with other source of radiation exposure. Simple formulas, taking into account different anatomical regions, derived from dose-area product (conventional radiography) or dose-length product (CT) are provided to calculate the effective dose in Sievert. For conventional (non-interventional) radiography, the effective dose for a given exam is inferior or equal to the yearly background radiation. For CT, the effective dose corresponds to 1 to 10 years of yearly background radiation.
Journal De Radiologie | 2007
Jean-François Chateil; C. Adamsbaum; Béatrice Husson
Objectifs pedagogiques Revisiter les methodes d’exploration du canal medullaire chez l’enfant. Indiquer les malformations les plus frequentes actuellement rencontrees, en incluant les donnees antenatales. Developper la strategie diagnostique dans les principales pathologies rencontrees chez l’enfant : tumeurs intra et extra-medullaires, trauma-tismes, pathologie inflammatoire. Messages a retenir L’echographie constitue une technique d’imagerie importante chez le nouveau-ne, avant un mois de vie ; l’IRM est ensuite irremplacable. La presentation des dysraphismes a ete modifiee par le diagnostic antenatal ; chez l’enfant, les dysraphismes occultes sont actuellement les plus frequents. Les tumeurs medullaires, rares, sont dominees par les astrocytomes, les ependymomes sont exceptionnels. La plupart des tumeurs extramedullaires primitives chez l’enfant se rencontrent dans les neurofibromatoses ; les metastases leptomeningees des tumeurs cerebrales (PNET) sont frequentes. L’extension intracanalaire d’un neu-roblastome pararachidien est possible et parfois revelatrice. Chez l’enfant, le traumatisme medullaire peut etre isole, sans lesion osseuse patente. La pathologie medullaire inflammatoire n’est pas rare, le diagnostic etiologique parfois difficile. La realisation d’une exploration concomitante de l’encephale permet la recherche de lesions associees.
Journal De Radiologie | 2008
Michel Panuel; Jean-François Chateil; C. Adamsbaum
Objectifs Connaitre la semeiologie des lesions rencontrees dans ce contexte. Savoir reconnaitre les principaux diagnostics differentiels. Savoir conduire un bilan d’imagerie adapte. Points cles Les lesions encephaliques font l’essentiel du pronostic. Hemorragies sous-arachnoidiennes, hematomes sousduraux interhemispheriques ou de la fosse posterieure, lesions parenchymateuses cerebrales variees peuvent se rencontrer. Les lesions d’arrachement metaphysaire et les fractures posterieures de cotes sont specifiques. Le principal diagnostic differentiel devant les fractures diaphysaires des os longs et les tassements vertebraux inexpliques est l’osteogenese imparfaite. Le bilan d’imagerie doit etre d’une qualite irreprochable. Resume Les syndromes de maltraitance comprennent le syndrome des « enfants battus » et le syndrome des « enfants secoues » avec recouvrement des entites et concernent surtout le petit nourrisson. L’evocation du diagnostic impose l’hospitalisation. Les tableaux cliniques sont varies et parfois trompeurs. Le bilan d’imagerie doit etre complet : Rx du squelette, scanner et IRM cerebraux. Scintigraphie osseuse et echographie abdominale sont largement indiquees. Certaines lesions encephaliques et squelettiques sont tres evocatrices voire specifiques, dans d’autres cas le diagnostic peut errer vers d’autres etiologies comme le traumatisme accidentel, certaines anomalies metaboliques, les fragilites osseuses constitutionnelles voire des variantes de l’ossification.
Journal De Radiologie | 2006
Catherine Adamsbaum; Jean-François Chateil; Béatrice Husson
Objectifs pedagogiques Bonnes pratiques. Description semiologique de pathologies pediatriques ou fœtales.
Journal De Radiologie | 2006
Yves-Sébastien Cordoliani; Jean-François Chateil; B. Aubert; Hervé Brisse
Objectifs pedagogiques Apporter des notions relatives a la securite des procedures, notamment en terme d’irradiation. Bonne utilisation des examens para-cliniques : biologie, imagerie, epreuves fonctionnelles, endoscopie.
Journal De Radiologie | 2005
Joël Chabriais; Michel Claudon; Jean-François Chateil
Objectifs pedagogiques Comprendre les besoins de nos correspondants. Apprehender ce qu’il convient de mettre sur un CD-Rom. Savoir choisir un materiel de gravure garantissant l’interoperabilite. Comprendre l’interet de la planche resultat. II y a deux ans, une seance avait mis en exergue les difficultes du CD-Rom DICOM. Les problemes sont maintenant resolus au niveau de DICOM et d’IHE, mais tous les industriels ne proposent pas des produits tenant compte des dernieres specifications. Certains de nos correspondants font remarquer qu’ils ne sont pas toujours satisfaits de ce qu’ils recoivent de certains radiologues. Le groupe SFR 4i propose donc un certain nombre de regles de bonne pratique en tenant compte des possibilites techniques.
Journal De Radiologie | 2005
Yves-Sébastien Cordoliani; Jean-François Chateil
Objectifs pedagogiques Apporter des notions relatives a la securite des procedures, notamment en terme d’irradiation. Promouvoir l’utilisation optimale des differentes methodes d’imagerie. Pathologies iatrogenes et nosocomiales. Toxicovigilance (toxicologie). Pharmacovigilance (securite pharmacologique). Iatrogenese.
Journal De Radiologie | 2004
Jean-François Chateil; Gabriel Kalifa; Yves-Sébastien Cordoliani
Objectifs pedagogiques Promouvoir l’utilisation optimale des differentes methodes d’imagerie. Proposer des solutions adaptees a un contexte reglementaire en evolution, notamment dans le domaine de l’information a donner au patient, de l’accreditation, de l’evaluation medico-economique et de l’irradiation.
/data/revues/02210363/v88i10/S0221036307808584/ | 2009
Yves Sébastien Cordoliani; Jean-François Chateil