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Featured researches published by Karel Dobbelaere.


Sociology of Religion | 1999

Towards an integrated perspective of the processes related to the descriptive concept of secularization

Karel Dobbelaere

Taking into account the analytical distinction between system levels, this article proposes an integrated perspective of the different processes related to secularization. Several levels of analysis are discussed: the macro, meso, and micro levels, and the interconnectedness between them. Secularization is seen here as the particularization in the religious subsystem of the general process of functional differentiation on the macro level. The purpose is to propose a more integrated theoretical view of secularization and related processes rather than a paradigm, and to stimulate international comparative research


Sociology of Religion | 1987

Some Trends in European Sociology of Religion: The Secularization Debate*

Karel Dobbelaere

The very flattering invitation to deliver the Paul Hanly Furfey Lecture for 1986 was accompanied by a suggestion that caused me to hesitate before accepting this notable honor. That suggestion was that the subject of my discourse should be the research traditions in the sociology of religion in Europe, and I was all too well aware that no one has a total overview of the European contribution to our discipline. There are too many barriers, the major one being the language barrier. Fortunately, a few internationally oriented journals help us by inviting colleagues and research teams to present important research findings and theoretical insights, some of which have originally been published in national journals. They also publish wide


Social Analysis | 1990

From Pillar to Postmodernity: The Changing Situation of Religion in Belgium

Karel Dobbelaere; Liliane Voyé

The pillarized structure of Belgian society has been a frequent topic for research, but sociologists began to notice that major changes were taking place in the 1960s. In particular, decline in church attendance in Belgium was accelerating rapidly, and a style of pick and choose Catholicism was emerging. This pattern has been interpreted in terms of secularization on the collective and individual levels. Changes in the institutions of the Catholic Church converged with these changes in personal beliefs and practice. By contrast, many organizations associated with the Catholic pillar have survived relatively unscathed, albeit at the cost of deemphasizing their specifically Catholic identity. Indeed, the new emphasis on the generally Christian character of institutions is proving ideologically attractive. This is interpreted as evidence of declining faith in some of modernitys central values and assumptions as well as of evidence of a postmodern disposition to affirm the value of Gemeinschaft, emotion, ritual, and pilgrimage. In short, a bricolage of popular Catholicism is retaining the commitment of 80 percent of Belgians and, thereby, demanding a revision of crude theories of secularization.


Social Compass | 1984

Secularization Theories and Sociological Paradigms : Convergences and Divergences

Karel Dobbelaere

Dans cet article, lAuteur cherche à mettre en évidence les divergences dans lanalyse de la sécularisation liées aux paradig mes employés par quatre sociologues qui ont fortement influencé les travaux en sociologie des religions. Il compare Berger et Luck mann comme représentants du paradigme basé sur la «définition sociale» dune part, et Luhmann et Wilson, comme représentants de lapproche du social comme «fait social» dautre part. Après avoir donné une synthèse de leurs études, il décrit lexplication de la sécularisation et son influence sur la religion (tableau 1), ensuite il cherche les points faibles des approches et essaie de démontrer les convergences entre les différentes approches paradigmatiques (tableau 2).


Social Compass | 1973

Definition of Religion- A Sociological Critique

Karel Dobbelaere; Jan Lauwers

Les auteurs indiquent, pour commencer, sur base dune comparaison entre les travaux de Berger et Yinger, que le choix entre une définition substantielle et une définition fonc tionnelle de la religion nest pas une simple question de goût : ce choix exerce une influence décisive sur le résultat de lana lyse. Ils enquêtent ensuite sur la praticabilité des définitions fonc tionelles et substantielles. Il en ressort que la religion nest pas une entité, mais une qualité qui est attribuée à certaines choses et à certaines fonctions par des catégories sociales ou catégories de positions. Une variation est évidente dans ce que certains appellent religion et dautres pas. Il en découle que le sociologue doit porter son attention sur le contexte structurel et situationnel du processus de définition de la religion. Sans cela, il court le risque de reprendre à son compte la définition dune catégorie de positions dans la société. Cela apparaît avec force en ce qui concerne lemploi des définitions substantielles ou fonctionnelles dans les théo ries qui prennent parti implicitement ou explicitement au sujet de la sécularisation. Si le sociologue veut prendre distance de tout point de vue idéologisant dans sa définition de la religion, il ne lui reste quune seule alternative : il ne doit pas définir lui-méme la religion, mais la laisser définir par les différentes positions sociales présentes dans la société. La définition de la religion nest pas un point daboutissement pour la recherche sociolo gique, mais elle appartient à lobjet à étudier. Elle est un élément de la réalité sociale changeante que le sociologue veut considérer.


Social Compass | 2014

The Karel Dobbelaere lecture: From the study of religions to the study of meaning systems

Karel Dobbelaere

Tracing the changes in the objectives and the projects of the members of our association, the purpose of this lecture is not to retain a nostalgia for the past but to propose new types of research in line with our history. Even if we may rejoice in the work done – the extension of the religious field studied, the development of paradigms, the use of a more sophisticated methodology and the internationalization of our work – an important research theme is missing. We need to study other meaning systems than those elaborated by religions, since in different parts of the world the impact of religion is declining on the societal and individual levels. Are people searching for meaning in their life? What are their sources of meaning? How should we study methodologically the present search for meaning?


International Review of Sociology | 2011

The contextualization of definitions of religion

Karel Dobbelaere

The author insists on the need to take the social-structural context into account to evaluate the existing types of definitions of religion. Proposing a definition for the Western hemisphere, he then checks his definition against sociological studies referring to ‘new types of religiosity’ and concludes that sociologists should differentiate between meaning systems – of which religion is a sub-division – and spiritualities. In a second step, he discusses two sociological theories about religion and insists that sociologists should be more careful in using such theories by taking into consideration the type of religion the theory is concerned with. Finally, he suggests that rational choice theory and secularization theory might well be integrated and applied in a European context if we move to the level of the competing existing meaning systems.


Social Compass | 1968

Trend report of the state of the sociology of religion: 1965-1966

Karel Dobbelaere

Lauteur commence par souligner lintérêt grandissant que suscite la sociologie de la religion: ceci ressort tant de laccroissement du nombre de travaux en cette matière que de lintérêt de plus en plus marqué que lui accordent les pays dEurope de lEst. Dans un second point, il met en évidence le fait que, principalement en Europe, on semble réserver une place plus importante à la recherche socio-religieuse quà la recherche fondamentale. Il analyse ensuite la contribution des différents pays sous langle numérique et tâche de voir quels sont leurs centres dintérêt. Dans une quatrième partie, il compare les tendances méthodologiques et théoriques de la sociologie de la religion avec celles de la sociologie en général telles que les a esquissées E. Shils à loccasion du 6e Congrès Mondial de Sociologie, Il ressort clairement de cette comparaison que la sociologie de la religion natteint pas sur le plan théorique et méthodo logique, loin sen faut, les normes qui sont en vigueur en sociologie. Lauteur aborde ensuite le contenu des publications; il les analyse en les regroupant sous divers thèmes: la religiosité et ses différents aspects; les problèmes soulevés par les concepts église et secte; la hiérarchie; les rapports religion-société et plus spécialement laspect religion-poli tique ; il aborde ensuite les études qui traitent et approfondissent les thèses de Weber à propos du lien existant entre religion et économie; puis viennent les thèmes religion et famille; religion et enseignement et religion, race et préjugés. Il signale enfin quelques sujets quil na pas développés, mais qui figu rent dans la littérature sociologique, de même que certains autres qui lui semblent utile daborder de manière urgente. Il termine en soulignant la nécessité de développer une sociologie de la religion qui soit saine sur le plan théorique et méthodologique. Car, la Conférence Internationale se veut de remplir en même temps une fonction informative. Or, laugmentation prévue des travaux exigerait que le rapport soit composé par plusieurs personnes. Cest ainsi que des études partielles pourraient être faites pour les Etats-Unis, et le Canada, pour les pays dEurope de langue romane — Amérique du Sud y compris — et de langue germanique. De pareils surveys pourraient, si lon veut, être complétés par un rapport distinct sur la sociologie des religions non-occidentales et non-chrétiennes. Pour garantir la comparabilité — surtout là ou il faut quantifier — et pour faire une synthèse entre les études partielles, il faudrait indiquer des normes fixes que les divers collaborateurs seraient tenus dobserver dans le rassemblement, la classi fication et la discussion des publications.1


Social Compass | 1998

Relations ambiguës des religions à la société globale

Karel Dobbelaere

The author argues that a sacred ethos rather than a civil religion integrates global society. This poses problems for traditional religions since they consider this ethos too individualistic. Globalization stimulates the expression of specific cultures since universalism generates particularism. A typical problem for “multinational” religions, proclaiming their universalism, emerges: they are confronted with requests for acculturation by autochthone cultures. However, no religion escapes the dual demand for universalism and particularism in the global circumstance: they have to adapt their structure and culture. As far as functions are concerned, traditional religions still play an important role in giving expression to particular communities: they provide nations and regions with symbolic expression, and rituals for integration. However, their societal functions are undermined. The “world-affirming” New Religious Movements, to the contrary, seem better adapted to play a societal role.


Social Compass | 2009

China Challenges Secularization Theory

Karel Dobbelaere

The author proposes a reflection on challenges that the three anthropological articles in this issue present for secularization theory. The first two discuss “performances” of religion in two different Chinese cultural periods: welfare services offered by recognized religious associations in the People’s Republic of China and the judicial rituals in colonial settings. The author suggests similarities with such “performances” in western culture. The second part of the article discusses some issues raised by Szonyi in his comparison of recent social research literature on Chinese religion and sociological literature on secularization: a critique of the concept of “modernity” in relation to secularization; a reflection on the possibility of establishing a secularization theory with universal validity; how to integrate rational choice theory and secularization theory; the validity of secularization in view of individual religious sensitivity; and secularization as an ideology and a discussion of the so-called “privatization of religion” in secularized settings. Les articles anthropologiques réunis dans ce numéro de Social Compass constituent un défi pour la théorie de la sécularisation. Les deux premiers traitent des “performances” de la religion durant deux périodes différentes de l’histoire de la Chine: les services sociaux qu’offrent les associations religieuses reconnues par la République populaire de Chine et les rituels judiciaires durant la période coloniale. L’auteur suggère, tout d’abord, qu’il existe des similitudes entre ces “performances” et ce qui s’observe dans la culture occidentale. Il discute, ensuite, de certaines questions soulevées par Szonyi, questions fondées sur la confrontation de la littérature chinoise récente portant sur la religion avec la littérature sociologique sur la sécularisation. L’auteur critique l’emploi du concept de modernité dans une discussion portant sur la sécularisation ainsi que l’assimilation de la théorie de sécularisation à une idéologie. Est-il possible de construire une théorie de la sécularisation ayant une validité universelle? Comment intégrer cette théorie et celle du choix rationnel? Quelle est la pertinence de la théorie de la sécularisation pour la sensibilité religieuse individuelle? Que penser de ce que l’on appelle la “privatisation de la religion” dans les régions sécularisées?

Collaboration


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Top Co-Authors

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Liliane Voyé

Université catholique de Louvain

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Mark Elchardus

Vrije Universiteit Brussel

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Jaak Billiet

The Catholic University of America

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Eileen Barker

London School of Economics and Political Science

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François Heinderyckx

Université libre de Bruxelles

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Bart Cambré

The Catholic University of America

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