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Featured researches published by Sophie Bobbé.


Communications | 2014

Logique militante et logique de la recherche. Entretien

Emmanuel Terray; Sophie Bobbé; Pierre Alphandéry

Interesandose en la Africa en via de descolonizacion, el autor escoge una postura de investigacion que le confiere una autonomia importante. Distingue sin embargo cuidadosamente la logica de la investigacion que implica hablar con todo el mundo a la politica la que se inscribe en las categorias de Carl Schmitt : ? quienes son nuestros amigos, quienes son nuestros enemigos ?


Communications | 2014

Un ethnologue en Nouvelle-Calédonie. Entretien

Alban Bensa; Sophie Bobbé; Pierre Alphandéry

Al irse a estudiar la comunidad kanak, es en el “ terreno” que Alban Bensa escogio conjugar progresivamente la investigacion cientifica y el compromiso politico. Esta postura es tanto mas asumida que constituye la singularidad y la especificidad de su itinerario de etnologo en Nueva Caledonia.


Natures Sciences Sociétés | 2003

Commentaire : Le cas de l’ours ou les cas des ours des Pyrénées ?

Sophie Bobbé

Comme le precisent F. Benhammou et L. Mermet, c’est bien dans une double perspective gestion strategique et geopolitique – qu’ils interrogent le cas de l’ours pyreneen. Grâce a l’analyse fine et detaillee des donnees de terrain (les mouvements d’opposition aux actions de conservation de l’ours des Pyrenees entre 1997-2001), ils reinterrogent des stereotypes, des idees recues en les resituant dans l’ensemble des actions et des reactions – strategies et contre-strategies pour reprendre la terminologie des auteurs – tant locales que nationales du « dossier ours ». Ce faisant, la caricaturale opposition entre les anti-ours et les pro-ours, qui tend a enraciner les premiers dans le local et a rattacher les seconds au niveau national, se trouve fortement ebranlee par l’eclairante demonstration developpee par les auteurs. Selon eux, ancrer la resistance a l’ours dans le local en brandissant l’identite pyreneenne (ce que feraient les opposants) vise a legitimer une strategie pour gagner le controle du territoire. Et les resistances, loin de resulter d’erreurs de gestion des services de l’Etat, auraient leurs propres dynamiques. En restant dans le cadre de cette demonstration, on peut faire trois remarques qui appellent une serie de questions. En se referant au titre general (« Strategie et geopolitique de l’opposition a la conservation de la nature : le cas de l’ours des Pyrenees »), on suppose qu’il fera etat de la gestion des ours des PyreneesAtlantiques comme des operations de reintroductions qui se sont deroulees dans les HautesPyrenees. Or, dans cette contribution, les auteurs concentrent leur analyse sur la situation des Pyrenees centrales pour mettre au jour le recours a l’appartenance au local comme legitimation des revendications dans l’argumentaire des anti-ours : « plutot que de reaction locale aux actions de conservation, il nous semble approprie de parler d’une posture identitaire et localiste construite, alimentee et consolidee... ». On saisit l’interet des contestataires locaux a maintenir cette opposition, mais les auteurs ne disent pas ce qu’il en est des pro-ours qui pensent œuvrer localement en faveur de l’ours a travers des actions, souvent presentees comme « d’utilite publique » (a l’instar d’une autoroute). Plutot que de revendiquer leur identite pyreneenne, ces pro-ours d’origine locale ne cherchent-ils pas a puiser leur legitimite par un rapprochement ideologique avec les instances extra-pyreneennes (via les textes de loi nationaux et europeens par exemple) ? De plus si, comme le notent les auteurs de l’article, cette dichotomie « anti-ours indigenes/pro-ours exogenes » est le fait des detracteurs locaux, n’est-elle pas egalement utilisee par les administrations regionales et nationales ? Tandis que les qualificatifs de « pro » et « anti » sont, somme toute, explicites, il serait necessaire de preciser de quel ours il est ici question sans ajouter de la confusion a une situation deja tres complexe. On sait qu’au-dela du contenu semantique d’un terme, celui d’ours peut faire reference a des realites polymorphes et variees. Et les protagonistes du conflit le savent bien puisqu’ils ne cessent Adresse e-mail : [email protected] (S. Bobbe). Natures Sciences Societes 11 (2003) 394–395


Journal of Applied Ecology | 2012

Modelling carcass disposal practices: implications for the management of an ecological service provided by vultures

Hélène Dupont; Jean-Baptiste Mihoub; Sophie Bobbé; François Sarrazin


Natures Sciences Sociétés | 2006

Une gestion durable des espèces animales est-elle possible avec des catégories naturalisées ?

André Micoud; Sophie Bobbé


Communications | 2004

Gestions faunistiques, cultures des sauvages et brouillage des catégories

Sophie Bobbé


Archive | 2002

L'ours et le loup : essai d'anthropologie symbolique

Sophie Bobbé


Communications | 2014

La recherche au subjectif imparfait

Pierre Alphandéry; Sophie Bobbé


Archive | 2009

Du bon usage de l’animal sauvage. Exemple d’un mode d’équarrissage écologique

Sophie Bobbé


Revue De Geographie Alpine-journal of Alpine Research | 2006

Du projet de zonage aux mesures T. Conceptions divergentes de gestion territoriale des loups dans l'arc alpin

Sophie Bobbé

Collaboration


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Pierre Alphandéry

Institut national de la recherche agronomique

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André Micoud

Centre national de la recherche scientifique

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Hélène Dupont

Centre national de la recherche scientifique

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Jean-Baptiste Mihoub

Centre national de la recherche scientifique

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