V. Le Moing
University of Paris
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Featured researches published by V. Le Moing.
Medecine Et Maladies Infectieuses | 2012
K C Psomas; M Brun; A Causse; Nadine Atoui; J. Reynes; V. Le Moing
INTRODUCTION An increase of syphilis cases has been recorded in the past few decades, especially among HIV-infected patients. These patients often present with concomitant primary and secondary lesions or extensive presentations of syphilis. OBJECTIVE Our goal was to compare alternative regimens to the recommended penicillin treatment. METHOD We retrospectively studied 116 patient files (80% HIV1-infected) treated for a first episode of early syphilis. RESULTS Patients mainly presented with symptoms of secondary syphilis. In 15.5% of the cases patients were asymptomatic and 17.2% of patients with secondary syphilis presented with neurologic or ophthalmic symptoms. Some less usual clinical presentations included diffuse polyadenopathy or isolated fever. The time to serological response was similar among those treated with benzathine-penicillin (n=52), ceftriaxone (n=49), or doxycycline (n=15). CONCLUSION Ceftriaxone and doxycycline could be suitable alternatives to penicillin in the treatment of early syphilis in HIV-infected patients. These two treatments have a concomitant effectiveness even for asymptomatic forms of neurosyphilis.
Medecine Et Maladies Infectieuses | 2016
Sarah Tubiana; A. Lemaignen; Charles Cazanave; V. Le Moing; Y. Nguyen; Xavier Duval; B. Hoen
Introduction Streptococcus pneumoniae est le microorganisme le plus frequemment responsable de meningites bacteriennes communautaires. Notre objectif etait de decrire leur presentation, leur prise en charge et leur pronostic a partir des donnees de la Cohorte nationale Observationnelle des Meningites Bacteriennes communautaires de l’AdulTe (COMBAT).
Medecine Et Maladies Infectieuses | 2011
G. Le Falher; A. Makinson; A. Eden; A. Lesnik; V. Le Moing; J. Reynes
La gangrène pulmonaire (GP) est une complication rare des neumonies, généralement bactériennes. Les bactéries les plus ouvent en cause sont les bacilles Gram négatifs, mais le pneuocoque a également été décrit comme responsable [1]. Mais ’apparition d’une GP chez des patients infectés par le VIH ’a été que très rarement décrite dans la littérature [2,3]. Nous elatons ici deux cas de GP (dont une au cours d’une pneumopahie bactériémique à pneumocoque) survenus chez des patients nfectés par le VIH.
Medecine Et Maladies Infectieuses | 2009
A. Rattenni; R. Schaub; J. Reynes; V. Le Moing
Introduction - objectifs Cette etude avait pour but de definir la proportion de medecins generalistes prescrivant une corticotherapie orale (CO) dans la rhinopharyngite (RP), les determinants de cette prescription et d’evaluer si elle induit un surcroit de prescription d’antibiotiques. Materiels et methodes Un questionnaire a ete adresse par courrier apres tirage au sort a 500 medecins generalistes du Languedoc-Roussillon. Resultats 232 questionnaires etaient analysables. 32,7 % des medecins ont declare prescrire une CO dans la RP (27 % parfois, 5,7 % souvent), cette proportion atteignait 92,6 % dans la sinusite (37 % parfois, 45,6 % souvent, 10 % toujours). Parmi ceux ayant diagnostique au moins une RP la semaine precedente, 18,5 % ont prescrit au moins une fois une CO. Les avis concernant les effets d’une courte CO dans les infections ORL en general etaient partages, 57,9 % des medecins etant d’accord avec l’existence d’effets benefiques et 49,6 % avec l’absence d’effets indesirables. Les prescripteurs de CO dans la RP sont surtout des hommes, d’âge median 52 ans, ayant une appreciation positive de son rapport benefice-risque, et qui considerent que RP et sinusite ne sont pas bien distinctes. Cette prescription est influencee par la presence de douleurs sinusiennes (60,6 %) et l’importance de la congestion nasale (59,6 %). 63,9 % des medecins estimaient que l’emploi d’antibiotiques n’est pas rendu indispensable par celui d’une CO, sans difference significative entre les prescripteurs et non-prescripteurs de CO. Conclusion Cette premiere etude concernant la frequence de prescription d’une CO dans la RP confirme qu’elle concerne un nombre non negligeable de praticiens en depit d’une efficacite non demontree. Elle ne semble pas etre un facteur de surprescription d’antibiotiques.
Medecine Et Maladies Infectieuses | 2008
A. Makinson; V. Le Moing; C. Ravel; G. Le Falher; J. Reynes
La leishmaniose viscerale (LV) a L. infantum est une complication de l’infection par le VIH du pourtour mediterraneen. Les rechutes cliniques sont frequentes lorsque la lymphopenie CD4 persiste. L’amphotericine B est le traitement de reference. Cas cliniques Quatre patients etaient infectes par le VIH avec une LV chronique malgre une charge virale (CV) indetectable. Au cours d’un suivi median de 58 mois (extremes : 31-95) avec CV indetectable, tous ont garde une PCR leishmanie positive dans le sang, et en mediane 3 recidives cliniques ont ete observees L’analyse multivariee a montre que les facteurs associes a une RPL positive chez les patients infectes par le VIH etaient l’absence d’antecedent de sida et un taux de CD4 eleve, en particulier les sous-populations CD4+ centrales memoires et effectrices. (extremes : 2-4). Les lymphocytes CD4 etaient toujours < 200 CD4/mm3 (extremes : 9-190). Tous ont ete traites par de nombreuses cures d’amphotericine B en traitement d’attaque et d’entretien de nombreux mois avant et apres indetectabilite de la CV (dose mediane cumulee : 17 g ; extremes : 1,55-43,2). Trois patients ont souffert d’une surdite et deux d’insuffisance renale sous amphotericine B. Tous ont finalement beneficie d’une ou de deux cures de pentamidine (10 perfusions IV de 4 mg/kg/j sur 10 a 20 jours), suivies d’un traitement d’entretien par miltefosine (50 mg × 2 po). Apres une duree moyenne de traitement par miltefosine de 3 mois (extremes : 2-12), il y eut une rechute de LV sous miltefosine, avec deces par choc septique sur poussee concomitante de diverticulite favorisee par une neutropenie possiblement secondaire a la pentamidine. Un patient a presente une augmentation des CD4 sous miltefosine (115 [29,2 %] a 412 TCD4/mm3 [29 %]). Discussion La prise en charge de ces LV chroniques est difficile du fait des effets indesirables graves des traitements. La pentamidine, suivie de la miltefosine en entretien, pourraient etre efficaces pour le traitement de seconde ligne des LV a L. infantum du VIH. Cette strategie reste a evaluer.
Medecine Et Maladies Infectieuses | 1995
V. Le Moing; Olivier Lortholary; Philippe Casassus; Loïc Guillevin; B. Dupont
Medecine Et Maladies Infectieuses | 2010
J S Martinez; G. Le Falher; Philippe Corne; Arnaud Bourdin; A Lequellec; J P Delabre; A. Makinson; Sylvie Hansel; J. Reynes; V. Le Moing
Medecine Et Maladies Infectieuses | 2009
D. Morquin; Philippe Corne; V. Le Moing; Kada Klouche; Olivier Jonquet; J. Reynes
Medecine Et Maladies Infectieuses | 1999
V. Le Moing; M. Géniteau; Flore Lacassin; P. Nicaise; C. Leport; C. Labarre; Jean-Louis Vildé
Medecine Et Maladies Infectieuses | 2018
C. Chatre; Y. Dumont; D. Morquin; C. Merle De Boever; T. Gandet; B. Albat; J. Reynes; V. Le Moing