V. Ravery
University of Paris
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Featured researches published by V. Ravery.
Progres En Urologie | 2007
Michel Soulie; Philippe Beuzeboc; F. Cornud; Pascal Eschwege; Nicolas Gaschignard; P. Grosclaude; Christophe Hennequin; Philippe Maingon; Vincent Molinié; Pierre Mongiat-Artus; Jean-Luc Moreau; Philippe Paparel; Michel Peneau; Michaël Peyromaure; V. Ravery; Xavier Rebillard; P. Richaud; Laurent Salomon; Frédéric Staerman; Arnauld Villers
Mutations “ciblables” dans les cancers de la prostate métastatiques Fruit de la collaboration entre de grandes institutions américaines et européennes, un groupe de chercheurs international (1) a analysé, par séquençage systémique de l’exome entier et du transcriptome, les échantillons de 150 patients atteints d’un cancer de la prostate résistant à la castration métastatique (CPRCm). Près de 90 % des hommes testés présentaient au moins 1 mutation permettant de prédire une réponse ou une résistance à des thérapies connues. Des mutations au niveau du récepteur des androgènes (RA) ont été notées chez près du tiers des patients (63 %). Les autres anomalies génomiques retrouvées le plus fréquemment concernaient les gènes de fusion ETS, TP53 et PTEN (40 à 60 % des cas) avec, par rapport aux cancers de la prostate primaires, un enrichissement des altérations du RA et de TP53. De nouvelles altérations ont été identifiées : PI3K3CA/B, R-spondin , BRAF/RAF1, APC, β-caténine, ZBTB16/PLZF. Mais la découverte sans doute la plus importante est le fait, encore une fois par rapport aux tumeurs primaires, que de nombreux patients (23 %) présentaient des mutations des gènes de la réparation de l’ADN, comme BRCA2, BRCA1 et ATM, ouvrant des perspectives thérapeutiques particulières. Ces patients pourraient répondre à des inhibiteurs de PARP, comme l’olaparib (2) .
Progres En Urologie | 2013
L. J. Salomon; C. Bastide; Philippe Beuzeboc; Luc Cormier; Gaëlle Fromont; Christophe Hennequin; Pierre Mongiat-Artus; M. Peyromaure; Guillaume Ploussard; R. Renard-Penna; F. Rozet; D. Azria; Coloby P; Vincent Molinié; V. Ravery; Xavier Rebillard; P. Richaud; Arnauld Villers; Michel Soulie
Resume Objectif Le but du Comite de cancerologie de lʼAssociation francaise dʼurologie etait de proposer une mise a jour des recommandations dans la prise en charge du cancer de la prostate (CaP). Methodes Une revue systematique (Medline) de la litterature de 2013 a 2016 a ete conduite par le CCAFU concernant les elements du diagnostic, les options de traitement et la surveillance du CaP, en evaluant les references avec leur niveau de preuve. Resultats Les recommandations precisent la genetique, lʼepidemiologie et les moyens diagnostiques du CaP. Lʼimagerie par resonance magnetique (IRM) est lʼexamen dʼimagerie de reference du cancer localise. Le score de Gleason a ete redefini par lʼInternational Society of Urological Pathology (ISUP) en cinq groupes pronostiques. Les moyens therapeutiques ont ete detailles, puis recommandes en fonction des situations cliniques. La surveillance active (SA) est une option therapeutique de reference pour les tumeurs de faible risque evolutif. La chirurgie reste une solution therapeutique majeure du CaP localise. Elle doit etre envisagee dans un cadre multimodal pour les formes a haut risque. La radiotherapie doit utiliser une technique conformationnelle tridimensionnelle si possible en modulation dʼintensite a une dose > 76xa0Gy. Lʼhypofractionnement modere apporte un controle biochimique equivalent sans augmentation majeure de la toxicite. LʼHT courte peut etre associee a lʼirradiation pour les tumeurs de risque intermediaire « fort ». Pour les formes a haut risque, lʼassociation a une HT longue reste la reference. LʼHT est le traitement de fond au stade metastatique. La prevention des effets secondaires de lʼHT est fondamentale. Lʼhormonochimiotherapie de premiere ligne pour le traitement des CaP metastatiques hormono- et chimio-naifs est le traitement standard en cas de cancer dʼemblee metastatique chez les patients dont lʼetat de sante est compatible avec lʼusage de docetaxel. Chez les patients presentant un cancer de prostate resistant a la castration (CPRC), lʼapport des nouvelles therapies qui ont emerge ces dernieres annees aide a mieux controler la progression tumorale et a ameliorer la survie. Conclusions Cette actualisation des recommandations francaises doit contribuer a ameliorer la prise en charge des patients porteurs dʼun CaP.
BJUI | 2011
V. Ravery; Karim Fizazi; S. Oudard; Ludovic Drouet; Jean-Christophe Eymard; S. Culine; Gwenaelle Gravis; Christophe Hennequin; M. Zerbib
What’s known on the subject? and What does the study add?
Urology | 2013
Amine Benchikh El Fegoun; Rabii El Atat; Laurence Choudat; Elie El Helou; Jean-François Hermieu; S. Dominique; V. Ravery
OBJECTIVEnTo assess the quality of specimens obtained from prostate biopsies performed by urology residents and evaluate the number of procedures required to perform high-quality transrectal ultrasound (TRUS)-guided prostate biopsies.nnnMATERIALS AND METHODSnBetween 2006 and 2009, 770 patients underwent TRUS-guided prostate biopsies in our academic center. During the 6 semesters of this period, 24 residents (4 per semester) performed 1 session of 5.6±1.5 procedures each month for a total of 33.6±9 procedures during the study. The first session was performed with a senior urologist. Prostate cancer detection rate and standards of quality (average length of prostatic core biopsy specimens and absence of prostatic tissue) were retrospectively studied between the beginning and the end of each semester.nnnRESULTSnA total of 12,760 biopsy cores were performed for 770 procedures. Mean patient age (64.5±6.1 years), and median prostate-specific antigen (8.7±3.7 ng/mL) were comparable between the study periods. The average length of biopsy cores significantly improved (+10%) from the first (12±2.7 mm) to the last month (13.2±2.1 mm) with a plateau after 12 procedures. Overall, cancer detection rate was 47% and was stable during the semester (41.3% the first month vs 44.1% the last month; P=.39). On univariate and multivariate analysis the mean length of biopsy specimens was associated with the number of procedures (P<.001) and the number of cores performed (P<.001).nnnCONCLUSIONnTwelve procedures are necessary to perform high-quality TRUS-guided prostate biopsies without compromising prostate cancer detection. In current training programs, we strongly recommend that residents have direct supervision for a minimum of 12 cases before they are allowed to perform TRUS-guided biopsies with indirect supervision.
Progres En Urologie | 2014
Idir Ouzaid; P. Fernandez; Jean-François Hermieu; S. Dominique; V. Ravery
Objectifs L’IRM semble etre un examen sensible et reproductible pour detection et la caracterisation des plaques fibreuses de la maladie de Lapeyronie. L’objectif de cette etude etait d’evaluer l’utilite de l’IRM dans la prise en charge de la maladie de Lapeyronie. Methodes Entre 2012 et 2013, 21xa0patients consecutifs qui ont ete adresses a notre institution pour une deformation de la verge avec diagnostic clinique de maladie de Lapeyronie ont eu une IRM du penis selon un protocole identiquexa0: 1,5xa0T avec des sequencesxa0T1 sans et avec injection de gadolinium, une sequence T2 et une reconstruction en 3D de la cartographie des plaques. Toutes les IRM ont ete realisees et interpretees par un Uro-radiologue dediexa0(PF). Les caracteristiques cliniques et radiologiques des plaques ont ete rapportees. En particulier, la distinction entre les plaques actives (phase inflammatoire) et les plaques fixees (phase fibreuse) a ete recherchee. Resultats L’âge moyen de la cohorte etait de 52xa0ans (intervallexa0: 24–70). Sur l’ensemble de la cohorte, 30xa0plaques ont ete detectees avec 20xa0% es plaques non palpables. Une IRM etait non exploitable du fait du positionnement du penis lors de l’examen (premier patient de la serie). Dans les autres cas, l’IRM a permis de detecter toutes les plaques a l’origine de la deformation clinique y compris chez les patients chez lesquels la plaque n’etait pas palpee ( Tableau 1 ). Chez 3xa0patients, l’IRM a revele la coexistence d’autres plaques non palpees. Deux grandes categories de plaques ont ete caracteriseesxa0: la premiere fixee en hyposignalxa0T1 et T2 sans rehaussement ( Fig. 1 A), la deuxieme active en hypersignalxa0T1 et T2 avec un rehaussement apres injection de gadolinium ( Fig. 1 B). Conclusion Cette etude a mis en evidence l’excellente sensibilite et specificite de l’IRM dans la cartographie et la caracterisation des plaques responsables de la deformation meme lorsqu’elles ne sont pas cliniquement palpables. Ses elements constituent une aide precieuse lors de l’information du patient et la decision therapeutique (collagenase ou chirurgie versus abstention therapeutique) d’interets.
Progres En Urologie | 2008
M. Soulié; M. Thoulouzan; Michel Peneau; P. Richaud; V. Ravery
Progres En Urologie | 2010
S. Culine; Ludovic Drouet; Jean-Christophe Eymard; Karim Fizazi; Gwenaelle Gravis; Christophe Hennequin; S. Oudard; V. Ravery; M. Zerbib
European Urology Supplements | 2018
A. Alhammadi; Idir Ouzaid; Pedro L. Fernández; V. Ravery
Progres En Urologie | 2014
P. Fernandez; P. Devaux; Idir Ouzaid; S. Dominique; Jean-François Hermieu; V. Ravery
Progres En Urologie | 2012
A. Benchikh El Fegoun; Laurence Choudat; S. Doizi; J.F. Hermieu; S. Dominique; V. Ravery