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Featured researches published by D. Godefroy.


Spine | 1994

Epidural lipomatosis. Interest of magnetic resonance imaging in a weight-reduction treated case.

Catherine Beges; B. Rousselin; Alain Chevrot; D. Godefroy; C Vallée; Francis Berenbaum; Caludie Deshays; Bernard Amor

An obese patient with bilateral sciatic pain had epidural lipomatosis on magnetic resonance examination. Treatment that used a weight-reduction program eliminated the symptoms, and after magnetic resonance imaging, revealed reduction of the lipomatosis deposits.


Journal De Radiologie | 2008

Les clichés simples du bassin

D. Godefroy; A. Chevrot; G. Morvan; B. Rousselin; L. Sarazin

Plain films of pelvis Plain films of the pelvis remain informative and allow most of the diagnoses. Assesment of the hip joint space, bone and subchondral structures, sacrum as well as sacroiliac joints is made on the AP view. Oblique views are useful. Five different oblique views are described: Lequesne’s view, Ducroquet’s view, Arcelin’s view, medical and urethral views. They particularly allow assement of the acetabulum, the femoral head and neck as well as the femoral superior third. Radiological technique and major indications for these views must be known. Angle measurement and evaluation of possible dysplasia are made on coxometry views.


Clinical Radiology | 1999

Study of the joint space of the hip on supine and weight-bearing digital radiographs

Eric Pessis; Alain Chevrot; Jean-Luc Drapé; Christophe Leveque; L. Sarazin; Atossa Minoui; Geneviève Le Blevec; Nathalie Chemla; Anne-Marie Dupont; D. Godefroy

AIM To compare hip joint space on supine and weight-bearing anteroposterior digital radiographs. MATERIALS AND METHODS Fifty anteroposterior views of the hip in 25 patients were taken in supine and weight-bearing positions on a fluoroscopic unit. Two observers in a double-blind study assessed the width of the joint space on an Easy Vision unit with an indirect method of measurement (metric index). RESULTS Inter-observer and intra-observer variabilities of the metric index were less than 4.1%. There was no significant difference of the metric index of the hip (P>0.05), between supine and weight-bearing positions. CONCLUSION There is no significant difference of the width of the joint space of the hip between supine and weight-bearing anteroposterior radiographs. Measuring joint space loss in osteoarthritis of the hip with anteroposterior views should be done with radiographs of the hip in the supine position to improve image quality.


Journal De Radiologie | 2007

Imagerie des traumatismes du coude de l'adulte

D. Godefroy; B. Rousselin; L. Sarazin

Resume Les traumatismes du coude peuvent entrainer des luxations et/ou des fractures de l’extremite inferieure de l’humerus, ou de l’extremite superieure du radius ou du cubitus. Les lesions multiples et associees sont frequentes. Les cliches standard suffisent habituellement pour faire un diagnostic precis. Le risque evolutif de ces traumatismes chez l’adulte est l’enraidissement du coude avec un retentissement fonctionnel parfois majeur.


Baillière's clinical rheumatology | 1996

CT scans and arthro-CT scans

Jean Luc Drapé; Alain Chevrot; D. Godefroy; Anne Marie Dupon; Frederique Gires

The study of the cartilage is relatively easy with modern imaging. If the interpretation of MRI cartilage remains difficult arthro-CT images are easy to obtain. Arthro-CT is much preferable to simple arthrography. These two steps are in fact complementary: the global study of the joint is made with arthrography while the accurate assessment of cartilage is obtained with thin CT native slices acquired in an adapted plane and completed with reformatted images. The detection of small lesions, such as a faint thinning of the cartilage, or a focal fissure is only possible with a long and meticulous examination. The pathological value of the images still depends on the clinical examination, because of the high incidence of asymptomatic chondromalacia in elderly patients. The assessment of the cartilage overlying osteochondritis or osteochondral fractures is of particular clinical interest. The detection of post-traumatic cartilaginous lesions may also be valuable in medicolegal problems.


Journal De Radiologie | 2009

OA-WP-6 Arthrose de la main et du poignet : qu’attendre du bilan d’imagerie ?

E. Pluot; H. Guerini; D. Godefroy; A. Feydy; R. Campagna; J. Rousseau; D. Richarme-Barthelet; A. Chevrot; J.L. Drapé

Objectifs pedagogiques Reconnaitre les signes precoces en imagerie de l’arthrose de la main et du poignet. Connaitre les multiples formes etiologiques et topographiques de l’arthrose de la main et du poignet. Connaitre l’apport des differentes techniques d’imagerie dans le bilan pre-therapeutique. Messages a retenir Les radiographies rigoureusement realisees -incidences specifiques, mesure de la pente trapezienne-dominent le bilan diagnostique et pronostique des arthroses peri-trapeziennes. L’echographie et l’IRM permettent le diagnostic de certaines complications peri-articulaires : atteinte scapho-trapezienne et tendinopathie du FCR, arthrose piso-triquetrale et syndrome canalaire du Guyon, arthrose inter-phalangienne distale et kystes mucoides. L’arthrose radio-carpienne est presque toujours post-traumatique : SLAC et SNAC wrists. L’arthrose ulno-carpienne doit faire rechercher des elements anato-miques en faveur d’un syndrome d’impaction ulno-carpien : valeur de la variance ulnaire.


Journal De Radiologie | 2009

OA-WS-10 Lesions superficielles de la coiffe des rotateurs : efficacite du signe echographique de la corde profonde

N. Gault; H. Guerini; M. Fermand; D. Godefroy; R. Campagna; E. Pluot; J. Rousseau; A. Feydy; A. Chevrot; J.L. Drapé

Objectifs Demontrer l’efficacite de l’echographie pour evaluer l’etancheite de l’articulation gleno-humerale devant une suspicion de rupture superficielle du tendon du supraspinatus. Materiels et methodes Etude retrospective : 20 patients presentant un diagnostic echographique de rupture superficielle du tendon supraspinatus avec une arthrographie normale sont compares a un groupe controle de 20 patients presentant une rupture transfixiante en echographie confirmee par une arthrographie. Toutes les lesions superficielles suspectees en echographie etaient confirmees soit par IRM, par bursoscanner ou bursoscopie. Le signe de la corde profonde se definit en echographie comme la visibilite directe d’une couche fibrillaire echogene profonde bien tendue jusqu’au tubercule majeur. Cette corde est interposee entre le cartilage et la lesion superficielle. Resultats Evaluation de la valeur diagnostique de ce signe pour le caractere etanche de la coiffe (gold standard : arthrographie). Le signe de la corde a une sensibilite de 93 %, une specificite de 100 %, une VPP de 100 % et une VPN de 94 % pour certifier l’etancheite de l’articulation gleno-humerale devant une suspicion de rupture superficielle du tendon supraspinatus. Dans cette serie, la presence d’une bursite sans epanchement intra-articulaire oriente fortement vers une lesion superficielle. Conclusion Devant une suspicion de lesion superficielle du supraspinatus en echographie, la presence d’une corde profonde tendue jusqu’au tubercule majeur permet d’affirmer le caractere non transfixiant de la rupture. L’echographie permettrait donc d’eliminer les arthroscanners inutiles (negatifs en cas de lesion superficielle) et d’orienter une infiltration dans la bourse sous-acromiale qui est generalement pathologique.


Journal De Radiologie | 2009

Imagerie des spondylarthropathies : le squelette peripherique

E. Pluot; M.C. Lavie; A. Feydy; H. Guerini; R. Campagna; J. Rousseau; D. Richarme-Barthelet; D. Godefroy; A. Chevrot; J.L. Drapé

Objectifs Connaitre les atteintes typiques des entheses peripheriques dans la spondylarthrite ankylosante. Connaitre le role des radiographies, de l’echographie et de l’IRM dans le diagnostic de ces enthesopathies. Connaitre les principaux scores d’evaluation de l’atteinte du squelette peripherique Comprendre la necessite d’une imagerie reproductible pour le diagnostic precoce, le suivi des patients sous traitement. Messages a retenir Le bilan echographique permet le diagnostic des lesions des entheses du membre superieur et du membre inferieur. L’IRM montre les lesions des entheses mais aussi l’atteinte osseuse eventuelle. Les scores radiographiques sont connus et valides, des scores echo-graphiques sont aussi utilises. Resume L’atteinte de certaines entheses (talon, avec tendon d’Achille et aponevrose plantaire) est caracteristique de la maladie. L’echographie couplee au Doppler puissance est actuellement une technique essentielle en pratique courante, mais un apprentissage specifique de la technique et de la semiologie est necessaire. En effet, cet examen met en evidence des anomalies non visibles sur les radiographies standard a un stade precoce de la maladie, et permet egalement de visualiser des signes d’enthesite chez des patients cliniquement asymptomatiques.


Journal De Radiologie | 2009

Imagerie de l’instabilite glenohumerale anterieure et des SLAP

H. Guerini; E. Pessis; M. Ouaknine; P. Valenti; R. Campagna; A. Feydy; D. Godefroy; G. Morvan; A. Chevrot; J.L. Drapé

Objectifs Connaitre le bilan radiologique standard a effectuer. Connaitre les avantages et inconvenients de l’arthroIRM vs arthro-scanner. Savoir reconnaitre les variantes de la normale du labrum. Connaitre les differentes lesions : SLAP, Bankart, ALPSA, Peryhes, HAGL Messages a retenir Tout bilan d’instabilite doit comporter des cliches glenoidiens de bonne qualite. La decision de chirurgie a ciel ouvert ou par arthroscopie depend du degre d’atteinte de la partie antero-inferieure de la glene (visible sur les cliches glenoidiens, l’arthroscanner ou un scanner simple). L’arthro-scanner evalue bien l’atteinte osseuse mais l’arthro-IRM evalue mieux le labrum et le ligament glenohumeral inferieur (LGHI). Il ne faut pas confondre une SLAP avec un recessus sous-labral. Le labrum anterieur peut etre physiologiquement non adherent (fora-men sous-labral) ou absent (souvent associe a un complexe de Buford). Le « J » signe permet parfois de suspecter une dechirure du LGHI. Resume Le bilan d’imagerie est fondamental pour planifier une chirurgie. Les radiographies standard permettent souvent d’envisager une chirurgie a ciel ouvert en cas d’atteinte osseuse importante de la glene. La realisation d’un arthroscanner ou d’une arthroIRM est surtout indiquee si un traitement arthroscopique est envisage. Nous envisagerons l’imagerie optimale pour explorer ces lesions du labrum superieur et antero-inferieur. Nous essaierons de distinguer les variantes de la normale des lesions du labrum. Nous ferons un rappel de la classification des SLAP en insistant sur les lesions les plus significatives. Nous terminerons par la proposition d’un compte rendu standardise repondant aux questions posees par le chirurgien.


Journal De Radiologie | 2008

Aspect echographique des ruptures myotendineuses de l’infra-spinatus

H. Guerini; D. Richarme; D. Godefroy; F. Thévenin; R. Campagna; A. Chevrot; A. Feydy; J.L. Drapé

Objectifs Decrire la semiologie echographique des lesions myotendineuse de l’infra-spinatus (IS). Materiels et methodes Analyse de l’imagerie de 5 patients souffrant d’une rupture de la jonction myotendineuse de l’IS ayant tous beneficie d’une echographie et d’une IRM. Trois patients ont egalement beneficie d’un arthro-scanner. Resultats La rupture myotendineuse de l’infra-spinatus est une entite decrite recemment en IRM. Dans notre serie, l’echographie visualise dans tous les cas la lesion de la lame tendineuse de l’IS qui est interrompue en plein corps musculaire. Cette lesion est visible que sur la coupe axiale posterieure suivant le tendon et son expansion dans le muscle IS. Une involution graisseuse (hyperechogeneicite du muscle) est possible relativement precocement. On notera dans cette serie une seule rupture du tendon supra-spinatus au niveau de son insertion distale sur le trochiter. Aucune rupture distale du tendon de l’IS n’a ete decelee. On notera egalement un cas de calcification du tendon supra-spinatus. Conclusion L’echographie permet le diagnostic de rupture myotendineuse de l’infra-spinatus. Il faut simplement penser a realiser une exploration en de la fosse infra-epineuse dans le plan axial surtout en cas de discordance entre une symptomatologie tendineuse bruyante sans rupture a l’insertion des tendons de la coiffe.

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