K. Lambot
Boston Children's Hospital
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Publication
Featured researches published by K. Lambot.
Journal De Radiologie | 2005
K. Lambot; L.C. Lougué-Sorgho; G. Gorincour; S. Chapuy; Katia Chaumoitre; B. Bourlière-Najean; Michel Panuel; P. Devred; Philippe Petit
Do advances in MR imaging and Computed Tomography have encroached upon the private territory of Ultrasound-Doppler imaging on paediatric practice? Do the enthusiasm promoted by the use of CT on non traumatic acute abdomen in adult has contaminated the indomitable village of paediatric radiologist? Undoubtfully, Ultrasound-Doppler stayed the first imaging modality to perform. However, the habits are less crystallised than a few years ago. The goal of this article is to describe the ultrasound findings and the potential indications for MRI or CT in the major non traumatic abdominal paediatric emergencies.
Journal De Radiologie | 2005
K. Lambot; L.C. Lougué-Sorgho; G. Gorincour; Guy Magalon; S. Chapuy; B. Bourlière-Najean; P. Devred; Philippe Petit
Resume Objectifs Preciser l’aspect IRM des hemangiomes immatures. Discuter de l’interet de cette imagerie comparee a l’echographie-Doppler. Materiels et methodes Il s’agit d’une analyse retrospective des donnees cliniques, echo-Doppler et IRM de 12 hemangiomes immatures chez 11 enfants. L’âge moyen des enfants est de 6 mois et 21 jours. La surveillance clinique moyenne est de 22 mois et 7 jours. Resultats L’IRM est realisee en l’absence de diagnostic clinique (4 cas) ou dans le cadre du bilan d’extension (8 cas). Ces hemangiomes immatures sont developpes au niveau cervico-facial dans 8 cas et des membres dans 4 cas. En IRM, les 12 hemangiomes immatures sont des masses a limites nettes, homogenes, hyperintenses en ponderation T2 par rapport aux muscles. En ponderation T1, onze hemangiomes immatures sont isointenses par rapport aux muscles et se rehaussent uniformement et intensement apres injection de Gadolinium. Onze hemangiomes immatures contiennent des hyposignaux lineaires correspondant a des structures vasculaires circulant rapidement. Dix lesions sont de siege superficiel, cutane et/ou sous-cutane, alors que deux lesions sont de siege profond, intramusculaire. En echographie-Doppler, ces hemangiomes immatures sont des masses hypervascularisees, a limites nettes, souvent compressibles, homogenes isoechogenes ou heterogenes avec des plages nodulaires hypoechogenes, par rapport a la graisse sous-cutanee. Le diagnostic de certitude d’hemangiome immature est fourni par l’anatomopathologie (2 cas) ou par la surveillance clinique (10 cas). Conclusion Dans notre serie, la semiologie IRM des hemangiomes immatures apparait reproductible et superposable aux donnees de la litterature. L’IRM est un complement utile dans le bilan d’extension des hemangiomes immatures difficilement accessibles en echographie. La sensibilite et la specificite de l’IRM dans cette pathologie reste a demontrer.
Journal De Radiologie | 2006
L.C. Lougué-Sorgho; K. Lambot; G. Gorincour; Katia Chaumoitre; S. Chapuy; B. Bourlière-Najean; Michel Panuel; P. Devred; Philippe Petit
Resume Les lesions renales traumatiques presentent des particularites a l’âge pediatrique, notamment en raison de facteurs anatomiques. L’imagerie joue un role diagnostique majeur et permet d’evaluer la gravite des lesions. L’echographie couplee au Doppler est l’examen realise en premiere intention chez l’enfant. Elle permet le plus souvent de faire le diagnostic lesionnel initial. En fonction des resultats de l’echo-Doppler et du type du traumatisme, une tomodensitometrie renale est realisee en complement. L’association de ces deux techniques d’imagerie permet de faire un bilan exhaustif des lesions renales traumatiques, mais egalement des lesions associees ou pre-existantes. L’abstention therapeutique est la regle dans la plupart des cas. Certaines techniques d’imagerie interventionnelle participent parfois a la prise en charge therapeutique des lesions renales vasculaires pediculaires ou des lesions du systeme collecteur. A distance du traumatisme, l’imagerie permet de suivre l’evolution morphologique et fonctionnelle des lesions renales graves, en particulier les lesions des voies excretrices.
Pediatric Radiology | 2006
S. Chapuy; G. Gorincour; Bertrand Roquelaure; A. Aschero; Marie Paris; K. Lambot; Arnauld Delarue; B. Bourlière-Najean; Philippe Petit
BackgroundA common pancreaticobiliary channel is a very rare condition, but its diagnosis is of paramount importance since it can lead to complications that can be prevented.ObjectiveTo illustrate the sonographic diagnosis of a common pancreaticobiliary channel in children referred for abdominal pain or jaundice.Materials and methodsFour children were diagnosed by ultrasonography and the diagnosis was subsequently confirmed by MRI.ResultsSonography demonstrated a pancreaticobiliary junction located in the pancreatic head above the sphincter of Oddi. This rare congenital anomaly was confirmed in all patients by MRI.ConclusionA common pancreaticobiliary channel can be diagnosed by sonography. Nevertheless, our experience is limited, and although sonography can provide an alert and can assist management, it cannot yet replace MRI.
Journal De Radiologie | 2005
K. Lambot; L.C. Lougué-Sorgho; G. Gorincour; S. Chapuy; Katia Chaumoitre; B. Bourlière-Najean; Michel Panuel; P. Devred; Philippe Petit
Resume L’utilisation en pratique pediatrique de sondes de frequences elevees (7 a 12 MHz) sur des appareils echo-Doppler de haut de gamme permet de rivaliser avec les autres techniques d’imagerie en coupe sur l’exploration de la glande pancreatique. L’avenement des scanners multibarettes entraine surtout une reduction de la duree et du nombre d’anesthesies necessaires et impose une vigilance accrue du controle des indications et des parametres d’exploration pancreatique pour eviter une irradiation abusive et excessive. Le bilan des pancreatites et des tumeurs restent les indications principales de la tomodensitometrie. L’analyse des canaux bilio-pancreatiques est realisable, avec un succes variable en fonction de l’âge des enfants, grâce aux evolutions technologiques de l’IRM. L’excellente resolution en contraste de l’IRM permet le diagnostic des maladies de surcharge pancreatique de facon inegalee. La duree des explorations et des sedations, ainsi qu’une resolution spatiale encore insuffisante sont les principaux handicaps de l’IRM.
Journal De Radiologie | 2004
Philippe Petit; Michel Panuel; S. Chapuy; Katia Chaumoitre; K. Lambot; B. Bourlière Najean; P. Devred
Objectifs pedagogiques Presenter les aspect normaux du pancreas de l’enfant en echographie, scanner et IRM. Definir la place actuelle de ces examens en fonction de la pathologie suspectee qu’elle soit traumatique, congenitale, hereditaire ou tumorale. Decrire la semeiologie en imagerie des rares tumeurs pancreatiques (nesidioblastome, pancreatoblastome, tumeur de Frantz, infiltrations ganglionnaires au cours des lymphomes, …). Resume Malgre les avancees technologiques recentes en particulier de l’IRM, l’echographie demeure l’outil de premiere intention dans l’approche en imagerie du pancreas de l’enfant.
Journal De Radiologie | 2004
Philippe Petit; S. Chapuy; Katia Chaumoitre; K. Lambot; G. Gorincour; B. Bourlière; Michel Panuel; P. Devred
Objectifs pedagogiques Decrire la strategie d’exploration en imagerie de ce type d’urgence. Detailler la semeiologie echographique des pathologies les plus frequentes : appendicite, maladies inflammatoires chroniques, pathologies ovariennes, invaginations intestinales, enterocolites ulcero-necrosantes…… Faire le point sur la place du scanner et de l’IRM dans notre pratique quotidienne. Resume La pathologie traumatique ne sera pas detaillee, traitee dans un autre cours. L’âge de l’enfant et le tableau clinico-biologique sont des elements d’orientation capitaux et permettent souvent au clinicien de porter un diagnostic. Le but de l’imagerie est de confirmer ce dernier ou de le rectifier, de preciser le siege et l’importance de l’atteinte et de rechercher des anomalies associees liees ou non a la pathologie causale. L’echographie est l’examen incontournable toujours necessaire souvent suffisant. Si la pathologie digestive est de loin la cause la plus frequente des urgences abdominales pediatriques il ne faut pas oublier les causes pelviennes et urinaires voire pulmonaires. La realisation dans un deuxieme temps d’un scanner ou d’une IRM est exceptionnelle en dehors de la pathologie traumatique.
Journal De Radiologie | 2004
S. Chapuy; K. Lambot; B. Roquelaure; G. Gorincour; A. Delarue; B. Bourlière; Philippe Petit; P. Devred
Objectifs Preciser le role de l’echographie dans le diagnostic positif de canal biliopancreatique commun (CBPC). Materiels et methodes De juin 2000 a mars 2004, 3 enfants âges de 2 a 4 ans ont ete explores en echographie puis en IRM pour douleurs abdominales d’origine biliopancreatique. Resultats Une dilatation choledocienne fusiforme etait toujours presente. Elle etait moderee et associee a du materiel echogene dans le choledoque distal dans deux cas. Le diagnostic de CBPC a ete pose en premiere intention sur l’echographie, puis confirme en cholangiowirsungo-IRM. Conclusion La visualisation d’un CBPC en echographie est donc possible et permet d’orienter rapidement les hypotheses diagnostiques et peut-etre de limiter les explorations d’imageries complementaires.
Journal De Radiologie | 2004
L.C. Lougué-Sorgho; K. Lambot; G. Gorincour; F. Launay; S. Chapuy; B. Bourlière; Philippe Petit; P. Devred
Objectifs Preciser la place actuelle de l’imagerie dans le diagnostic et la surveillance de la myosite ossifiante circonscrite (MOC). Materiels et methodes Nous avons revu les dossiers cliniques et d’imagerie de onze enfants porteurs d’une MOC. Le mode de revelation, les aspects radio-scanographiques, echographiques et IRM sont analyses. La place de la biopsie et la presence de sequelles sont evaluees. Resultats Les patients sont tous des garcons, de moyenne d’âge 10 ans (4-15 ans). Ils presentaient tous un traumatisme local recent. La douleur constante etait associee dans 4 cas a une tumefaction. Les cliches standard montraient des masses des parties molles calcifiees en peripherie dans 10 cas, une reaction periostee adjacente etait presente 4 fois. Sept patients ont eu un scanner qui montrait la calcification peripherique de la masse. Les anomalies de signal IRM etaient tres variables. La surveillance etait radiographique, scanographique en cas d’apposition periostee associee. Deux enfants ont ete operes au stade sequellaire. Conclusion Malgre la place fondamentale de l’IRM dans l’exploration des tumeurs des tissus mous, celle ci n’apparait pas utile dans le diagnostic et la surveillance d’une MOC sous reserve que le diagnostic ait ete formellement etabli par l’imagerie photonique. La biopsie peut faussement orienter vers une tumeur maligne.
Journal De Radiologie | 2006
L. C. Lougue-Sorgho; K. Lambot; G. Gorincour; Katia Chaumoitre; S. Chapuy; B. Bourlière-Najean; Michel Panuel; P. Devred; Philippe Petit